"La Trilogie
Black Summer -
No Hero -
Supergod" de @warrenellis,
Juan Jose Ryp et Garrie @gastonnyart Gastonny chez @HiComicsFrance
Le deuxième ouvrage dont je vous parlerai m'a laissé quelque peu perplexe et avec un arrière-goût de déception dans la bouche. Bien que cette trilogie soir écrite par
Warren Ellis, papa du "Transmétropolitan" entre autre et bien que l'univers graphique m'a beaucoup plu, je n'ai pas réussi à accrocher au delà du tome 1, pour décrocher au tome 2. Je risque de me faire houspiller suite à mes propos, mais tant pis. Qu'est-ce qui arriverai, si l'envie prenait à l'un de ces surhommes, de mettre fin, de façon définitive, à la corruption qui sévit partout dans le monde, en commençant par la plus grande puissance du monde et quelles seraient les conséquences pour les autres de son espèce ? C'est ce que nous propose de découvrir
Warren Ellis dans
Black Summer. Ce premier tome s'ouv
re donc sur une scène qui donne le ton, comme lorsque vous découvrez les premières pages de "CROSSED" de
Garth Ennis, à cette trilogie et qui se retrouvera tout au long des pages lues. Vous êtes donc prévenu que ça sera sanglant et sans merci. L'histoire fait également plusieurs flash-back sur l'origine de nos surhommes, comment sont-ils devenus comme ça, qui leur a fait ça, etc. Schéma somme toute classique. Dans les 2 autres tomes de cette trilogie, on continue à découvrir la suite des aventures et des péripéties de nos différents protagonistes, leur évolution, leurs regrets, leurs espoirs, leur lutte à mort pour s'en sortir.
Cette trilogie commence plutôt pas mal et le rapprochement avec CROSSED et The Boys est louable. Cependant, il manque le quelque chose qui aurait pu fai
re de cette oeuvre un carton plein. J'ai tellement aimé le tome 1 de Transmétropolitan, mais tellement pas accroché à Shipwreck, que l'on retrouve la verve propre à Spider Jérusalem, dans les idées défendues par le "méchant" de l'histoire et malheureusement les défauts de l'ambiance et du décorum des mésaventures du Dr Jonathan Shipwright. C'est donc un bon assemblage des qualités de l'un et les défauts de l'autre. Je reste vraiment sur ma faim et j'ai vraiment eu du mal à aller jusqu'au bout. Dommage, car l'univers graphique est vraiment de toute beauté, j'ai même trouvé une certaine poésie dans toutes les effusions d'hémoglobine et le discours qui faut découvrir à travers les lignes est d'une telle justesse, qu'il sonne malheureusement de plus en plus vrai à notre époque. Malgré ma désillusion, je vous incite quand même à vous forger votre propre opinion sur cette oeuv
re de
Warren Ellis.
Note : 2/5.
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