Non, mais c'est comme a. Rien ne dure dans ce bas monde, ni la vie, ni l'amour, ni l'amitié, pas même ce que nous mettons tant d'énergie à construire. C'est pour cette raison qu'il faut vivre, et ce n'est pas la durée qui compte mais l'intensité. Il n'y a ni dieu, ni diable, ni paradis ni enfer, mais seulement un monde invisible, parallèle, avec lequel nous établissons parfois des passerelles...
Pour moi la forêt représente la liberté. On peut y être tout seul, se libérer, se relaxer ou courir, se défoncer pour pouvoir vraiment tout oublier.
"Je t'aime tant, je t'aime tant
je ne puis assez te le dire
Et je le répète pourtant
A chaque fois que je respire. "
Au fond, ce n'est pas tellement la Fargne qui est dangereuse, c'est plutôt l'idée que les gens d'ici s'en font!
J'avais besoin de ces quelques jours de solitude et de dépaysement comme d'un remontant.