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EAN : 9782017038450
192 pages
Hachette Jeunesse (30/05/2018)
3.94/5   286 notes
Résumé :
4° de couverture :
(Edition source : Le Livre de Poche, Histoires de vies - 07/2002 (1° DL : 2001, Hachette Livre (Trad))

Parvana a onze ans et n'a jamais connu son pays autrement qu'en guerre. Une guerre de cauchemar, qui interdit aux femmes de sortir non voilées et sans l'escorte d'un homme, père ou mari. Assez grande pour être soumise à ces interdits, Parvana doit pourtant trouver une façon de les contourner. Car depuis que les taliban - gr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (133) Voir plus Ajouter une critique
3,94

sur 286 notes
Ne vous fiez pas à l'adorable minois de Parvana et aux couleurs chatoyantes de la couverture… Cet ouvrage est loin d'être féerique : il plonge le lecteur au coeur d'un pays troublé… Un pays en guerre depuis plus de vingt ans… Un pays où les bombes tombent et où les mines explosent au quotidien. Un pays où les Taliban frappent en pleine rue, emprisonnent ou tuent ceux qui leur tient tête. Un pays où les Femmes n'ont aucun droit et doivent rester prostrées chez elles, quitte à mourir de faim. Un pays où il faut se travestir en garçon pour sauver sa famille. Un pays où il faut travailler, même si certaines besognes sont affreuses. Un pays où règnent la tyrannie et la violence. Ça, c'est le quotidien de la petite Parvana, l'héroïne de cette histoire. Adultes comme jeunes lecteurs seront certainement touchés par cette demoiselle courageuse, dynamique et avec un fort tempérament… Ce qu'elle a fait pour les siens est tout simplement incroyable…

À travers son héroïne pleine d'innocence et de naïveté, Deborah Ellis pointe du doigt cette culture où les Femmes sont inférieures à l'Homme. Certes, on est sur un point de vue enfantin qui va mettre parfois l'accent sur des jalousies entre deux soeurs, mais Parvana est tout de même très lucide sur l'horreur qu'elle vit au quotidien. Il est difficile de rester insensible aux scènes de cet ouvrage ou aux thématiques soulevées… Surtout lorsque l'on sait que cela se passe comme ça en Afghanistan, si ce n'est parfois pire… Bien que la majorité des faits soient durs, de bons lecteurs apprécieront et seront intéressés par le récit. La quatrième de couverture préconise de découvrir ce livre à partir de 11 ans et je suis assez d'accord, car certaines réflexions méritent de la maturité et quelques passages sont difficiles (ex : profanation des tombes pour vendre les os des défunts).

J'ai été très émue par le destin de cette famille à laquelle je me suis facilement attachée. L'entraide règne en maître entre toutes ces femmes. Il n'y a que le personnage de Nooria, la soeur de Parvana, qui m'a déplu. Il faut dire que c'est un personnage que l'auteure cherche volontairement à nous faire détester… En effet, Nooria va avoir un comportement agressif, hautain et cassant avec sa soeur qui a le malheur de faire toutes les corvées (eau à aller chercher, courses, changement en garçon, travail, etc.). Elle va se comporter comme une vraie peste et aura toujours un mot pour rabaisser sa cadette qui fait pourtant de son mieux. Il est donc difficile de comprendre ou de s'attacher à cette aînée qui fait passer son mal-être sur Parvana.

