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Critique de Bazart




Palerme 1980. de la guerre en Afrique aux attentats mafieux, une famille sicilienne dans la deuxième moitié du XXe siècle. Lorsque oncle Ubertino voit Davidu se battre contre les gamins du quartier, il comprend aussitôt que le petit orphelin de neuf ans a de qui tenir. La boxe est dans la famille depuis trois générations. Entouré d'une mère, d'un oncle et de grands-parents aimants, le jeune garçon tendre et poète à la fois, toujours flanqué de Garuso le souffre-douleur du quartier, va faire de cruelles découvertes, l'amitié, l'amour, le deuil et la vie comme un ring de boxe.

Quel joli roman d'apprentissage tendre et douloureux comme l'enfance. Une histoire de la Sicile à travers trois destins de boxeurs. Je vous entends hurler : « la boxe c'est détestable ! » eh bien oui cher lecteur je suis comme vous je déteste la boxe mais il faut bien le dire, ce sport extraordinairement romanesque est une formidable métaphore des difficultés et des combats quotidiens que l'homme doit affronter. Il émane de ce récit une tendresse, un charme et une violente douceur qui envoute le lecteur.

Davide Enia réussit l'improbable mariage du noble art et de la poésie.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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