Je dis halte aux romanciers prolétariens suédois qui en plus écrivent comme des pieds. Vivement que l'on apporte autre chose des pays du froid.
Ne pas mettre 23€.
Bénéficiant des largesses des éditeurs, j'ai pu au mois d'août lire ce pensum. Alors que j'étais confortablement installé, me voilà encore aux prises avec un roman prolétarien suédois. Encore un !
Nous voilà avec un nouveau prolétarien suédois. Un nouveau Millenium ? En tout ca aussi mal écrit, aussi long et pénible à la lecture et encore un chasseur de nazis et de capitaliste de tous poils. Il suffit de lire la profession de foi de l'ancien planteur de navets suédois à son éditeur :
En d'autres termes un agriculteur syndicaliste capable de pondre plus de 10 romans en 10 ans avec comme objectif premier : Une toile de fond économique et sociale au format syndicaliste de gauche, mondialiste, tiers-mondiste…Le texte est traduit du suédois par Philippe Bouquet, présentant toutes les compétences requises puisque sa thèse portait sur L'Individu et la Société dans les oeuvres des romanciers prolétariens suédois.
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http://quidhodieagisti.kazeo.. Commenter  J’apprécie         70