Ce roman réaliste a pour avantage de faire découvrir une autre culture. Ainsi, à plusieurs reprises, on va découvrir des coutumes afghanes ainsi qu'un mode de vie différent du nôtre. Je pense que cette lecture va susciter bien des questions auprès des jeunes lecteurs qui voudront certainement en savoir plus sur ce pays, voire sur la place des Femmes dans le monde… Enfin, j'ai aimé le fait que l'auteure ne prenne pas spécialement parti dans le conflit : à un moment, Parvana va faire la rencontre d'un taliban ayant perdu un être cher. Sa réaction, absolument pas hostile, va lui permettre de temporiser sa haine à l'égard de ceux qui dirigent le pays. Même si la majorité de ces hommes sont affreux avec son peuple ou sa famille, certains ne sont pas dans le même moule. Il est important de nuancer les choses, comme l'a fait Deborah Ellis. Je serais curieuse de voir comment l'ouvrage va être adapté en long-métrage cet été ! En tout cas, c'est le genre d'oeuvre qui dénonce à merveille une situation insoutenable et qui met en avant des messages importants.
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Une petite relecture pour moi, qui m'a fait extrêmement plaisir. Eh oui, même si ce n'est plus de mon âge, je prends un plaisir fou à relire les livres qui se trouvent dans ma bibliothèque.

Et finalement, je sais pourquoi je l'ai gardé. Même s'il était pour les jeunes. J'ai ressenti des émotions très fortes dans ce livre. Autant, voire plus que lors de ma première lecture.

En ce qui concerne l'histoire : une jeune fille prénommée Parvana, vit en Afghanistan, un pays dévasté par la guerre, les bombardements, les sirènes, le confinement des femmes à la maison et tout ce qu'il s'en suit. S'en suivront toute une ribambelle de petites histoires, d'actions et autres pour survivre dans ce pays déchiré que la famille de Parvana, assez aisée, aime tant malgré tout.

Durant cette relecture, ce qu'il me marque le plus, c'est la simplicité de l'écriture pour raconter les horreurs d'un pays sous l'emprise des Talibans. Mais de suite, je me répète : « Ah oui, c'est un livre jeunesse » et j'en suis encore plus envoûtée. Effectivement, à ma connaissance, je n'ai que rarement vu des livres jeunesse parler d'évènements difficiles. Avec son écriture, Deborah Ellis nous informe sur la situation dans le pays, qui est tout de même alarmante à l'époque, et encore à l'heure actuelle en 2014 !

J'ai eu l'impression de vivre avec Parvana, avec sa famille, faire partie de son quotidien et c'est une sensation que j'adore ressentir. Même si je me souvenais de l'histoire, je l'ai donc vu un petit peu différemment, avec 10 ans de plus, mais j'ai ressenti les mêmes choses : l'envie d'en savoir encore plus, de découvrir encore plus ce pays meurtris qu'est l'Afghanistan et continuer un petit bout de chemin encore avec Parvana. Heureusement, il y en a 3 !

Pour finir cette petite critique, je pense que ce livre restera encore longtemps dans les rayons de ma bibliothèque et que je le partagerais encore et encore. Parce que la lecture est encore plus agréable lorsqu'elle est partagée.
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Par Eléonore

Parvana une jeune afghane de 11 ans n'a jamais vu son pays en dehors de la guerre... Une guerre horrible ! Les femmes n'ont le droit de sortir qu'avec un tchador et les talibans occupent tout le pays. Ils font des milliers de morts. Parvana vit cette guerre au quotidien !

Un jour, des talibans entrent dans sa maison où toute la famille mange : ses parents et ses trois frères et soeurs. Ils embarquent son père lui reprochant "Traître tu n'aurais jamais du aller faire tes études en Angleterre ! " Alors c'est la prison pour lui. Toute la famille est déboussolée. Parvana est la seule à pouvoir sauver sa famille en se déguisant en jeune garçon... et c'est ce qu'elle va faire !

Comment ne pas être touchée par l'histoire d'une jeune fille de mon âge ? En découvrant les horreurs du combat, j'ai ressenti ce que vivait Parvana.

Pour toutes les personnes curieuses qui veulent voir la vie sous un autre angle, lisez ce livre !

