Vous avez un coup de blues? Rien de tel qu'un épisode de la vie turbulente de Stéphanie Plum pour vous remonter le moral ou, à tout le moins, oublier momentanément vos soucis. Ici notre pitoyable chasseuse de prime réussit à perdre un demi douzaine de paires de menottes. . . aux mains de ceux qu'elle devait arrêter ! Entretemps les malfrats lui explosent trois voitures, déposent un cadavre dans son appartement, l'inondent de serpents et d'araignées. Qu'importe il y a toujours des cookies chez maman, le beau Morelli et l'affriolant Ranger sont toujours prêts à sauver la belle en détresse . . . La faune habituelle du Bourg s'élargit avec le retour à la maison de sa soeur Valérie, la parfaite sainte nitouche, écorchée vive par un divorce catastrophique et l'apparition de Khloune, l'avocat le plus collant de l'univers. Action incessante, situations loufoques en abondance, personnages plus excessifs les uns que les autres, héroïne aux réflexions farfelues, le recette est connue puisqu'elle fonctionne depuis déjà huit tomes. Je ne m'en lasse jamais, en autant que cette fréquentation soit bien espacée dans le temps.
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Ce huitième tome est vraiment sympa à lire, j'ai passé un agréable moment en compagnie de ce livre que j'ai adoré.
Une fois encore Stéphanie Plum se met dans de sales draps mais c'est une habitude lol le jour où il ne lui arrivera plus rien de loufoque ou de dangereux elle ne sera plus chasseuse de prime.
J'ai une fois encore beaucoup rit car il y a de nombreux passages très marrants. C'est dingue comme Stéphanie peut se mettre dans des situations étonnantes !
Il y a toujours autant de suspens et avec Stéphanie les aventures se suivent mais ne se ressemblent pas !
Vous l'aurez compris, ce livre est génial et je ne peux que vous invitez à le découvrir,
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Cela faisait plusieurs mois que je n'avais pas suivi les aventures de notre chère chasseuse de primes et du coup j'ai bien apprécié ce tome 8. de l'action et des situations cocasses comme toujours, sans oublier du piment dans certaines de ses relations... Une bonne lecture amusante, rafraichissante et qui ne prend pas la tête, si bien que j'ai acheté la suite !
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Quoi dire... Littérature de gare américaine ; vocabulaire limité et grossier ; beaucoup de répétitions inutiles ; fixettes sur les «barres chocolatées» et la différence entre «plan baise» et «plan marital» ; descriptions administratives des personnages, des vêtements, des rues... Bon, le fond tient la route et la couverture du format poche est attirante. Finalement une seule aventure de Stéphanie Plum, chasseuse de primes, me suffira:-)
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Tu ne comptes pas me cuisiner pour obtenir tous les détails, si ?
Je lâchai son T-shirt en soupirant.
— Je ne peux pas continuer comme ça, dis-je. Ça ne marchera pas.
— Je sais. Tu dois recadrer ta relation avec Morelli.
— On avait besoin de faire une pause.
— Je suis cool pour le moment parce que ça m'arrange, mais je suis un opportuniste, et je suis très attiré par toi. Je reviendrai dans ton lit si ta pause Morelli devait s'éterniser. Je pourrais très facilement te faire oublier Morelli si je voulais, mais ça ne serait bien ni pour toi ni pour moi.
— Ah, d'accooooord. Il m'adressa un sourire.
— Verrouille bien ta porte. Et le voilà parti. Je tournai la clé dans la serrure, enclenchant les points de fermeture au sol. Ranger avait réussi à chasser le lapin exhibitionniste de mes pensées. Si seulement je réussissais à en chasser Ranger. Tout ce qu'il avait dit était vrai, je le savais, à l'exception éventuelle d'éclipser Morelli. Je m'étais donné beaucoup de mal pour l'oublier, mais sans jamais y parvenir tout à fait.
http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
Un frisson me parcourut le creux des reins. Mon canapé et ses microbes de mort!
-Tu ne sembles pas très pressée d'y retourner, dit Ranger.
-J'aviserai. Merci pour ton aide aujourd'hui.
-Je suis frustré. D'habitude, avec toi, une voiture explose ou un immeuble prend feu.
-Navrée de te décevoir.
-Chienne de vie.
- Tu devrais peut-être envisager de faire un métier moins dangereux, comme boulet de canon humain ou mannequin pour simulation d'accidents de la route.
- Tu étais inquiet.
- Ouais, dit-il en me prenant dans ses bras, j'étais très inquiet.
Récemment, j'ai passé pas mal de temps à faire des galipettes avec des hommes qui s'imaginent qu'une érection est une forme d'affirmation de soi. Attention, ces galipettes n'ont rien à voir avec ma vie sexuelle.
Elles surviennent lorsqu'une arrestation tourne mal et qu'il reste un ultime effort à fournir pour maîtriser un grand dadais malhonnête doté d'un lobe frontal souffrant d'une déficience congénitale.
- Zut! S'écria mamie. J'ai oublié de prendre mon sac. Je n'ai pas mon revolver. Qu'elle déception s'il y avait une fusillade et que je sois la seule sans arme.
Si ma mère savait que ma grand mère possédait un revolver, elle beuglerait comme une vache.
- Primo, même moi, je n'ai pas de revolver et deuzio, il n'y aura pas de fusillade.
Interview de Janet Evanovich pour présenter son livre "sizzling sixteen"