Ce roman avait été encensé par
Roland Barthes qui, n'ayant peut-être pas bien digéré l'échec de
Eden, Eden, Eden de
Pierre Guyotat, a mis les bouchées doubles pour faire remporter le prix Médicis à cet ouvrage.
Tony Duvert, on le sait, a eu son heure de gloire dans les années 70. Mais, très honnêtement, ce livre, difficile à lire car il exige de la patience et un maximum d'intérêt et de concentration de la part du lecteur pour sa compréhension m'a plutôt horripilé. Il n'y a aucune ponctuation. Au moins dans
Eden, Eden, Eden, seuls manquaient les points. Aucune originalité non plus puisqu'on y retrouve là aussi du sexe, du sang et de la m... à longueur de page. Au moins, j'aurais lu ce prix Médicis 1973!
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