Par Cloé. M

Parvana a onze ans et fait partie d’une famille nombreuse, une famille qui se serre les coudes…

Elle vit dans un pays en guerre, l’Afghanistan, elle n’a jamais vu son pays autrement qu’en conflit. Un jour son père se fait emprisonner… Sa mère tombe dans la dépression, Parvana va devoir faire vivre sa famille avec le peu qu’elle a ! Une fille qui va les aider, va leur être bien utile…

Je ne sais trop quoi penser de livre car il est à la fois génial mais il est tout aussi triste… Mais j’en garde un avis positif.

Par Iman

Parvana est une jeune fille de 11 ans, elle n’a jamais vu son pays, l’Afghanistan, en dehors de la guerre, et elle vit avec sa famille dans une seule pièce. Tous les matins, elle part avec son père sans qu’elle en ait vraiment le droit car elle n’a pas le tchadari qui est obligatoire pour les femmes qui doivent toujours être accompagnées d’un homme pour sortir. Elle est une des rares personnes à savoir lire avec sa famille. Les Talibans détiennent leur pays peut-être temporairement. Un jour, ils emprisonnent son père et font des choses violentes. Pour pouvoir sortir et nourrir sa famille, Parvana va devoir se déguiser en garçon… Mais que va-t-il se passer ?

Cette histoire m’a beaucoup plu et surtout émue. Elle a permis de m’ouvrir les yeux sur ce qu’il pouvait se passer dans le monde. Je vous incite à le lire !

Par Danaé

Parvana a 11 ans quand son père est arrêté par les talibans, qui mettent le pays, l’Afghanistan, à feu et à sang depuis plus de vingt ans. Les femmes n’ont plus le droit de sortir seules et doivent être voilées… Mais maintenant, c’est Parvana qui doit nourrir sa famille : obligée de se déguiser en garçon, elle va tenter de faire vivre sa mère et ses frères et sœurs… et de rester en vie.

J’ai beaucoup aimé ce livre où l’on parle de la guerre, du sexisme et de la violence. C’est un ouvrage très touchant, mais j’ai été surprise par certaines scènes violentes.

Je le recommande cependant à ceux qui aiment les histoires vraies.
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"Parvana: Une enfance en Afghanistan" est le premier tome d'une série de quatre sur une jeune Afghane de 11 ans, Parvana, et la réalité politico-sociale de son pays, écrasé et opprimé par le régime extrémiste taliban. Si Parvana elle-même est fictive, le contexte de son histoire est bien réel.

Parvana est né dans une Afghanistan en guerre, mais les choses ont empiré lors de la prise de Kaboul par les extrémistes talibans. Forcé de fuir maisons après maisons, détruites par les bombes, la famille de Parvana tente de survivre, dans ce pays qui fut autrefois florissant et moderne. Confinés dans un appartement minuscule, seul le père de Parvana, en sa qualité d'homme, est autorisé à sortir. Seule Parvana, cachée sous son tchador, est autorisée à suivre son père, car elle lui sert d'appuis, l'homme ayant perdu sa jambe et ayant vendu sa prothèse pour nourrir sa famille. Ils vendent tous les jours des objets qu'ils sont parvenus à garder et vendent la Lecture et l'Écriture, car l'analphabétisme est encore dominant. Un jour, cependant, des talibans viennent arrêter le Père de Parvana, furieux de le savoir instruit en Angleterre. Expédié en prison sans motifs ni toute forme de procès, la famille de Parvana doit se réorganiser. Comptant sur l'appuie de madame Weera, ancienne enseignante de sports, Parvana endosse alors un nouveau rôle: celui de Kaseem, un garçon de 11 ans, revêtant les habits de son aîné décédé, Hossain. le quotidien de Parvana est alors teinté d'une nouvelle liberté, mais elle est alors exposée aux horreurs commises par les Talibans.

