Écrire sur sa mère, rappeler à soi les souvenirs plus ou moins précis, plus ou moins nets, évoquer quelques uns de ses secrets à elle, découverts après sa mort, et également prendre conscience du vide, de l'absence...c'est étreindre l'intime pour en faire ressortir les joies, les bons moments mais aussi les souffrances et la tristesse, c'est toucher la corde sensible du lecteur, c'est se mettre à nu indubitablement.
C'est un roman intimiste, déchirant de sincérité, que nous offre
Christian Estèbe, auteur que je découvre, grâce à Soazic (fanfanouche24 sur Babelio).
J'ai aimé la fluidité de la plume, un peu moins les passages profondément tristes. Et pourtant, ce sont ces passages qui m'ont semblé les plus vrais, sans pathos aucun.
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