Un roman inégal qui commence bien malgré quelques longueurs (chapitre 5 par ex) mais dont le défaut est de laisser entendre au lecteur que le père décédé a quelques secrets cachés à transmettre au fils, le narrateur. Et finalement, passé les premiers chapitres, il n'y a pas de secrets fracassants à découvrir mais une évocation du père qui est prétexte à une description du Cameroum (je me suis demandé pour quoi on parlait du pays des Crevettes jusqu'à regarder sur internet) avec, par exemple, une belle évocation de Douala. Cela reste un roman agréable à lire, intéressant par ce que l'on apprend du Cameroun, de son histoire et de sa société.
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