Tout comme le roman "Le courage d'Amal", d'Aischa Seed, le récit de Parvana nous mène au Moyen-Orient, malheureusement trop connu pour ses guerres et ses factions extrémistes musulmanes. Pourtant, dans ce roman comme dans l'autre, on apprend que les gens de ces pays avait une culture dont ils étaient fiers et dont ils se font les gardiens, en ces temps incertains. le père de Parvana, instruit et sage, nous livre quelques pans d'Histoire, racontant avec fierté le courage des femmes Aghanes, l'hospitalité de son peuple dont il est très fier, les marchés florissants et la beauté des villes. Une Afghanistan que nous , étrangers, ne connaissons pas du tout. C'est donc une part très intéressante de ce roman d'entendre parler de leur culture.

Également, vous serez confronté à un phénomène social assez particulier qui a court dans les pays du Moyen-Orient: le phénomène Basha Posh, soit les jeunes filles travesties en garçons dans les familles qui n'ont plus d'hommes ou dont les garçons sont trop jeunes. Il existe de plus en plus de romans sur le sujet.

Parvana fait écho à Amal, à Malala, à Farroukzad, à tous ces personnages, réelles ou fictives, du Moyen-Orient qui sont des filles fortes et courageuses, dans une civilisation parasitée qui ont réduit les femmes à moins que rien. D'abord effrayée, elle prendra en assurance et fera tout en oeuvre pour soutenir sa famille. Mais alors qu' Amal, Malala et Farroukzad ont 14-15 ans, Parvana n'en a que 11. Comme les autres, elle est éduquée plus que la grande majorité des citoyens, mais contrairement aux autres, elle ne saisi pas tous les enjeux et est moins mature. Néanmoins, pour une si jeune fille, elle est confrontée à des situations particulièrement difficiles. Je pense notamment à cette arène de soccer dans laquelle on exécute ou démembre des "criminels" ou encore à ce commerce d'ossements pigés à même les tombes.

C'est un petit roman relativement court, bien écrit, dont la portée du sujets et le degré de violence en présence conviendrait aux Lecteurs de 11-12 ans, ou du troisième cycle primaire en montant. Vous trouverez également un lexique pour les mots plus exotiques.

J'apprécie beaucoup ce genre de roman, car il nous entraine dans le quotidien d'enfants de par le monde dont la réalité tranche radicalement avec le nôtre, douillet et sécuritaire. Il est bon de confronter nos jeunes à la réalité d'ailleurs, ne serait-ce que pour prendre conscience de sa chance et mieux apprécier son confort. Ne serait-ce que pour comprendre l'énorme chance d'être étudiant, qu'on soit un garçon ou une fille.

À découvrir!

Pour un lectorat du premier cycle secondaire, 13 ans+.

P.S: " Tous les droits de l'auteure provenant de la vente de ce livre seront versés à Canadian Women for women in Afghanistan ( www.cw4wafghan.ca) afin de venir en aide au fonds Parvana's Fund qui soutient les projets en matière d'éducation à l'intention des femmes et des enfants afghans," ( Note en bas de 4e de couverture)
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Un roman jeunesse poignant par lequel le lecteur découvre l'Afghanistan, un pays qui connait la guerre depuis des dizaines d'années.
C'est l'histoire de Parvana, une jeune fille de 11 ans qui, comme ses soeurs, ne peut plus se rendre à l'école depuis près d'un an, depuis que les talibans ont interdit aux femmes de sortir de chez elles. Ces dernières n'ont le droit de sortir qu'en étant habillées d'un tchadri qui leur cache entièrement le visage et le corps. Un jour, le père de Parvana est emmené par les talibans et mis en prison sans réelles raisons. Malgré les efforts de la mère et de Parvana, les talibans ne leur donnent que des coups. C'est alors que ce qui reste de la famille doit trouver des solutions pour nourrir la famille. Pour cela, Parvana acceptera de changer d'apparence.
La narration est fluide, les péripéties sont bien réparties et le vocabulaire est bien défini. L'intrigue donne vraiment envie de poursuivre la lecture d'autant plus que la vraisemblance des événements permet au lecteur de mieux comprendre le contexte politique qui existe en Afghanistan. Il est vrai que les journaux télévisés et les médias donnent à voir l'atmosphère qui règne dans ce coin du monde mais l'histoire vu du côté de Parvana permet réellement de concevoir le quotidien des Afghans qui subissent une guerre depuis tant d'années.
A la fin du roman, le personnage se poste beaucoup de question sur son avenir, sa propre existence mais aussi celle de son pays. Ces questionnements témoignent de l'état d'esprit de tous les habitants de Kaboul et de ces pays d'Asie Centrale touchés par la guerre. Un sentiment d'espoir mais aussi d'appréhension.
L'ouvrage permet de concevoir la violence et la cruauté de certains hommes et de certains partis qui suivent des valeurs poussées à leur paroxysme voire à leur antagonisme. Il permet également de se rendre compte de la condition des femmes et de la difficulté de certaines familles de s'en sortir lorsque l'homme de la maison disparaît.
Je reste marquée par le passage où Maryam, la petite soeur de Parvana, sort de leur appartement après 1 an d'enfermement et qu'elle rencontre de grande difficulté à marcher et à se déplacer tant son corps à subit l'inertie. L'épisode de Parvana et une amie au stade de foot ou encore celui au cimetière m'ont également touchés.

