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EAN : 9782702432808
251 pages
Le Masque (07/06/2006)
3.86/5   123 notes
Résumé :
Tarchinini est rond, gourmand, volubile et un rien frimeur ; il est marié à Giulietta, ancienne reine de beauté devenue la mamma par excellence, irrésistible et soupe-au-lait.

Chez eux la vie n'est pas de tout repos, mais un mot règne en maître, l'amour... Ah, l'amour... Pour le commissaire Tarchinini, il est même l'unique et formidable ressort de tous les crimes.

Et les crimes ne manquent pas dans l'Italie d'Exbrayat. On y poignarde, o... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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Cyrus A. William Leacok a trente ans , il vient d'une des plus anciennes familles de Boston. Juriste de formation , il fait le tour des villes européennes pour comparer les différentes méthodes policières. Il est sérieux ( trop) , et s'apprête à se marier avec une femme pour asseoir sa position sociale . Grâce à l'argent du père de sa fiancée , il pourrait devenir sénateur du Massachusets .
Et il mâche des chewing-gums ...
Le commissaire Tarchinini , vit à Vérone, la plus belle ville du monde, ou plus assurément : La ville de l'amour... Il s'appelle Roméo, et sa femme Giulietta, laquelle lui fait souvent des spaghettis...
"Chewing-gum et spaghetti:" difficile de faire plus opposé que ces deux personnages, qui vont devoir travailler ensemble , ( l'un devant observer l'autre...), se tolérer, à défaut de s'apprivoiser...
Et ce n'est pas évident au début parce que Leacok est campé sur ses positions, à savoir : la supériorité de l'Amérique, sa splendeur, son efficacité . Et il a bien du mal avec les méthodes "foutraques" de son collègue qui parle à l'oreille des cadavres et qui pense que l'amour ( on est à Vérone), explique tout, même les meurtres.
Mais le charme italien opérera et l'Américain, sera conquis, tout comme visiblement l 'a été l'auteur ! Nourriture, générosité, bella ragazza, alcool, folie douce, opposés à la froideur, la rigueur, l'ambition, le manque d'ouverture, de curiosité de l'américain...
Exbrayat forçant un peu le trait, caricaturant les deux pays, j'ai failli abandonner ma lecture au tout début, mais la plume , l'humour, le côté farfelu m' ont alpaguée.
Il est des romans policiers qui privilégient le fond, l'enquête, et d'autres la forme, ici, on est clairement dans la deuxième catégorie. On sent tout le plaisir qu'a eu l'auteur à faire des bons mots. Il est son premier spectateur. Il s'amuse et nous entraîne généreusement avec lui, loin d'ici , à Vérone, la ville de Roméo et Giulietta...

Challenge Mauvais genres.
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Il est rare qu'un roman policier soit hilarant, mais c'est la spécialité d'Exbrayat. Mais autant son plus célèbre personnage, l'écossaise rousse Imogène, me laisse un peu de marbre, autant celui-ci m'a totalement conquis. Chauvinisme européen, peut-être.

Un jeune policier américain fait un tour d'Europe des services de police, afin d'observer les méthodes de ses confrères étrangers. Après avoir été enthousiasmé par la minutie allemande, déçue par le je-m'en foutisme français et terrifié par l'archaïsme des Espagnols, il débarque au pays de Dante et de Garibaldi… Et de Roméo et Juliette : on l'envoie à Vérone.

Le choc est brutal. D'un côté, un grand et élégant bostonien (légèrement snob) se croyant obligé à une certaine austérité de moeurs de par ses ancêtres puritains, nourri aux burgers et à la mayonnaise sucrée. de la glace dans mon vin rouge, please. de l'autre, un petit italien aussi large que haut, qui prétend résoudre les meurtres grâce au pouvoir de l'amour, et pour qui la gastronomie relève du sacré. Cela tombe bien, il y a un cadavre avec l'estomac rempli de mets fins. Et un militaire, en plus. Au travail !

