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sur 567 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Vous avez sans doute déjà entendu parler de cet auteur, notamment avec son célèbre roman le nom de la Rose, adapté au cinéma en 1986 par J.J.Annaud. L'Île du jour d'avant n'est pas un roman policier historique mais un roman historique qui entre dans la catégorie baroque. J'ai lu ce livre dans le cadre de ma licence, j'ai envie de vous en parler avant d'étudier l'oeuvre en profondeur pendant le cours. La chronique sera quand même truffée d'allusion au cours que j'ai pu avoir, mais je vais essayer au maximum de retranscrire mon ressenti de lectrice et non d'étudiante.

La première chose qui m'a frappé en lisant ce livre ce n'est pas l'écriture quelque peu complexe ou l'époque à laquelle se déroule l'intrigue, ce sont les nombreuses références à d'autres ouvrages, j'ai en tête l'exemple de la Carte du Tendre. L'Île du jour d'avant est une mine de référence et de clin d'oeil, j'en ai saisi certains au vol mais je suis sûre qu'il s'agit d'une infime partie au regard de tous ceux que je n'ai su déchiffrer. Pour reprendre les termes de mon professeur de littérature comparée : " Il faut s'appeler Umberto Eco pour comprendre du Umberto Eco ".

le style d'Umberto Eco n'est pas un style avec lequel nous sommes habitués voire familiarisé, sa plume est très riche bien que souvent chargées. Il s'agit d'une écriture très différente, ludique sans doute mais pas accessible à tout le monde. Ce livre emprunte au XVII son style ainsi que quelques-unes de ses grandes idées, ce qui n'est pas sans me rappeler Là où les tigres sont chez eux dans lequel on retrouvait un personnage et des idées du XVII. On nous relate ici les écrits de quelqu'un, son parcours ainsi que son existence.

Roberto de la Grive, personnage central de ce roman, va vivre bien des aventures et nous apprendra bien de choses entendues çà et là au détour d'une conversation dans les salons Parisiens. Tout au long du roman, j'ai eu une impression de flou : Roberto ou Ferrante ? Rêve ou réalité ? Un jeu de miroirs dans lequel la réalité m'est apparue comme déformée, exagérée, atténuée, enlaidie et parfois embellie. Rien n'est jamais lisse, rien n'est jamais uniforme. le lecteur, tout comme il semble être le cas de Roberto, se perd dans l'illusion d'un frère imaginaire, d'un double qui agit dans l'ombre de tous.

Ce livre nous propose une réflexion sur le problème des longitudes – thème très en vogue au XVII. J'ai vraiment eu du mal à m'intéresser aux passages traitant des longitudes, je ne me suis pas sentie concernée par le propos, petit bout de femme du XXI je ne peux comprendre l'engouement des personnes d'une autre époque. Toutefois, cela ne m'a pas empêché de remarquer à quel point certaines choses et révélations pouvaient avoir un impact déterminant sur la suite du livre. En plus des questions de longitudes, L'Île du jour d'avant aborde la thématique de Dieu, de la poudre de Sympathie et de nombreuses autres choses encore. Ce livre est très riche, les réflexions sont larges et profondes...



Rythmé par 40 chapitres, ce roman embarque le lecteur dans une aventure dont on ne sait rien, on apprend, on comprend, on doute. Il s'agit d'un livre avec lequel il faut se battre, il faut lutter pour en venir à bout et ne pas se décourager. Je dois avouer que c'est presque une fierté de l'avoir terminé, un soulagement surtout. Vous ne pouvez lire ce livre entre deux arrêts de tram tant il requiert toute notre attention. Ne voyez donc pas cet ouvrage comme un roman de détente, il s'agit d'un roman qui s'inscrit dans l'univers baroque, un roman subtil et compliqué.

Des histoires entremêlées, une quasi impossibilité de différencier le vrai du faux, voila ce qui vous attend ; une sorte de jeu dans lequel les règles ne sont pas explicites et changent sans cesse. Nous suivons Roberto, mais à travers son regard, ses remarques et ses souvenirs nous suivons également philosophes et hommes d'Eglise. Les personnages sont nombreux, souvent de passage mais certains vont marquer Roberto, lui insuffler des idées ( Saint-Savin, Caspar ... ). Idées parfois révolutionnaires, réactionnaires, des idées sur tout et sur rien, des pistes de réflexion et des raisonnements complets, d'obscures pensées et des méthodes incongrues, cruelles et malsaines ( exemple du chien sur le bateau ). Caspar sera comme un compagnon d'infortune là où Ferrante sera un moyen de s'extraire de la réalité, jeu double auquel se prête Roberto. Nous n'avons pas le temps de nous attacher aux personnages et ce n'est sans doute pas l'objectif de ce roman, nous sommes pareils à des spectateurs observant le ballet des comédiens dans un théâtre.