Je recommande cet ouvrage dès la 4ème étant donné les passages violents voire pour des élèves de 5ème assez matures.
Un très bon roman jeunesse en tout cas, qui m'a permis à moi aussi de me familiariser avec L Histoire et la condition des femmes dans certains pays d'Asie centrale.
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critiques presse (1)
BoDoi
31 août 2018
Même sous ce format appauvri, on ne reste cependant pas insensible aux tribulations de Parvana et à cette histoire qui, sous de nombreux aspects, n’a malheureusement rien d’une fiction. De quoi mériter amplement une adaptation en bande dessinée plus travaillée, non ?
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Les bombes faisaient partit de la vie quotidienne de Parvana depuis qu'elle était née. Tout les jours, toutes les nuits, on entendait les roquettes tombaient du ciel puis une maison qui explosait. Sous les bombes, les gens se mettaient à courir. D'abord par ici puis par là ; ils tâchaient de trouver un endroit où ils auraient la vie sauve. Quand Parvana était petite ses parents la portait dans leurs bras. Plus tard, il fallut quel court, elle aussi comme les autres.
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Un vieil homme se fraya un chemin dans la foule et vint se placer devant Parvana. Avec peine, il s'agenouilla et l'aida à faire ses plantations.

" Les Afghans adorent les belles-choses, dit-il, mais nous avons vu tant d’horreurs que parfois nous oublions combien c’est merveilleux, une simple petite fleur comme-celle-là "
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Ma femme est morte dit-il.
J'ai trouvé ça dans ses affaires. Je voulais savoir ce qu'il y avait dedans. Parvana mit du temps à reprendre son souffle et à se détendre. Jusqu'à présent, pour elle, les taliban étaient des hommes qui battaient les femmes et arrêtaient les autres hommes : c'est tous ce qu'elle les avait vus faire... Ainsi, ils pouvaient avoir des sentiments, du chagrin, comme n'importe quel être humain ?
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Il n’y a pas si longtemps, nous avons connu la paix, ici à Kaboul. Les enfants allaient à l’école, les femmes étudiaient à l’université. Tous les empires nous avaient oubliés. Du moins, pour quelques temps. Mais cela n’a pas duré, il y a eu un coup d’état. Ensuite, il y a eu une invasion…Puis une guerre civile. Dans ce chaos, certains se sont tournés vers ceux qui promettaient de ramener l’ordre. Mais à quel prix ?
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Nous sommes un peuple sur une terre fracturée entre les griffes des montagnes hindou kouch, brûlée par le regard ardent des déserts du nord. Nous sommes le plus grands des trésors pour notre terre...
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