Merci à Babelio qui m'a appris qu'il n'y avait non pas une, non pas deux, mais bien sept suites à ce premier roman. J'y cours.
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E un Americano ! En 1959, année de parution du premier volet des aventures de Roméo Tarchinini, cette circonstance atténuante signifiait, grossièrement, que la personne désignée possédait beaucoup plus de dollars que d'humanités. le pauvre Cyrus A. William Leacok se voit, tout au long de son séjour à Vérone, affublé par moult Véronais et Véronaises de ce qualificatif où la commisération le dispute à un très net sentiment de supériorité. Choc des cultures entre le diplômé en droit de Boston, descendant en ligne directe des pionniers du Mayflower, rigide comme l'Inquisition, coincé comme un ballon dans une mêlée de rugby et face à lui, ou à ses côtés, car il est venu pour coopérer, Roméo Tarchinini, rond comme une boule de glace et souple comme une portion de tiramisu. On le sait bien, les contrastes font les bons films (La Chèvre), les bonnes séries (Amicalement Vôtre) ou les bons romans, comme celui-ci.
L'enquête, on l'aura déjà compris, n'est pas le plus grand intérêt du roman même si le coupable nous échappe jusqu'à la toute fin de l'histoire. Tout le sel se trouve dans les aventures de notre juriste bostonien mâchonnant son chewing-gum avec la même assurance qui lui permet de vanter les mérites de la police scientifique à l'américaine tout en vilipendant les méthodes du commissaire italien qui ne débute son enquête qu'après avoir terminé son assiette de spaghetti et prétendu que « les crimes ont presque toujours l'amour pour mobile…Pourquoi ? Mais parce que nous sommes à Vérone. » de scampis en torta di mandole, de quelques verres d'Acqua di Firenze à beaucoup d'autres de Maraschino ; de Guiletta à Lydia sans oublier une Mica très en forme, le puritanisme bostonien de notre Ulysse aux petits pieds, saura-t-il traverser les tempêtes sans souffrir la moindre corrosion ni succomber aux charmes de la Vénétie ? Accablé, à longueur d'incompréhensions, du sempiternel et irritant : « E un Americano », soumis à de nombreuses tentations, le risque semble grand de le voir jeter dans l'Adige, non pas les caisses de thé de ses ancêtres, mais plutôt sa gourme.
L'inquiétude gagne les bords de la Charles River et le futur beau-père s'en mêle :
«_ Qu'avez-vous fait à Valérie ?
_ Moi, rien.
_ Elle est chez moi en train de sangloter et ne s'interrompt que pour vous injurier et me maudire. C'est beaucoup pour un homme qui souhaitait se reposer. Elle vous a rendu votre parole ?
_ Pas que je sache !
_ Tant mieux ! Je craignais le pire…Comprenez-moi Cyrus, il y a vingt-cinq ans que je supporte Valérie. Je crois avoir fait ma part, à un autre maintenant !
_ Vous avez une manière bien à vous de m'encourager ».
Tout est joyeux, cocasse, drôle et souvent hilarant. Si vous souhaitez sourire et passer un excellent moment, Charles Exbrayat est à redécouvrir. L'humour et la bonne humeur imprègne son oeuvre, ce qui n'a rien d'étonnant lorsqu'on sait qu'il fut, quelques mois durant, étudiant en médecine avant de se faire exclure de la faculté de Marseille pour « chahut notoire ».
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Charles Exbrayat (1906 - 1989) est un auteur de romans policiers au parcours assez classique pour cette profession.

D'abord journaliste, critique littéraire, il écrit ensuite des scénarios pour adapter au cinéma des romans de Simenon et autres puis écrit des scénarios originaux, pièce de théâtre avant de se lancer dans la carrière de romancier policier un peu par hasard.

Et comme le hasard fait bien les choses, qu'il fait le bonheur des policiers, mais aussi de certains auteurs, il remporte très vite le prix du roman d'aventures dès 1958.

Si Charles Exbrayat est réputé dans le monde du roman policier, s'il aime à manier l'humour et si certains de ses romans ont été adaptés plusieurs fois au cinéma et à la télévision (dont sa série « Imogène » qui vit au petit écran Dominique Lavanant interpréter le rôle-titre), je n'avais pourtant, jusqu'à très récemment (c'est-à-dire ma précédente lecture) jamais fait connaissance avec sa plume.

C'est par l'intermédiaire de « L'inspecteur mourra seul » que je découvrais donc le style d'Exbrayat.

