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3,08

sur 298 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je suis déçu, je me faisais un plaisir de découvrir en dehors du nom de la rose pour au final trouver ce livre indigeste.
Quand je voie les louanges pour ce livre parfois, je me dit que je doit être un peu débile vu que je n'ais strictement rien compris, que je me suis ennuyer à mourrir et qu'il me fut impossible de me concentrer pour lire ces quelques pages.
Je pense que je garderais à l'esprit un Umberto Eco associé au nom de la rose et que je vais très vite oublié ce Numéro Zero (qui pour moi porte bien son nom).
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A la fin d'une vie d'homme érudit et d'écrivain ont à collecté une somme d'informations, de révélations, certaines bluffantes, choquantes, qui restent inconnues du "grand public", cela démange de faire ouvrir les yeux complaisamment fermés. L'envie de faire grandir un peu ses compatriotes, lorsque l'on en est un...de patriote, de l'humanité...Comment leur faire avaler à ces bougres d'âne des cuillères de vérités pas bonnes à entendre...
Bah j'aurais aimé , moi fan lambda de ce grand écrivain....que toutes ces manigances journalistiques et politiques, toute cette manipulation de la pensée voir de la psyché des peuples , soit mieux traitées.
Sont jetées là , pêle-mêle une montagne d'infos , essentiellement sur l'histoire italienne d'après guerre, noyées dans une petite histoire de journaleux minables, manipulateurs eux mêmes manipulés volontaires...Certes Ecco nous "éclaire" si besoin est sur la désinformation constante des organes faits pour nous informer. Mais cela aurait tellement pu être traité mieux par lui...mais peut être n'avait il plus l'énergie pour produire le pavé nécessaire, 237 petites pages pour malgré tout partir en ayant quand même balancé l'indigestion qui nous reste en travers de la gorge..
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Numéro ZERO, le bien nommé...
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Une lecture qui m'a profondément déçu. J'ai en effet trouvé que l'histoire était trop courte pour se l'approprier pleinement. La litanie des noms et des lieux italiens est pénible, voir indigeste, elle casse le rythme de l'intrigue qui est d'ailleurs quasi inexistante.

Pour une découverte de cet auteur, je me suis trompé de roman...
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Un vague intérêt historique, pour le reste, c'est très décevant. On a l'impression qu'Eco l'a rédigé comme un livre de commande.
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Le livre a beau être court, je ne suis pas allé jusqu'au bout. L'histoire déçoit. C'est ambigu, alambiqué, on ne voit pas où veut nous conduire l'auteur et on se demande s'il le sait lui-même. Un Eco en méforme.
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Je n'ai pas réussi à m'intéresser à cette histoire. Aucun des personnages ne suscite l'empathie hormis Maïa qui joue un peu le rôle de bouc émissaire mais dont la personnalité n'est pas très développée. La théorie complotiste de Braggadocio concernant la mort de Mussolini n'a rien de très originale en soi. Seule la description des petites combines utilisées par les journalistes pour masquer leur mauvaise foi ou leur incompétences m'a vaguement amusé. Je n'ai pas réussi à comprendre si Colonna était victime ou paranoïaque, manipulé ou manipulateur. Rien à voir avec le nom de la rose, ni l'île du jour d'avant.
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Umberto Eco... le nom d'un grand auteur que j'attendais de découvrir avec impatience...

Malheureusement, je me suis ennuyée comme un rat mort ! J'avais l'impression de lire du vide...
J'avançais, de page en page, sans faire attention au contenu de l'ouvrage. Lecture en diagonale...
Bien écrit, ça, je ne peux pas le nier mais... pour moi, ça ne fait pas un livre (à part si on veut décorer sa bibliothèque avec des livres qu'on a pas lus pour faire bien...).

Eco donne qu'une clé pour lire ce roman : « le fonctionnement de la littérature, c'est de produire des lecteurs pessimistes, de les obliger à réfléchir, à penser ».
Je connais très bien le monde du journalisme et une chose est certaine, je n'ai pas besoin de l'auteur pour réfléchir aux liens ambigus qui existent entre presse et pouvoir.

En conclusion, je suis sûrement passée à côté de quelque chose mais pour moi, ce roman n'a aucun intérêt. Pas sûr que je retenterai l'expérience avec un autre livre de cet auteur.
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