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Pour une branche de gui tome 1 sur 2
EAN : 9791092954289
136 pages
MxM Bookmark (24/12/2014)
4.2/5   27 notes
Résumé :
Mick Colman, joueur de football et coureur de jupons, et Fielding Monroe, étudiant surdoué en physique, mais étranger aux plus simples concepts de la vie en société, sont deux colocataires inhabituels et pourtant meilleurs amis. Du moins, jusqu'à ce qu'une cheerleader dise à Mick qu'il est la personne qui embrasse le mieux sur le campus. Fielding, qui n'a jamais embrassé qui que ce soit, décide que Mick doit lui apprendre...
Après tout, la fête de Noël du dé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Voilà le deuxième texte que je lis sur ma liseuse. Et cette nouvelle est un véritable coup de coeur. Pour moi qui ne suis pas du tout fan des histoires totalement axées sur une romance, c'est carrément un exploit. Cette nouvelle est d'une fraîcheur incroyable. Je l'ai lue presque d'une traite - oui, le sommeil est quand même venu me cueillir en cours de route. Pour autant, je ne sais pas expliquer ce qui fait que cette nouvelle se démarque des autres. le pitch est assez quelconque. le geek qui débarque chez le sportif, ce n'est pas le scénario le plus inédit du monde. de même, il n'y a pas de surprise dans le déroulement de l'histoire. On s'attend à ce que Mick adore Fielding, on s'attend à ce qu'il craque même pour lui, et on s'attend surtout à ce que tout se finisse merveilleusement bien. Un peu trop bien d'ailleurs pour que ce soit totalement réaliste. Mais ça n'a pas d'importance parce que tout est agréable et que, tout compte fait, ça coule de source.

Ce qui fait le charme absolument irrésistible de cette histoire relève sans doute des personnages et du style de l'auteur. Les héros ne sont pas extraordinairement originaux mais ils n'ont aucun mal à plaire. Mick est un sportif qui a choisi d'arrêter le football pour pouvoir se consacrer à ses études. S'il a l'air superficiel aux yeux des autres, on se rend bien vite compte qu'il n'en est rien. Quant à Fielding, c'est Fielding. Rien ne saurait mieux résumer le personnage que cette phrase. Fielding est un personnage résolument adorable. A chaque fois qu'il apparaît, c'est pour faire quelque chose de mignon. Même lorsqu'il boude, Il est trop mignon. Mais il n'est pas juste mignon. Il est aussi intelligent, tellement qu'il arrive à ses fins sans passer par toutes les manipulations usuelles. C'est très agréable !

Quant au style de l'auteur, il est très fluide. Eli Easton prend la plume pour nous exposer l'histoire du point de vue de Mick. On est happé par sa vision des choses et on vit réellement l'histoire en même temps que lui. L'écriture est simple et efficace, pleine de phrases drôles et adorables que je n'ai malheureusement pas pensé à relever. Il n'y a pas de superflu, ou de dialogues ajoutés juste pour faire plus long. Tout a son importance et chaque mot est au service de l'histoire.

Verdict : ♥♥♥♥♥ Un véritable coup de coeur pour cette histoire tout ce qu'il y a de plus simple mais qui se lit avec un plaisir fou, et qui a le pouvoir appréciable de faire sourire et de remonter le moral. A lire absolument.
Lien : http://sweetie-universe.over..
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Alors que j'étais sous ma couette à regarder des dessins animés tout kawaï, voila que je reçois un message d'Ash me disant : « Lis ce M/M ou sinon pas de cadeau ! ». Bon ok, ce n'était pas ce qui s'est réellement passé (même si ça aurait pu l'être lol). Bref, j'ai eu comme cadeau un ebook à lire de suite sous peine de poursuite. Et je dois dire qu'il m'a bien fait rire.

Mick et Fielding sont deux étudiants comme les autres. L'un est un hétéro et l'autre un puceau dans tous les sens du terme. Comment il a pu survivre durant tout ce temps ? J'en sais trop rien et pourtant le destin a bien voulu qu'il quitte « sa prison » et sa tortionnaire de mère « supérieure » pour pouvoir vivre sa vie. Et ce qu'on suit un peu dans cette nouvelle.

Mick, qui est son colocataire, va lui apprendre les choses de la vie dans le plus simple des cas. Fielding, quant à lui, est un garçon « quiche double fromage » mais on ne lui en veut pas pour autant, car c'est ce qui le rend tout mignon. Dans l'ensemble, l'histoire est trop choupi, c'est comme si vous regardez un chaton (ou tout autre chose que vous trouvez adorable) toute la journée et que vous vous dites « Oh qu'il est mignooooooonnnnn !!!!! ». Eh ouais, il y a pas mal de mignonnittude dans cette nouvelle et pour une fois, je ne vais pas râler dessus.

