J'ai beaucoup aimé ce petit extrait tiré “
du bonheur d'être morphinomane”, il était agréable à lire. Un drôle d'escroc à l'amour, un truand chanceux, des repris de justices, quelques considérations concernant les prisons, les prisonniers, la fausse fraîche, le recel.
Hans Fallada nous parle des voyous avec beaucoup de respect, et c'est très plaisant.
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