Des femmes sans tête, il n'en manque pas, dans ce roman de Jean-Baptiste Evette. Il y a d'abord celle d'Anne de Barbançon, au XVIe siècle, (qui occupe une large place dans le roman), retrouvée mystérieusement décapitée dans sa chambre. Destin tragique que celui de cette huguenote, passant les mailles non moins tragiques de la Saint-Barthélemy, mariée au prévôt de Paris, enfermée, puis en cavale et réfugiée avant d'être assassinée. Il y a aussi les deux femmes retrou... >Voir plus