1 – Publié à Erevan en 1935 par Pethrat (Publication d’État), le récit Silidhari bardeznere de Zabel Essayan, paru chez Albin Michel en 1994, a été traduit en français par Pierre Ter-Sarkissian. Ce témoignage d’écrivain sur le Scutari des années 1880, faubourg de Constantinople, est d’autant plus précieux qu’il évoque la vie des Arméniens à la veille des massacres hamidiens. Sorte d’À la recherche du temps perdu décliné selon le Je me souviens de Georges Pérec, Les ... >Voir plus
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.