AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782746744721
320 pages
Autrement (07/06/2017)
3.65/5   255 notes
Résumé :
Dans cette petite ville du Kansas, tout le monde envie les filles Roanoke. Elles sont belles, jeunes et riches. Elles vivent avec leurs grands-parents dans le domaine familial, au milieu des champs de blé. Leur vie semble douce. Mais il y a quelque chose de pourri au royaume des Roanoke. Camilla, Penelope, Eleanor, toutes les filles de la lignée ont connu des fins tragiques. Quand sa cousine Allegra disparaît à son tour, Lane se lance à sa recherche, sans se douter ... >Voir plus
Que lire après Les filles de RoanokeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (100) Voir plus Ajouter une critique
3,65

sur 255 notes
Lane, presque 16 ans se voit confiée par les services sociaux à la garde de ses grands-parents suite au suicide de sa mère. Elle quitte donc New York pour arriver dans une petite bourgade au fin fond du Kansas : Osage Flats. Après avoir vécu pendant des années seule avec sa mère et pauvrement, Lane se découvre une nouvelle famille avec une mamie (Liliann), un papi (Yates), une cousine (Allegra) et un train de vie plus faste puisque la maison est également constituée d'une bonne Sharon et d'un homme à tout faire, Charlie. C'est également pour Lane la possibilité de découvrir ses racines et son héritage... des révélations qu'elle est loin d'imaginer surtout que les filles Roanoke ont toutes eu une fin tragique.

Dix années ont passé et Lane retourne à Roanoke, sa cousine Allegra étant disparue sans donner de nouvelle.


Je termine ce livre avec un sentiment d'indifférence. Attention, non pas dans le contenu mais dans la manière dont l'histoire est agencée et présentée sous la forme d'opposition constante amour/haine, vérité/mensonge, propos crus/innocence.... le lecteur sort de ce livre avec cette même sensation. 😐

Ici, l'auteur nous propose un récit ayant pour thème les secrets de famille, l'inceste (à une échelle généalogique puissance 3 au moins !! ). Sous la forme d'un récit en deux temps, alternant passé et présent, Lane de retour à Roanoke se remémore les quelques semaines passées dans ce lieu et tente de faire le lien avec la disparition d'Allegra. le récit offre également pour chacune des filles Roanoke une petite pastille nous permettant de comprendre leur disparition.

Un récit qui franchement m'a ennuyé en raison de la rythmique avec des passages répétitifs ou traînants en longueur et une nonchalance des personnages. Ce que je retiens globalement de ce livre c'est alcool et sexe à gogo... Il y a toujours l'un des deux (quand ce n'est pas les deux) à chaque chapitre. Je comprends que l'auteur désirait montrer le côté destructeur de ce fameux secret de famille... mais en faire des pages... franchement pas terribles.😒

Ensuite, la psychologie des personnages m'a gavée. Nous avons ici des clichés réducteurs et franchement éculés avec le papy limite gourou de secte attendant son heure et préparant ses "filles" pour le "don". Cet homme est décrit de telle manière qu'il en devient caricatural. Les victimes sont toutes décrites comme des jeunes filles endoctrinées et prêtes à tout... aucune limite, aucune morale... Ne parlons pas des autres personnages notamment Sharon (la bonne), Charlie (l'homme à tout faire), Tommy (le policier) qui finissent par ressembler à des "bouseux" sans cervelle préférant fermer les yeux. Les raisons données par l'auteure pour expliquer ces silences étaient vraiment attendues...🙄

Enfin, comme par hasard... le lieu. On parle d'inceste, de secret familial et on trouve comme idée géniale de fixer l'histoire dans une ville au fin fond de nulle part. Plus cliché...

J'attendais un roman thriller avec un mystère sombre mais, tout nous est donné dans les premières pages. le lecteur doit juste se contenter de suivre ou subir l'histoire...


Au final, ce livre dont j'attendais énormément en raison du résumé ... me laisse sur ma faim. Je n'ai pas aimé, je n'ai pas détesté... le style est sympathique, le ton est agréable mais trop cliché au final.
Petite remarque concernant la couverture : pas fan du tout. Mais elle correspond au livre au final... terne.


