Formica : Une tragédie en trois actes

Un repas de famille, les parents, leurs enfants et leurs conjoints et les petits enfants, un garçon et une fille.
Mais qu'est-ce qu'on se raconte lors d'un repas de famille? Pas grand chose, alors on essaie de trouver une conversation de qualité ou toute simple. Les enfants vont jouer aux sept familles.
Je n'ai pas aimé, c'est mon droit.
C'est un cadeau de Noël. J'avais dit, un jour, que j'aimais bien Fabcaro. C'est vrai pour Zaï, zaï, zaï, zaï et Open bar. C'est décalé et hilarant. Non, ici, non. Pour être décalé ça l'est mais hilarant, je n'ai pas trouvé. Bon, j'ai tourné les pages et lu mais sans grande attention car l'attirance n'a pas fonctionné.
C'est certes très possible ce genre de situation mais le rendu n'y est pas, le gamin, la gamine tués par leurs parents, le grand-père qui meurt de vieillesse, bref, non, pas cette fois. Même en y mettant du mien pour l'humour décalé...Non.
Je m'étais dit : waouh, l'album est épais il doit y avoir beaucoup de pages. Même pas, le papier est épais et Fabcaro l'a bien compris en ne numérotant pas ses pages...
Sinon les dessins et les postures sont comme à l'habitude, réussis.
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Je ne savais pas où je mettais les pieds quand je me suis invitée à ce repas de famille organisé par Fabcaro. Au début, je me suis dit : ils sont complètement fous dans cette famille !
Puis petit à petit je me suis surprise à sourire à cette absurdité qui peut en décontenancer plus d'un. J'ai apprécié le dessin simple avec quelques touches de couleur.

J'ai moins apprécié cet album de Fabcaro, peut-être parce que je n'étais pas dans un bon jour, ou peut-être parce que je me suis lassée. Ou simplement parce que je préfère ces bandes dessinées sous formes de gags en une seule planche plutôt que ce format d'histoire en plusieurs chapitres.
Je ne sais pas , mais en tout cas, cette fois ça n'a pas pris pour moi.

Pas franchement convaincu par cet album qui constitue ma rencontre avec la légende Fabcaro.
Je n'ai rien contre l'absurde, mais là ça n'a pas pris.
Quelques sourires m'ont égayés la lecture, mais ce ne fut pas une overdose.

Ma relation à la BD (en général) est en cours de consolidation et je n'en ai pas lu des centaines, mais je m'étonne qu'un tel album, datant de 2019, puisse avoir un tel succès.
N'y avait-il pas d'absurde avant ? Des BD qui brisaient le quatrième mur ?
Il ne s'agit pas d'être toujours innovant mais un peu de fraîcheur ou un dessin époustouflant peuvent être appréciables. Mais ce n'est que mon avis, cela va sans dire !

Détail important : j'ai trouvé le dessin assez... comment dire... Bon pour rester poli, je vais juste dire que je n'ai pas aimé du tout du tout.

Donc si je résume : un album où les protagonistes se demandent de quoi parler servi par des dessins oubliables. Ça ressemble quand même à une belle farce. Mais qui est le dindon ?

Pas pour moi. Mais je lirai Zaï Zaï Zaï Zaï !

Alors là, je passe totalement à côté et pourtant suis adepte de Mister Caro. une histoire pelle à tarte sur un repas de famille et les éternelles sujets de discussion à trouver . Bref, tout commence bien, second degré au galop mais très vite, ça s'essouffle, ça tourne en rond, bref, je m'ennuie. Mon seul éclat de rire c'est quand Fab Caro évoque que pour 2 euros de plus le elcteur aurait pu se retrouver à lire l'Arabe du futur plutôt que sa BD... Je venais juste de me faire la même réflexion !!!

De Fabcaro j'ai bien aimé « Et si l'amour c'était aimer » et « Moins qu'hier (plus que demain) ». J'ai adoré Zaï zaï zaï. Mais là je n'ai pas accroché du tout. J'ai trouvé très drôles les pages avec les enfants jouant au jeu des 7 familles dysfonctionnelles. Pour le reste, j'ai eu quelques faibles et rares sourires, c'est tout. Dommage.

Bien qu'ayant eu un avis mitigé sur Zaï, zaï, zaï, j'ai emprunté le dernier album de Fabcaro à la médiathèque. 

Je n'aurais pas dû 

Ce repas de famille où les convives n'ont aucun sujet de conversation, où la tension est palpable, où assassinats et décès inattendus sont à peine relevés par les femmes .. 

Un album où l'absurde côtoie les choeurs antiques, où un personnage s'adresse au lecteur à la façon de Frank Underwood ... 

J'ai eu l'impression de passer à côté de l'histoire ... ! 

Dommage !  
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