L'histoire se déroule principalement sur un bateau, La Daphne, qui n'est pas sans rappeler l'Amaryllis à Roberto. Prison aux barreaux dorés ou Paradis pour âme ? Ce bateau va être au coeur de bien des réflexions, laissez-moi vous dire que rien n'est simple dans ce livre. Suite à un naufrage, Roberto trouve en quelque sorte refuge sur un bateau, mais manque de chance, l'équipage a déserté et il ne sait pas nager! Comment quitter cet endroit à la fois porteur de son salut et de sa déchéance ? C'est un des thèmes abordés dans ce livre, un des nombreux thèmes avec lesquels l'auteur semble s'amuser. L'Arche de Noé semble être représenté dans ce livre, le Déluge dans toute sa splendeur et ce que cela implique. Tout est sujet à réflexion, la moindre pensée conduit à un questionnement puis à une analyse.

Je ne peux pas vous dire que je n'ai pas aimé ce livre, ce serait vous mentir. Ma lecture fut certes difficile, mais enrichissante. Avec des sujets tel que l'amour, le voyage et la solitude ( pour n'en citer que trois ), l'auteur parvient quand même à captiver son lecteur, à l'appâter en quelque sorte. L'appâter pour mieux le faire sombrer au coeur de l'érudition. le temps est une notion qui se dilate lors de la lecture – hier, aujourd'hui, demain – qu'en est-il du temps qui s'écoule ? La notion de distance se dilate également, nous avons l'impression d'être à la fois proche et en même temps très loin de l'île du jour d'avant. Cette île semble soulever bien des mystères et secrets, elle est la source de nombreuses réflexions et débats. Les heures de lectures m'ont paru interminable, je crois que toutes ces réflexions sur le temps ont quelque peu altéré mes facultés de lecture.

Ce livre n'est donc pas facile à comprendre et je ne prétendrai pas l'avoir compris, loin de là. J'attends avec impatience les éclaircissements du cours à ce sujet, les approfondissements et éclairages de certains passages, les explications de certaines références... Je suis curieuse de découvrir Umberto Eco dans le nom de la rose...
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Ce roman, que, par deux reprises dans le passé, j'ai tenté de lire sans succès, m'attendait bien sagement en ces temps de confinement. L'île du jour d'avant, roman d'aventures au propos philosophique, raconte la destinée de Roberto de la Grive, espion à la solde du cardinal Mazarin, embarqué sur l'Amaryllis en 1643, afin de percer le secret du calcul des longitudes. Naufragé aux abords des îles Salomon en Océanie, il parvient à rejoindre un navire également échoué, la Daphné, vide de son équipage.
Le reste, il faut le lire pour le croire : toute l'érudition d'Umberto Eco se déploie dans des discussions existentielles entre notre héros et ses interlocuteurs, réels ou imaginaires, car ici, la part du rêve est tout aussi importante que la réalité. Il y est question d'éternité, de l'existence de Dieu, de la mort et du sens donné à la vie humaine sur terre. Impossible de résumer un tel foisonnement d'idées dans un seul roman.
« Ce qui hante le philosophe n'est pas le naturel de la fin, mais le mystère du commencement. Nous pouvons nous désintéresser de l'éternité qui nous suivra, mais nous ne pouvons nous soustraire à l'angoissante énigme de l'éternité qui nous a précédés : l'éternité de la matière ou l'éternité de Dieu? Voilà pourquoi il avait été jeté sur la Daphné, se dit Roberto. Parce que dans ce paisible ermitage, il aurait réfléchi à loisir sur la seule énigme qui nous libère de toute appréhension face au non-être, en nous livrant à la stupeur de l'être. »
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Dans ce roman, l'auteur nous invite à suivre un jeune piémontais dans un périple au XVIIème siècle, qui le mènera jusqu'à ces antipodes (où les hommes auraient donc dû marcher la tête en bas) pour tenter de résoudre un mystère qui passionnait l'époque : le secret du Point Fixe. Or c'était bien une île qui était ce point ; cette île par laquelle passe le 180e méridien, la ligne de changement de date, celle ou d'un mètre à l'autre on passe au jour d'avant...
Ce roman nous permet d'explorer le temps et nous fait passer au travers de son personnage par des multiples évènements comme la guerre de Trente ans. Notre piémontais est à la fois espion, poète et philosophe.
Unberto Eco montre une nouvelle fois toute son érudition dans ce roman initiatique où l'on découvre que rien n'est innocent.
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Un livre d'Umberto Eco ne peut jamais être un mauvais livre ! Partant de ce présupposé tout personnel, j'avoue ne pas considérer L'Ile du Jour d'Avant comme le meilleur ouvrage de son auteur. J'ai eu du mal à "rentrer" dans ce roman, comme toujours bourré (de trop ?) d'érudition, de culture, de faits étranges, de références religieuses, artistiques ou philosophiques... Mais cette profusion même conduit à la nécessité de rester concentré à la lecture (un peu comme dans le Pendule de Foucault). Quatre étoiles malgré tout, car, même si la lecture ce cet opus n'est pas chose aisée, ça reste un plaisir de lire (ou relire) le grand Umberto Eco.
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Après le médiéval Nom de la Rose, Umberto Eco poursuit dans le baroque des grandes découvertes de la navigation maritime et de la spéculation philosophique.