Merci aux éditions Autrement et à la Masse Critique de Babelio pour m'avoir fait découvrir ce livre.
Commenter  J’apprécie          13111
Le domaine des Roanoke est immense, écrasé par un soleil brûlant, une demeure bâtie sur le modèle d'une ferme traditionnelle du Kansas, mais truffée d'ajouts fantaisistes au fil des ans, une bâtisse à parts égales terrifiante et fascinante!


C'est là que débarque Lane, sous un soleil de plomb, après le suicide de sa mère, elle, qui ignorait jusque là qu'une famille était prête à l'accueillir .
Mais quelle famille!
Allegra, sa cousine, infiniment séduisante, effrontée, ses grands-parents, Lillian, sa grand- mère, belle, assurée, en même temps que pudique , discrète et indifférente,
Yates, son grand- père, séduisant , encore, doux,
énigmatique, tout en retenue........

Elle va vite apprendre par la bouche d'Allegra le destin contrarié et la légende de la lignée des Roanoke composée de filles aux destins répétitifs et tragiques.
"Les filles Roanoke ne font jamais long feu ici"."Soit nous fuyons, soit nous mourons ".

Lane tente d'appréhender ce monde maléfique et attirant , prise entre les décors du "Magicien D'Oz "et ceux de Hurlevent ...

l'auteur construit son intrigue à l'aide d'allers et retours constants entre passé et présent afin que Lane découvre enfin ce qui est arrivé à sa cousine Allegra.
Yates; le père, le frère, le grand-père, un homme caché par son mariage pour élever ses "futures amantes", Un manipulateur hors pair , une sorte de Barbe- Bleue "

Les filles de Roanok n'ont qu'un choix: Fuir ou Mourir !

Un thriller psychologique , plutôt un roman très noir, provocant, étouffant, pesant, addictif en même temps que dérangeant , perturbant,
violent à la manière de Joyce Carol Oates.
Cet ouvrage dénonce ou magnifie? les secrets de famille , l'inceste sur plusieurs générations avec un côté fantastique à la Laura-Kasischke, l'étreinte fatale et la destruction mentale, le poison des non-dits, notamment à travers certains personnages secondaires, la trahison, la jalousie, les amours maudites.
Chaque personnage a sa part de vérité, de secret, se consume soit par l'alcool, omniprésent, soit par le sexe, détruire pour se savoir en vie !
L'auteur ne cesse de distiller avec talent et habileté , une inquiétude qui s'épaissit au fil de l'histoire à travers une intrigue faite de gravité, d'interdits, de désordres mentaux, en jouant à dessein avec la beauté des lieux et la chaleur estivale.

Une histoire très forte qui ne laisse pas indifférent, qui laissera son empreinte en moi.
Je n'ai pas l'habitude de lire ce genre d'ouvrage et ce n'est que mon avis, bien sûr!
Merci à ma libraire Marie !

Commenter  J’apprécie          501
Lors de sa sortie, « Les filles de Roanoke » avait attiré mon attention, car j'avais vraiment adoré la duologie d'Ivy écrite par la même auteure… Je me demandais si j'allais accrocher à ce thriller psychologique à la quatrième de couverture intrigante… J'ai finalement sauté le cap suite à la super critique de Mikasa ! Je suis assez d'accord avec elle sur le fait qu'il est difficile d'évaluer, d'aimer et de noter cette lecture, car elle est terriblement déroutante !… Je me suis retrouvée face à une ambiance sombre, pesante, malsaine, angoissante et étrange qui ne m'a pas laissée indemne. À mes yeux, il est vraiment difficile de rester insensible à ce roman car, tel un coup de poing, il frappe le lecteur à un moment ou à un autre… Pour ma part, j'avais rapidement deviné les secrets inavouables de cette famille ainsi que la vérité concernant la disparition d'Allegra, car les conversations induisent rapidement ce qu'il se trame chez les Roanoke… Mais il n'empêche que c'était tout de même affreux, puissant et bouleversant ! Même si j'ai aisément su ce qu'il se tramait, j'avais tout de même envie d'aller jusqu'au bout afin de voir si mes ressentis étaient similaires à ceux de mon amie Mikasa…

