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Critique de Sylvere


1871, Paris, dans une ville marquée par la Commune nous suivons Auguste Bretagne, un écrivain de feuilletons pour la presse qui cherche l'inspiration dans son appartement de Montmartre et parmi les artistes « maudits » de la capitale.

Il habite la chambre d'un écrivain à la légende noire, Isidore Ducasse, alias Le Comte de Lautréamont, auteur d'un livre étrange, dérangeant mais inspirant « Les Chants de Maldoror » et mort dans la pièce à 24 ans.

Ce livre est un petit ovni, puisque l'on a l'impression d'être dans un livre sans réel rythme et pourtant, sans réel histoire et pourtant, sans réel fil conducteur et pourtant…

Nous naviguons dans un univers un peu décalé, celui des écrivains et artistes maudits ou ratés, dans un monde ou les substances euphorisantes permettent de voyager et de créer. Auguste Bretagne qui se veut artiste libre, appelle sans cesse son frère policier à la rescousse, il trouve Rimbaud et ses comparses insupportables mais les fréquente régulièrement…

Bref un livre à lire car il est vraiment plaisant mais on ne peut pas trop en dire non plus.

Ah oui, accessoirement, ce livre serait la première bande dessinée de l'histoire, datée de 1874, alors que l'enquête commence.
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