Elle est bien sympa et l'écriture de l'auteur est méga fluide et captivante. Franchement, il est facile de se laisser emporter par l'histoire. J'ai adoré et bien rit aussi. Il n'y a pas à dire, cette branche de gui a bien fait son travail en cette période de Noël en faisant le plus beau miracle de la vie !

Sur ce, on vous souhaite un joyeux Noël à vous tous !!!
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C'est un court roman qui m'a enchanté. Il est frais, de saison.

C'est l'histoire de deux colocataires : Mick et Fielding.

Mick est un garçon à la réputation de tombeur auprès des filles, très sympathique. Fielding est un petit génie, surdoué, très intelligent. Leur rencontre pour leur colocation est assez marrante. Vous la découvrirez par vous-même.

Ils deviennent rapidement les meilleurs amis du monde. Chacun se délectant des connaissances de l'autre. Ils passent beaucoup de temps ensemble. Mick apprécie de tout apprendre à Fielding : courir, comment bien se nourrir etc...Fielding est très à l'écoute et entreprend tout avec grand enthousiasme, comme un grand enfant, et avec perfection, car...c'est Fielding !.

L'histoire nous est racontée du point de vue de Mick. Ses introspections intérieures sont touchantes, et montrent bien l'attachement qu'il éprouve envers Fielding.

Un jour, Fielding se met en tête que Mick doit lui apprendre à embrasser, car c'est le meilleur, et que c'est son meilleur ami. Vous verrez dans l'histoire comment Fielding en est arrivé à cette obsession. Mick n'est pas du tout d'accord et Fielding se demande bien pourquoi, car il ne voit pas ce qu'il y a de mal, vu que c'est le meilleur ET son meilleur ami.

A partir de là, leur relation change. Mick se pose beaucoup de questions sur sa vraie nature.

Mais, je ne vous raconterai pas la fin, vous me connaissez maintenant ! LOL !

J'ai adoré suivre l'histoire de Mick et Fielding. Mick est un garçon drôle, intelligent, toujours prêt à rendre service. Il a sa copine aussi, Samantha, à qui il demande souvent conseil. Tout au long de l'histoire, il se remet en question, s'interroge.

Fielding, lui, est un garçon attendrissant, surdoué, très déterminé, il est touchant dans sa naïveté, il s'émerveille de tout (chose qu'il n'a pas connu dans son enfance, trop surprotégé), pose énormément de questions, avide de connaissances qu'il n'a pas encore acquises, car il ne connais pas vraiment grand chose à la vraie vie en dehors de ses études. Mais, il obtient toujours ce qu'il veut. Grace à son amitié avec Mick, il va beaucoup évoluer. Mick prend soin de lui : il lui fait à manger, lui apprend le jogging, le fait sortir...

L'amitié entre les deux garçons est belle à voir.

Puis, les sentiments évoluent, changent.

L'auteur nous a fait une belle histoire, avec deux personnages intéressants. Nous nous laissons agréablement embarqués par la fraîcheur du récit, fluide, qui se lit facilement, par les caractères des garçons, qui sont émouvants tous les deux à leur manière.

Une jolie histoire au coeur de Noel. Une romance attachante qui m'a comblée.
Lien : http://mateiva.blogspot.fr/2..
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Mick Colman, ex footballeur, ex coureur de jupons, étudiant en double licence en nutrition et en physiothérapie, décide de se consacrer à ses études et ayant l'opportunité de louer une maison, cherche des colocataires plutôt sérieux pour ne pas être dérangé dans ses études.

Arrive alors Fielding Monroe, 19 ans, en master de physique des particules, un petit génie qui sort des jupes de sa mère. Tout au long de ma lecture, je voyais Sheldon Cooper (The Big Bang Theory) en lieu et place de Fielding....

Un coup de foudre amical et une colocation qui s'annonce sous les meilleurs auspices. Jusqu'à ce que Fielding demande à Mick de lui apprendre à embrasser...