La narration est particulièrement bien construite. de façon générale, on fait des bonds entre deux époques : on alterne entre deux récits contant le passé/l'adolescence (chapitres intitulés « Alors ») et le présent (chapitres intitulés « Maintenant ») de Lane… Mais pas que ! de temps en temps, on va suivre sa famille grâce à quelques chapitres donnant la parole aux défuntes femmes Roanoke (Jane, Sophia, Penelope, Eleanor, Camilla, Emmeline, etc.). Cela permet comprendre les similitudes entre ces damoiselles, tout en suivant l'intrigue principale… Les indices et les clefs de ces mystères nous viennent aussi lentement que progressivement, tel un poison se frayant dans nos veines… Une chose est sûre : la tension se renforce au fil des chapitres, tandis les vérités explosent et révulsent les lecteurs. Amy Engel a un certain talent pour donner de la consistance à ses personnages ou à son scénario. Elle le prouve une fois encore avec ce one-shot plutôt traumatisant.

Les personnages de cette histoire sont assez nombreux cependant, on retiendra surtout Lane (l'héroïne ayant un passé lourd et un penchant pour la bouteille), Allegra (la cousine disparue qui a tendance à se montrer bout en train, insolente, nombriliste et obstinée), Lillian (la grand-mère assez étrange), Yates (le grand-père au comportement aussi singulier que celui de son épouse), Sharon (la domestique), Charlie (l'homme à tout faire), Tommy (un flic amoureux transi d'Allegra) et Cooper (l'ex de Lane au passé torturé). On ne peut pas dire que je me sois attachée à ce petit monde, car ils ont tous une grande part de noirceur en eux… Une noirceur trop importante pour que je m'attache ou compatisse complètement. En revanche, j'ai assez apprécié certains personnages et surtout détesté d'autres… Aucun ne m'a laissée de marbre !

« Les filles de Roanoke » n'est pas un roman à mettre dans toutes les mains, notamment lorsque le mystère est aussi sombre et révoltant ! de plus, l'alcool et le sexe ont une place assez importante dans les chapitres. Je tiens donc à alerter les âmes sensibles sur ce que cache ce petit cottage sur la couverture… En revanche, si l'horreur humaine ne vous effraie pas et que vous cherchez un thriller psychologique rempli de non-dits assez bien ficelé, n'hésitez pas à sauter la barrière ! Pour ma part, je suis complètement tiraillée et incapable de dire si j'ai aimé ou non cette lecture. Cela dit, je reste tout de même dans un ressenti positif, car cette intrigue m'a marquée et fait réagir.

Lien : https://lespagesquitournent...
Commenter  J’apprécie          180
On est bien d’accord, l’antiquité grecque n'a pas le monopole des histoires de famille compliquées, loin s'en faut. Si vous en doutez ou si vous avez besoin d’une piqûre de rappel, Amy Engel se charge de nous en donner une preuve supplémentaire. Pour tout vous dire, au fil des pages je me suis dit : Yates Roanoke / Denys de Syracuse, même combat (à ce propos, petit aparté, j'encourage vivement ceux qui ne connaissent pas le Tyran de Syracuse à lire le magnifique Jardin Forteresse de Claude Pujade-Renaud). Bref.

