Après avoir lu
Souris des villes, j'avais envie de découvrir
Oiseau des îles. J'aime bien le style plein d'humour de
Laure ENZA. Ses romans sont très ancrés dans la vie. Elle ne cache rien des difficultés et misères que celle-ci nous offre trop souvent. Elle les attaque avec beaucoup de justesse : la vie loin de ses origines, l'accueil des autres, le surpoids, la jalousie et la mesquinerie de ceux qui devraient être solidaires, la recherche d'une âme soeur… Au fond, nous sommes tous différents, mais aussi tous les mêmes. Son héroïne, Ambre, se bat. Parfois elle sombre, elle coule, mais elle remonte la pente. Peut-être aussi parce que, au bon moment, des ami(e)s sont là ; une petite parole juste, quand il y en a besoin, des confidences qui font du bien, un petit repas en tête à tête. Parfois, il en faut peu pour redonner le sourire. Voilà une belle leçon de vie et un joli hymne à la tolérance. Merci
Laure Enza.
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