Du haut de sa tour d'ivoire, Raph le démon réactionnaire pompe un affligeant néant philosophique, visqueux et éthéré, dans l'arrogance surplombante de bons sentiments conservateurs. Ce surplomb prétendu n'en est pas un : il est un retroplomb, rendu possible par un grave dédain de la matérialité du vécu ; par une (in)sensibilité éminemment bourgeoise, pour faire court.
En somme : nul, vide, gauchement baroque et d'une mesquinerie qui n'a de sophistiquée que l'apparence, comme tout ce que fait cet homme.
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