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EAN : 9781471791741
310 pages
lulu.com (27/11/2012)
3.75/5   2 notes
Résumé :
Pour une fille qui préfère les filles, la vie devient très compliquée le jour où elle tombe raide dingue d’une hétérote formatée « Moi ? lez ? Non merci ! Dieu me préserve ! ». En même temps, y a des jours, Dieu est plutôt joueur.
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
« TROIS JOURS AVEC ELLE ». Pour une fille qui préfère les filles, la vie devient très compliquée le jour où elle tombe raide dingue d'une hétérote formatée « Moi ? lez ? Non merci ! Dieu me préserve ! ». En même temps, y a des jours, Dieu est plutôt joueur.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
L’ennui, dans notre petite vie, c’était qu’il y avait des trucs vraiment ennuyeux. Comme d’aller bouffer chez ses amis. Vraiment, c’était grave chiant. A part Olga, qui était notre copine commune, j’avais commencé à rencontrer les autres amis de Fred. Et vraiment, ils étaient chiants à mourir. Déjà, j’avais commencé à remarquer que Fred, il n'avait pas trop le sens de l’humour. Enfin, ce n’était pas son truc. Il savait être réceptif. Il pouvait rigoler quand je sortais quelque chose de drôle. Mais tout seul, il ne savait pas faire. Comme s’il était handicapé. Moi, je n’avais pas trop l’habitude.
En général, j’étais toujours avec des gens un peu marrants, un peu originaux, ou même carrément déjantés. Même Olga, sans se forcer, elle pouvait être ultra rigolote. Enfin, à cette époque-là. Et mes copines hétéros, avec lesquelles on allait partir en stage de tennis, elles étaient aussi super marrantes.
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Elle avait un look que je kiffais trop. Tailleur strict, chemisier blanc, veste droite, jupe droite aussi, à peine au-dessus du genou. On aurait dit qu’elle venait faire le catéchisme à une classe de sixième. Et petit à petit, la chaudasse qui couvait en elle se révélait brutalement. Avec sa collection de godes pas tristes pour finir la nuit. Enfin, bon, à chacun ses fantasmes. A cette époque-là, elle était le mien, malgré moi, évidemment. Même si j’étais archi consentante.
Ce qui me fatiguait avec elle, c’était qu’elle essayait de me tester en permanence. Oui, ça, ça me fatiguait terrible. Et plus ça me fatiguait, plus ça l’excitait, cette folle. Et plus ça l’excitait, plus elle me chauffait. Le plan c’était d’allumer d’autres filles quand j’étais avec elle, ou de me relater des rencontres qui laissaient supposer une fin sexuellement inadmissible pour moi et très satisfaisante pour elle.
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Elles étaient là comme des fantômes malveillants qui traînaient leur mal de vivre dans le seul endroit, où croyaient-elles, elles pouvaient s’affirmer. Alors on sombrait dans le sordide. Dans l’horrible. Dans l’immonde. Dans l’hideux. Pour un peu qu’un couple de filles nouvelles venues mettait les pieds là-dedans, elles étaient sûres de finir la nuit en fight.
Et elles avaient toutes les chances de se détester à vie après cette nuit-là. Parce qu’il y avait toujours une ou deux décérébrées pour venir les chauffer et draguer la première des deux qui donnait le moindre signe de faiblesse. Je les avais vues fonctionner. Toujours les mêmes qui adoraient foutre la merde. Toujours les mêmes jusqu’à ce qu’elles se mettent hors-jeu toutes seules.
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Finalement, on avait quelques points communs. Comme moi, il aimait les filles et les bouquins. Je lui ai fait lire un de mes manuscrits. Il a dit, c’est pas terrible, on dirait un cahier de vacances.
Bon j’ai compris que j’avais encore des progrès à faire et j’en ai plus parlé.
Il aimait bien les aquarelles et moi aussi. Mes aquarellistes préférés s’appelaient et s’appellent toujours Delacroix, dans sa période marocaine et plus que tout Hugo Pratt, dans toutes ses périodes. J’adorais copier ses femmes éthiopiennes, ses paysages, ses personnages en uniformes anglais, allemands, italiens.
J’adorais tout chez lui et je pouvais passer des week-ends entiers à essayer de le copier.
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Pour un mec, il baisait plutôt bien, pas juste j’te mets ma queue et je jouis. Quoique, te faire agrafer, scotcher, clouer au mur quand tu rentres du ciné, même pas le temps de respirer, juste d’avaler quelques bouffées d’oxygène, c’était plutôt agréable, comme pied quand t’étais synchro
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