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Citations sur Stéphanie Plum, tome 3 : A la une, à la deux, à la proie (A.. (14)

ça fait un bail que j'ai décidé qu'il valait mieux ne pas vicier les eaux de mon cerveau avec de l'alcool. C'est déjà assez dur pour moi d'y voir clair quand je suis sobre.
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- Je viens d’arriver, dit-elle. Elle ne fait que répéter que cet enfoiré est mort. Elle a peut être sniffé trop de coke. Faudrait peut-être lui filer un truc pour la faire redescendre.
- Je suis pas défoncée, grognasse, s’emporte Jackie. Ça fait deux heures que je te dis qu’il est mort, et tu n’écoutes pas !
- Il est mort ici ? demandai-je en regardant autour de moi.
J’avais vraiment envie qu’elle me réponde non. J’avais atteint mon quota de morts pour le millénaire.
- Tu vois le gros buisson à coté de la benne à ordures ?
- Oui
- Tu vois pas le pied de ce connard qui dépasse ?
J’hallucine ! Elle a raison ! Il y a un pied qui dépasse du buisson.
- Merde, Jackie, dis-je. C’est pas toi qui l’as tué ?
- Non, c’est pas moi, c’est ce que j’arrête pas de dire. Quelqu’un m’a doublée. Je suis restée plantée là à me les geler pour descendre ce salopard, et quelqu’un m’a prise de vitesse. C’est pas juste !
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Ma mère m’ouvrit. Elle faisait une tête !
- Alors ? fit-elle.
- Ce n’est pas moi.
- Oh, ce n’est jamais toi !
- Croix de bois, croix de fer, dis-je. Je n’ai tiré sur personne. Je me suis fais assommer accidentellement, et quand je suis revenue à moi, j’ai vu que je partageais le couloir avec un cadavre.
- Assommer ! s’écria ma mère en se tapant le front du plat de la main. Une fille du Bourg se fait assommer et il faut que ce soit la mienne !
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-Les gens sont complètement barjes, dit Morelli.
-Alors, pourquoi ma visite à l'improviste ne te fait-elle pas plaisir ?
-Oh, laisse tomber.
-C'est à cause de mes cheveux, hein ?
-Mais non.
-Tu t'es marié en secret.
-Mais non.
-Alors c'est quoi ? C'EST QUOI ?
-C'est toi. Tu es une catastrophe ambulante. Il faudrait être maso pour s'intéresser à toi.
-Bon, très bien ! Sers-moi un verre de ...schnap.
Il en servit deux qu'on vida d'un trait. Plus facile, cette fois. Toujours aussi brûlant, mais dans le bon sens du terme.
-Je ne suis PAS une catastrophe ambulante, dis-je.
Je ne vois absolument PAS ce qui te fais dire ça.
-Chaque fois qu'on se retrouve dans l'intimité, je finis tout seul, tout nu, au milieu de la rue.
Je levai les yeux au ciel.
-Oh, fis-je. Ce n'est arrivé qu'UNE fois...IL ne faut pas généraliser ! Et je te rappelle que tu n'étais pas nu, mais en chemise et chaussettes.
-Et sans parler de la fois où tu m'as enfermé dans un camion frigorifique en compagnie de trois cadavres.
Et le jour où tu as voulu m'écraser avec la buik ?
Je levai les bras aux ciel.
-Ah, je l'attendais celle-là ! Ves-y, redéterre cette vieille histoire de buick !
Il hocha la tête, l'air dégoûté.
-Tu es excessive. Tu ne mérites pas qu'on fasse des efforts pour toi. Tu es trop...
Je le pris par le col de sa chemise et le tirai vers moi.
-Même dans tes rêves les plus fous, même dans tes cauchemars les plus noirs, tu ne peux PAS imaginer à quel point je peux être..."ex-sexy-ve".
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Je rentrai chez moi pour prendre mon petit déjeuner et me changer. Ranger avait regagné ses pénates pour manger sa ration quotidienne de tofu et d'écorce d'arbres.
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j'ai bien raison, me dis-je. les gosses, c'est pas mal, mais un hamster, c'est mieux.
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-Assommer! s'écria ma mère en se tapant le front du plat de la main. Une fille du bourg se fait assommer, et il fallait que ce soit la mienne!
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- Bon, et maintenant ? fis-je. Tu veux regarder la télé ?
Ce fut sa montre que Morelli regarda.
- La prochaine fois. Il faut que je rentre. (Il se leva et s'étira.) La journée a été dure.
Je le raccompagnai à la porte.
- Je te remercie de m'avoir aidée à me débarrasser du corps d'Eliott, lui dis-je.
- Hé, fit Morelli en me donnant un petit coup de coup. Normal. Sinon à quoi serviraient les amis ?
Et me voila restant sur ma faim. Plus de flirt. Plus de baisers volés. Les allusions sexuelles réduites au minimum. Je le suivis des yeux tandis qu'il s'éloignait dans le couloir. Il n'y a qu'une seule explication possible. Morelli a une petite amie. Il est amoureux. Pour lui, je suis de l'histoire ancienne.
Il s'engouffra dans la cabine de l'ascenseur et les portes se refermèrent sur lui. Je refermai ma porte.
Super ! Super....
En fait, j'avais l'impression qu'une grande soirée avait été organisée et que j'étais la seule à ne pas avoir été invitée. Je réfléchis à la question, tentant de mettre le doigt sur la cause réelle de mon malaise. Celle qui tombait sous le sens était, bien sûr, la jalousie. Mais cette raison-là ne me convenait pas. J'essayai d'en débusquer une autre. A court d'idées, je finis par laisser tomber.
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- Bon, et maintenant ? fis-je. Tu veux regarder la télé ?
Ce fut sa montre que Morelli regarda.
- La prochaine fois. Il faut que je rentre. (Il se leva et s'étira.) La journée a été dure.
Je le raccompagnai à la porte.
- Je te remercie de m'avoir aidée à me débarrasser du corps d'Eliott, lui dis-je.
- Hé, fit Morelli en me donnant un petit coup de coup. Normal. Sinon à quoi serviraient les amis ?
Et me voila restant sur ma faim. Plus de flirt. Plus de baisers volés. Les allusions sexuelles réduites au minimum. Je le suivis des yeux tandis qu'il s'éloignait dans le couloir. Il n'y a qu'une seule explication possible. Morelli a une petite amie. Il est amoureux. Pour lui, je suis de l'histoire ancienne.
Il s'engouffra dans la cabine de l'ascenseur et les portes se refermèrent sur lui. Je refermai ma porte.
Super ! Super....
En fait, j'avais l'impression qu'une grande soirée avait été organisée et que j'étais la seule à ne pas avoir été invitée. Je réfléchis à la question, tentant de mettre le doigt sur la cause réelle de mon malaise. Celle qui tombait sous le sens était, bien sûr, la jalousie. Mais cette raison-là ne me convenait pas. J'essayai d'en débusquer une autre. A court d'idées, je finis par laisser tomber.
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Il semblait détendu et souriant, mais, par moments, je le surprenais en train de me regarder avec l'intensité faussement indifférente du caméléon pour un insecte à son gout.
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