Guy Debord à Jaime Semprun 26 décembre 1976
J'ai beaucoup d'ennemis et on ne m'a jamais accusé de les censurer; ni même de pratiquer cette dissimulation pseudo-dédaigneuse des positions de l'adversaire qui se rencontre si souvent dans les gauchismes : j'ai toujours considéré que le pire, pour mes ennemis, c'était qu'on lise attentivement leurs textes.