Ça aurait pu être une grosse caricature mais c'est mignon, amusant, léger, on sait comment ça finit, mais c'est une lecture agréable. Et puis j'aime bien lire les nouvelles de Noël en plein été moi....
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Beaucoup de nouvelles de Noël sont sorties pour la période. Autant dire que les échos n'étaient pas très bons. Pourtant, l'une d'elle est parvenue jusqu'à mes oreilles et j'ai voulu tenter l'aventure.
Et je n'ai pas été déçue.
L'histoire de Mick et Fielding est assez simple. L'un cherche un colocataire, l'autre à quitter le nid parental. L'un est un étudiant normal, l'autre un surdoué qui a vécu dans une bulle. Il en fallait peut pour que Mick prenne Fielding sous son aile pour le « normaliser ».
Ce que j'ai aimé dans cette histoire, c'est cette entente de colocataire avant la romance. Ce sont deux garçons bien différents qui apprennent à se connaître avant de développer des sentiments.
Mick est un peu bourru et pas très malin et c'est ce qui fait son charme.
Fielding est obstiné et a beau être un génie, il lui manque tellement de connaissances de base que ça en est attendrissant.
L'apprentissage du baiser est un prétexte classique. Ne se voilons pas la face, le coup du « tu embrasses mieux que personne, apprend moi, je ne veux pas me ridiculiser » est un grand classique. Mais ça se laisse lire et on passe un bon moment.
Même si pour moi, l'auteur aurait dû s'arrêter avant l'épilogue. Cette partie-là m'a hérissé les poils tellement on est tombé dans le cliché alors que durant toute la nouvelle, on avait réussi à rester classique mais originale.
Seul bémol, mais je pense que ça vient peut-être de ma liseuse qui est un peu vieille, c'est que j'avais des sigles à la place de certaines voyelles. Cela n'empêchait pas la lecture.

Les +
- Des personnages avec de la matière
- Des situations attendrissantes et même amusante
- Une traduction plutôt bien faite.

Les - :
- Un peu classique
- La fin n'aurait jamais dû exister

En conclusion, si vous aimez les nouvelles un peu guimauve mais avec de l'humour et des personnages entiers, allez-y, vous passerez un bon moment. Même si Noël est terminé.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
— Quand je t’ai appris à courir, ça n’impliquait pas que je mette ma langue dans ta bouche. C’est ce dont tu parles, non ? Tu ne me demandes pas de te dessiner des diagrammes ou de te montrer sur un mannequin ?

Je commençai à avoir l’air un peu hystérique.

Fielding leva un sourcil de manière ironique.

— J’imagine qu’une démonstration directe va être nécessaire, oui.

— Alors, laisse tomber.

Je m’assis sur le canapé et attrapai la télécommande. Il n’y avait pas grand-chose à la télévision, mais je tombai sur un vieil épisode d’X-Files. J’avalai une gorgée de bière. Mon cœur battait de manière irrationnelle et mes paumes étaient moites. Je me sentais extrêmement mal à l’aise. Et Fielding se tenait là, au milieu du salon, une expression de réflexion intense sur le visage.

— Est-ce que c’est une question de salive ? demanda-t-il. De transmission des germes ? Parce que tu n’as pas eu l’air d’avoir besoin d’un avis du médecin pour la douzaine de filles que tu as embrassée. Et je suis en pleine santé.

— C’est pas une question de germes ! Putain, tu es conscient qu’il y a deux genres, non ? Féminin et masculin ? Je veux dire, même toi, tu n’es pas si distrait.

— Je suis au courant du concept et du but des genres, Mick, rétorqua Fielding, l’air insulté. Mais je ne te demande pas de me féconder.

— Non, parce que ça, ça ne serait pas raisonnable, ironisai-je.

— Je n’arrive pas à voir le problème. Est-ce que tu es en train de me dire que, parce que je suis de sexe masculin, tu ne peux pas m’embrasser comme tu embrasserais quelqu’un de sexe féminin ?

— C’est ce que je suis en train de dire, oui.

Fielding secoua légèrement la tête, comme il le faisait chaque fois qu’il ne comprenait pas quelque chose.

— C’est juste une question de bouches, non ? De lèvres et de langues, de la position de la tête, où placer les mains, la pression à appliquer, ce genre de choses ?

— Oui, mais…

— D’après ce que j’en sais, les deux genres ont les mêmes caractéristiques à ce niveau ? J’imagine que ce n’est pas obligatoire de toucher la poitrine ou l’entrejambe quand on embrasse, si ?

— Non.

— Alors je n’arrive pas à voir le rapport avec l’anatomie masculine ou féminine.
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– C’est juste pour trois jours, dis-je, autant pour lui que pour moi.
– Soixante-douze heures, plus ou moins, ajouta-t-il. Il faut plus de temps que ça pour mourir de soif, du moins dans ce climat. Néanmoins, cette période de survie est bien plus courte si on est écorché vif.
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— Non. Ne rends pas ça plus compliqué que ça ne l’est déjà. Je te le dis, il a juste décidé que j’étais « la personne qui embrasse le mieux sur le campus », et il veut absorber mon savoir avec sa télépathie de Vulcain. Ce n’est pas quelque chose de personnel.
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