Si ce roman m'enthousiasma, on ne peut pas dire qu'il brillait par son humour débridé. Aussi, eus-je immédiatement envie de tester un roman un peu plus léger de l'auteur et comme j'adore les personnages récurrents, mais que j'ai un peu de réticence envers Imogène (allez savoir pourquoi), je décidais de me plonger dans la première aventure du commissaire italien Tarchinini, Roméo de son prénom, un personnage qui intervient, entre 1959 et 1983, dans 8 enquêtes.

Cyrus A. William Leacok, un jeune américain spécialiste en droit criminel, décide, avant de se marier avec la fille d'un millionnaire, dans le but d'asseoir sa position et de lancer, ensuite, sa carrière politique, de faire le tour du monde pour comparer les méthodes policières de divers pays.

Son périple passe immanquablement par l'Italie et c'est à Vérone qu'il fait étape. Là, le grand chef lui propose de faire équipe avec son meilleur commissaire, Roméo Tarchinini, un homme rond et jovial dont rien ne peut entacher la bonne humeur.

Alors que le corps d'un homme est retrouvé, en extérieur, mort d'une balle dans la tête, bien que l'arme ait disparu, Leacok ne tarde pas à conclure au suicide alors que Tarchinini, lui, voit là un crime. Les deux enquêteurs vont alors confronter leurs avis, leurs méthodes, mais également leur éducation, leur patriotisme, leur mode de vie, tout simplement.

Un « policier » américain qui fait le tour du monde pour se confronter aux méthodes policières de différents pays, voilà qui n'est pas forcément nouveau dans le monde de la littérature populaire.

En effet, Marcel Priollet, un quart de siècle auparavant, avait déjà eu cette idée qui lui inspirait l'excellente série « Old Jeep et Marcassin » où l'américain se confrontait, non pas à un italien, mais à un policier français.

Mais Charles Exbrayat, du moins dans ce premier opus, ne se contente pas de proposer deux personnages différents, voire opposés, et de faire de cette opposition le sel du roman. Non, l'auteur, plus que deux personnages, confronte deux méthodes policières, deux points de vue, deux générations, deux ambitions, deux modes de vie, deux cultures… deux mondes.

Le Nouveau Monde, illustré par le flic bostonien et l'ancien, avec le policier italien.

Et pour ce faire, il est vrai qu'Exbrayat enfile les clichés, clichés sur la rigueur, le puritanisme, l'instinct de supériorité des Américains et ceux sur le laxisme, la bonne humeur, la frivolité, l'optimisme italien. Clichés que l'on subit dès le titre, le chewing-gum symbolisant l'américain et le spaghetti l'italien.

Si tous ces poncifs servent l'histoire à venir et, surtout, l'antagonisme puis l'affection entre les deux personnages, s'ils sont également le point d'ancrage de l'ambiance légère et de l'humour, ils n'en sont pas moins, au départ, un peu indigestes au point qu'ils n'altèrent un peu la lecture et l'intérêt que l'on peut en retirer.

D'ailleurs, j'ai eu un peu de mal à vraiment apprécier le texte dans les premières pages, n'étant pas convaincu par les personnages.

Pourtant, une fois ces premiers poncifs avalés, force m'est de reconnaître que je me suis laissé prendre par l'ambiance, les personnages, l'ensemble et que le plaisir de lecture est devenu indéniable…

Alors, oui, l'intrigue est simple, même si l'auteur nous propose quelques rebondissements, et on ne s'extasiera pas sur le suspens quant à l'identité du tueur.

Mais là n'était pas le but, sans nul doute.

En effet, Charles Exbrayat ne propose pas un « Thriller », mais bien un roman policier à l'ambiance humoristique.

Et il faut bien avouer qu'après quelques pages, celles posant les personnages et le conflit, l'ambiance et le plaisir sont bien présents.

Dès lors, on s'amuse des offuscations de Leacok, puis, plus encore, de celle de Valérie, sa fiancée, on sourit également devant les frasques de la famille Tarchinini, de Roméo, bien sûr, de Giuletta, sa femme, mais également des nombreux enfants.