L'Ile du jour d'avant se déroule quelque part dans le Pacifique, sur un bateau fantomatique, récemment abandonné pour des raisons mystérieuses, à proximité d'une ile qui se tient sur la ligne de changement de date. Cette ligne imaginaire longe le 180e méridien (est et ouest) et indique l'endroit où il est nécessaire de changer de jour quand on la traverse. A cheval sur le temps, en quelque sorte :
"En ce point de la terre, il y a une ligne, que de ce côté-ci le jour d'après est, et que de côté-là le jour d'avant", explique le père Caspar au jeune Roberto dans son étrange sabir. Car Roberto de la Grive, espion aux services de Mazarin, naufragé qui s'est échoué sur le navire, va y vivre d'étranges aventures, dont la rencontre de son Vendredi en la personne du père Caspar Wanderdrossel, e Societate Iesu, mais aussi astronome et savant ès tant d'autres disciplines près la Curie du Général de la Compagnie. (p.21)

Dans un récit échevelé d'érudition et d'imagination, notre auteur évoque le très sérieux problème de la longitude, si difficile à mesurer pendant si longtemps, qui a empoisonné les navigateurs, incapables de situer leurs positions avec certitude. Des îles étaient découverte que l'on ne pouvait plus retrouver ensuite. Les vaisseaux s'échouaient, naufrageaient, faisant de l'océan un lieu de perdition au sens propre, parce que les navigateurs étaient tout simplement perdus !
La précision croissante des horloges, résistantes au tangage et à l'humidité, aidaient les capitaines. Mais le point restait un art plutôt qu'une technique, quels que soient les instruments employés (sextant, compas). L'art de la navigation était moins dans la manipulation des voiles que l'art de faire le point. Cette technique, exigeant de savants calculs, échappait à l'équipage et contenait ses envies de mutinerie. Beaucoup d'officiers avaient eu la vie sauve à condition d'assurer le pilotage pour le compte des mutins, science savante et élitiste, comme l'expliquait déjà Platon dans "La République".

D'où l'importance du calcul de la longitude, au contraire de la latitude qui se fixe par jeu d'enfant au moyen de l'astrolabe et de l'arbalestrille. Cette épineuse question devenait affaire d'État, chaque gouvernement en attendant la clé de la suprématie des mers et du commerce.
" L'État qui découvrirait le secret des longitudes, et empêcherait que la renommée s'en appropriât, cet État obtiendrait un grand avantage sur tous les autres" déclare Mazarin (p.192).
En 1714, le Parlement britannique promettait dans le "Longitude Act" un prix de vingt mille livres à qui trouverait une solution acceptable au problème de la longitude en mer. D'où l'étrange construction administrative, par l'abbé Grégoire à la fin du même siècle, d'un bureau des longitudes au nom évocateur de grand large, qui subsiste encore sous le nom, toujours poétique, d'Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides.

