Le patient d'aujourd'hui souffre surtout de ne pas savoir en quoi il devrait croire, ni qui il devrait - ou même pourrait - être ou devenir ; alors que le patient des débuts de la psychanalyse souffrait surtout des inhibitions qui l'empêchaient d'être cela que - ou d'être celui qui - il savait, du moins pensait-il, qu'il était.
(1950)