On s'amuse également du laisser-aller, par moment, de Leacok, de son futur beau-père, et des gags récurrents dont le fameux « E un americano » que Tarchinini clame aux autochtones pour expliquer le comportement ou l'offuscation de Leacok.

En plus, l'auteur nous livre un pan de la culture gastronomique italienne à travers une liste non exhaustive de plats spécifiques du pays.

Au final, un roman policier léger et drôle dont le début, un peu indigeste, pose les bases permettant de mieux déguster la suite.
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Je découvre Exbrayat. Un style très pimenté, qui nous procure de bons éclats de rire, ce qui est assez rare pour être souligné. Toutefois, prédomine l'analyse d'un choc des cultures entre celle de l'Italie de Verone, dans laquelle l'amour est omniprésente et celle de l'Amérique, dictée par la raison et la pudeur. le tout mené par des dialogues très épicés. J'avoue que l'intrigue policière passe au second plan. Un très bon moment.
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
- Et sa réputation, vous y songez ?
- Entre nous, elle n' a pas l'air de tellement s'en soucier ?
- Parce qu'elle a découché ? Oh ! vous savez, à Vérone, nous sommes moins sévères qu'à Boston sur ce chapitre.
- Permettez- moi de le regretter !
-- Je vous le permets bien volontiers, signore, d'autant plus que cela ne démontre pas qu'il y ait plus de maris trompés chez nous que chez vous.
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_ N'est-ce pas ici que s'aimèrent Roméo et Juliette ?
Valérie pinça les lèvres en signe de désapprobation avant de répondre :
_ Je m'étonne, daddy, qu'au lieu de vous occuper de votre santé, vous pensiez aux débordements immoraux de...
Son père l'interrompit avec un grognement de mauvaise augure :
_ Ce n'est pas moi, Valérie, mais le dénommé Shakespeare !
_ Cela importe peu si vous semblez l'approuver, daddy, mais ce boy qui grimpe chez sa sweetheart par une échelle de corde alors que ses parents donnent une party avec toute la gentry de Vérone, c'est proprement scandaleux ! Pourquoi n'empruntait-il pas l'escalier comme tout le monde , si ses intentions étaient honnêtes ?
Ce fut à cette minute précise que Cyrus A. William Leacock se mit à détester Valérie Pearson.
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- Pourquoi ?
- Comment pourquoi ? Mais parce que nous sommes à Vérone !
- Et alors ?
Pour la première fois depuis le début de leur entretien le commissaire laissa voir un net désarroi :
- Mais enfin, Vérone…!
L'air incompréhensif de l'Américain troubla profondément Tachinini et ce fut presque à voix basse qu'il dit :
- Voyons, monsieur Leacok…Roméo ? Giulietta ?
- Roméo ? Ah ! oui ! Shakespeare, n'est-ce pas ?
L'italien parut délivré. On devinait qu'il avait craint que ce personnage d'outre-Atlantique n'eût jamais entendu parler des deux célèbres amoureux.
- Shakespeare et Vérone.
A son tour, Cyrius A. William sourit.
- Mais commissaire, ce sont des personnages de théâtre ?
- Erreur ! Ils sont vivants, éternellement vivants et si, ce soir, à la tombée du jour, vous vous promenez dans n'importe quel quartier de notre ville, vous verrez d'innombrables Giulietta se hâtant aux rendez-vous où les attendent d'innombrables Roméo. Chez nous, l'amour sourd de partout et pour peu que vous ayez le sang chaud, le cœur tendre et un brin d'imagination, passez dans la plus l'étroite, la plus sombre des venelles et je vous gage que vous y rencontrerez les deux charmants fantômes qui hantent Vérone depuis des siècles : Roméo et Giulietta !

Alors que Tarchinini reprenait haleine, Cyrius A. Williams haussa pesamment ses larges épaules :
- Ridiculous !
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- En somme, mon cher Roméo, nous avons perdu notre journée...
- Le métier de policier est fait de centaines de journées perdues. Mais éliminer un suspect est aussi important que la découverte d'un nouvel indice.
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Et ils partirent tous deux d'un formidable éclat de rire qui, parce qu'on se trouvait en Italie, parcourut toute la gamme ascendante et descendante sans une fausse note.
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