Dans ce ranch perdu au fin fond du Kansas les filles sont prisonnières tout autant que les filles du Tyran l’étaient dans leur jardin merveilleux (comme tant d’autres filles ailleurs dans tant d’histoires dans tant de pays… mais bon, j’ai pris cet exemple et je vais m’y tenir sinon on n’est pas sorti de l’auberge car c’est une histoire qui se répète depuis que le monde est monde et que l’homme est homme).
Les filles sont prisonnières donc, et le mâle dominant domine (comme son nom l’indique). Le mâle ici, c’est Yates, à la fois frère amant père grand-père oncle - et vous mettez ça dans l’ordre que vous voulez. Ok ? Pas besoin de vous faire un dessin, je pense que vous avez compris.
Je ne fais pas un gros spoil en disant ça (et pardon à ceux qui auraient besoin d’un dessin) car il n’y a aucun suspense sur ce point dans le livre, on le voit venir gros comme une maison depuis le début. Mais ce n’est pas grave car au final le but du jeu ce n’est pas ça et ce roman n’est pas un roman policier. Non, en plus de trouver ce qui est arrivé à Allegra (imaginez, la Lolita avec ses lunettes roses en forme de cœur, c’est bon, vous voyez ?), le propos de l’auteur est plutôt d’évoquer sur fond d’enquête la question délicate et taboue de l’inceste. Et vraiment, je dois admettre qu’elle le fait plutôt bien, sans pathos, sans misérabilisme et sans vulgarité. On en lit plus entre les lignes que sur les lignes, et ça c’est un bon point.
Une malédiction pèse sur ces filles et il n’y a pas trente six manières de sortir de Roanoke, le choix est même plutôt limité : s’enfuir ou… s’enfuir. Certes, la fuite peut prendre différentes formes : fugue, suicide ou folie. Yeah baby, y’a plus qu’à choisir !

Si vous avez envie de savoir les choix faits par les différentes filles Roanoke, lisez le livre. Ce n’est pas un chef d’oeuvre de la littérature, ni un roman transcendant, mais je me pose la question, faut-il toujours être transcendé ? Je ne sais pas. Ce que je sais c’est que c’est une lecture hyper facile qu’on avale le temps d’un rien et qui - somme toute - est plutôt agréable. Dans le jargon des éditeurs, on appelle ça page-turner.

Kesako ? Page turner, non ce n'est pas le fils de Tina Turner (excusez moi j'ai mangé un clown ce matin), c'est écrit au dos du livre et au final je partage assez cette opinion même si d’habitude ce n’est pas le genre de qualificatif qui me fait choisir un livre. Parfois on a envie de manger de la page comme d’autres mangent de l’asphalte et y’a pas de raison de s’en priver.

J’ai reçu ce livre dans le cadre d’une opération Masse critique Babelio en partenariat avec les éditions Autrement et je ne veux pas finir ce billet sans les en remercier.
Lien : http://tracesdelire.blogspot..
Commenter  J’apprécie          195
« Soit nous fuyons, soit nous mourons » déclare Allegra quand elle voit pour la première fois sa cousine Lane qui vient de perdre sa mère et qui a été envoyée par les services sociaux chez ses grands-parents. Et en effet, en se penchant sur l'histoire familiale, on s'aperçoit qu'il ne fait pas bon naître fille Roanoke car on est condamné à mourir ou à fuguer pour ne jamais revenir.

Pourtant quand Lane est recueillie par ses grands-parents, elle a la sensation d'être acceptée et aimée pour la première fois. Elle a vécu 15 ans avec une mère dépressive qui a fini par se suicider sans que Lane n'ait jamais su ce qui avait détruit sa mère. Aussi la générosité et la gentillesse de son grand-père, l'affection un peu débridée de sa cousine lui font croire que tout ira mieux. Mais le temps d'un été, Lane comprend qu'il vaut mieux fuir Roanoke, pour son salut.

Dix ans plus tard, un coup de téléphone de son grand-père l'a fait pourtant revenir car Allegra a disparu. Encore une autre fille Roanoke évaporée ! Quelles sont les raisons de ces disparitions et de ces morts tragiques ? La vérité qui nous est peu à peu révélée à travers les voix de Lane, Allegra, Camilla, Penelope, Eleanor, Jane est difficile à supporter. Atmosphère étouffante, relations ambigües pour ne pas dire autre chose, secrets, jalousies plombent la vie des habitants dans la belle maison des Roanoke. Tout est pourri en fait et il faut tout le courage de Lane pour le montrer. C'est donc un roman dérangeant que je vous recommande quand même.
Commenter  J’apprécie          181


