Le choix de Rebecca

Oliver contempla ce visage qu'elle lui offrait si ingénument. Les longs cils bruns recourbés formaient une ombre sur ses joues à la peau veloutée comme des pétales de rose, ses lèvres étaient pleines et sensuelles. Il aurait pu ! admirer ainsi à l'infini, dévorant avec avidité l’incroyable beauté de ses traits fins, si féminins. Mais elle espérait son baiser et, soudain, il ne put attendre plus longtemps de connaître la douceur de ses lèvres.

Ces nouveaux vêtements féminins n'avaient peut-être rien d'extraordinaire, mais la jeune femme qui les portait était ravissante ! Une poitrine haute et ferme, une taille de guêpe, des hanches agréablement arrondies, des cuisses longues et minces... Bref, un corps superbe et raffiné.

Le problème, c'est qu'il m'aime depuis toujours, comme un grand frère. J'ai besoin d'avoir la certitude que l'amour que je lui inspire aujourd'hui est celui qu'un homme éprouve normalement pour une femme. Je ne voudrais pas qu'il se trompe sur ses sentiments.

Le problème, c'est qu'il m'aime depuis toujours, comme un grand frère. J'ai besoin d'avoir la certitude que l'amour que je lui inspire aujourd'hui est celui qu'un homme éprouve normalement pour une femme. Je ne voudrais pas qu'il se trompe sur ses sentiments.

Les hommes préféraient les femmes qui en savaient plus sur les dentelles rouges et noires que sur l'art et la manière de conduire un tracteur et de monter un pur-sang.