Eco exulte à faire comprendre toute la poésie de la science dans cette oeuvre savamment débridée ou l'érudition peut tout autant lasser que séduire.
On retiendra, parmi les morceaux d'anthologie, la leçon de natation, sertie dans les considérations philosophico-scientifiques de l'attachant père Caspar (p. 308 et suiv), la découverte du lagon (p.402 et suiv.) grâce à un original scaphandre autonome bien antérieur au système Cousteau-Cagnan.
On croisera, au détour d'une phrase, toujours travestis, Cyrano de Bergerac, Pascal, Arcimboldo (pp. 405, 406) et quelques autres...
C'est l'esprit d'un temps que ressuscite Eco, en nous laissant dénouer l'écheveau de ses inventions, de ses faux semblants et de ses lubies.On regrette d'autant plus sa récente disparition qu'il était, et reste, grâce à ses livres, l'incomparable dispensateur d'un gai savoir érudit et farceur.
Lien : http://diacritiques.blogspot..
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Le seul livre d'Umberto Ecco qu'il m'ait été donné de lire jusqu'à présent et, je dois dire, une belle surprise. Acheté il y a 15 ans (la couverture m'avait tapé à l'oeil), tout juste retrouvé au fin fond de ma bibliothèque. Quelle étonnante plongée dans l'univers mental et culturel du XVIIe siècle! La fresque est fascinante, qui mêle considérations de "grande politique européenne" avec une peinture souvent humoristique des tribulations du jeune Roberto de la Grive entre son Italie natale et ce que l'on appelle l'île de Salomon. le point de départ de l'aventure est éminemment philosophique et scientifique, et tente de rendre compte du bouleversement de long terme qu'ont amené les Grandes Découvertes et les progrès de l'astronomie dans le renouvellement de la vision du monde, de Dieu et de l'homme. C'est du moins l'arrière-plan de ce voyage initiatique pour le jeune Roberto, qui se retrouve malgré lui embarqué à l'autre bout du monde pour essayer de percer les mystères de la "science des méridiens", dont on affirme qu'elle doit donner à celui qui la connaît la domination sur les océans du monde. Cette mission est aussi une quête intime du héros, prisonnier de ses passions, de ses rêves et de ses folies, et qui doit trouver au bout du monde des réponses sur sa propre existence. L'ouvrage est certes érudit, mais il rend compte avec beaucoup de justesse, je pense, de la manière dont on concevait la science et le sentiment religieux à cette époque: les amateurs d'histoire et de théologie se régaleront, les autres peuvent en trouver la lecture un peu plus difficile. Pour autant, ce récit est souvent très sautillant et léger, pétri d'ironie, parfois cruel et triste aussi, plein de personnages hauts en couleur. C'est la grande élégance de ce texte, je trouve: être capable de rendre compte d'un monde mental fort éloigné du nôtre avec beaucoup de vraisemblance, tout en bâtissant une histoire somme toute invraisemblable, pleine de poésie et de folie. Il faut également saluer, je crois, le travail de la traductrice, car il n'est certainement pas simple de traduire un ouvrage où la réflexion sur le langage, les mots et l'origine du "verbe" est permanente.
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[En français: L'île du jour d'avant, ISBN: 978-2253143611]

L'histoire est un peu faible : c'est celle d'un guerrier-savant du XVIIe siècle qui s'embarque vers la fameuse île située sur le 180ème méridien, celui du changement de date, laquelle il apercevra de très près mais ne pourra pas atteindre. Je pense que l'intérêt, comme dans tous les romans de Eco, réside dans le plongeon qu'il est capable de nous faire faire dans la pensée, la langue, les problématiques majeures d'une époque : ici il s'agit surtout des problématiques philosophiques et astronomiques. La langue est, dans le texte au moins, d'une pesanteur tout à fait baroque, et quelques amis spécialistes de la littérature italienne de cette époque m'ont dit avec un certain mépris qu'il s'agirait d'un complet plagiat d'oeuvres plus ou moins célèbres d'époque. Dans ce cas, je ne serais pas du tout méprisant, mais au contraire particulièrement admiratif, comme devant tout exercice de style de virtuose (comme devant La Disparition de Perec, pour donner un exemple).
De plus, et toujours en harmonie avec ce fameux siècle, la trame est basée sur une dialectique permanente avec un alter-ego méchant et poltron du héros, dans une histoire chevauchée, un peu comme dans le Vicomte pourfendu d'Italo Calvino, mais avec une plus grande profondeur ou une plus profonde grandeur (le baroque, c'est contagieux!), me semble-t-il, qui rend une lecture psychanalytique du roman possible, voire plausible (aux deux sens de ce terme).
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A lire l'été.
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Le début de ce livre m'a été particulièrement laborieux : si je n'ai rien contre les flash-backs et les digressions lorsqu'ils sont raisonnables, je ne comprenais là pas où l'auteur voulait m'emmener.
Il a fallu près de 150 pages pour que les rouages de l'intrigue se mettent en place...
À partir de là, le roman devient vraiment intéressant, avec une réflexion aussi philosophique que poétique sur le méridien 180 qui sépare aujourd'hui d'hier. S'ajoutent à cela les angoisses d'un Roberto complètement seul qui s'évade dans son imagination par le truchement d'un frère mauvais qu'il déteste mais en même temps qu'il voudrait être.
Bref, un livre qui vaut le détour mais que je ne relirai probablement pas à cause de son début beaucoup trop mou.
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L'image de couverture (une décoration de Taddeo Zuccari pour le plafond de la salle de la Mappemonde du palais Farnèse à Rome et qui la même pour toutes les éditions étrangères) explique ce livre : de beaux passages, difficiles à relier et qui partent un peu dans tous les sens. Reflet de l'époque dans laquelle il se situe, le XVIIe siècle foisonnant de découvertes, c'est un récit baroque, pour le meilleur et pour le pire.
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