critiques presse (2)
BulledEncre
13 février 2019
Une histoire d’amour et d’espionnage, une histoire d’amour et d’espions, un mélange des genres sur fond d’essai nucléaire dans un motel très fréquenté et propice aux situations inextricables. Intéressante œuvre protéiforme qui aurait pu appeler un cycle.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Telerama
28 juin 2017
Penchant vers un fantastique à la Laura Kasischke, mâtiné de gothique anglais, le roman de l'Américaine Amy Engel distille une inquiétude qui s'épaissit au fil de l'histoire.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (74) Voir plus Ajouter une citation
[...]Mesdames et messieurs, the Roanoke girls, les filles Roanoke!
[...]
— Que sont-elles devenues?
[...]
— Jane est partie. Sophia et Penelope sont mortes. Ma mère est partie.[...] Ta mère est morte, bien sûr. Emmeline est décédée quand elle était bébé. Et moi je suis ici.
— Qu'est-ce que tu veux dire, "partie" ?
— Jane a disparu juste après la naissance de Penelope, elle a sans doute déguerpi, comme ma mère. J'avais seulement deux semaines quand elle s'est tirée.
[...]
— Et toutes les mortes ?
[...]
— Sophia s'est noyée dans une crue de printemps de la North Fork. [...] Penelope est tombée dans le grand escalier et s'est cassé le cou. [...] Pour Emmeline, c'était la mort subite du nourrisson.
[...]
— [...] Ça fait beaucoup de filles mortes.
[...]
— Les filles Roanoake ne font jamais long feu ici. [...] En fin de compte, soit nous fuyons, soit nous mourons.
Commenter  J’apprécie          331
"Rentrée à Roanoke , je sombre dans le sommeil, mes pensées noires et embrouillées.
Je rêve des filles de Roanoke, perdues ou brisées.Regards fixes et corps fracassés.Sophia.Penelope.Eleanor.Camilla.Emmeline.Allegra.
Elles m'appellent, me supplient de les aider.
Je les cherche tant et plus, sans jamais en trouver une........"..
Commenter  J’apprécie          180
On est tous tarés[...], d'une manière ou d'une autre. C'est juste une question de degré.
Commenter  J’apprécie          441
Je descends ma bière en une longue rasade. Il m'est impossible de lui dire la vérité, de lui dire que mon mariage s'est désagrégé parce que je baisais avec quelqu'un d'autre. Que j'avais laissé Jeff me surprendre au lit avec le voisin, nos corps nus et exposés. Ce brave Tommy ne comprendrait jamais que l'on a parfois besoin de faire du mal aux autres, juste pour se prouver que l'on est en vie.
Commenter  J’apprécie          40
- Pourquoi tu graves tout le temps des trucs ? lui demandai-je en regardant le canif.
Sa main se referma sur le couteau en un geste protecteur.
- Je ne sais pas. J’aime bien. Y’a parfois des mots ou des sentiments si forts que j’ai besoin de les faire sortir. Ça m’aide.
Commenter  J’apprécie          60

Videos de Amy Engel (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Amy Engel
- Everything everything de Nicola Yoon, Bayard jeunesse. - Harry Potter et le Prince de sang mêlé de J.K. Rowling, Gallimard jeunesse. - Ma raison de vivre de Rebecca Donovan, Pocket jeunesse. - Ma raison d'espérer de Rebecca Donovan, Pocket jeunesse. - Ma raison de respirer de Rebecca Donovan, Pocket jeunesse. - Et si ... de Rebecca Donovan, Pocket jeunesse. - The book of Ivy d'Amy Engel, Pocket jeunesse. - The revolution of Ivy d'Amy Engel, Pocket jeunesse. - Nos faces cachées d'Amy Harmon, R-jeunes adultes.
autres livres classés : kansasVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (543) Voir plus



Quiz Voir plus

Êtes-vous incollable sur The Book of Ivy ?

Commençons facile. Quel est le nom du garçon qu'Ivy doit épouser (et tuer) ?

Bishop
Luke
Alexander
Samuel

9 questions
373 lecteurs ont répondu
Thème : The book of Ivy de Amy EngelCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..