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Critique de lecassin
Publié en 1963 chez Denoël, « Mozart assassiné » est le deuxième roman de ce qu'il est désormais convenu d'appeler la veine Whisky de René Fallet , après « Rouge à lèvre ». Une veine du Whisky, mélancolique et opposée à celle du beaujolais, rabelaisienne…
Tout commence par une partie de pêche : Norbert et Carole, un couple un peu désenchanté et un ami de Norbert, Wilfrid sont partis taquiner la truite… Un accident viendra bouleverser tout ce petit monde…
Plus tard, de nombreux romans de René Fallet seront adaptés au cinéma ; certains le sont déjà, en 1963. Ce « Mozart assassiné » a-t-il été écrit dans le but d'une nouvelle adaptation cinématographique ? Je ne sais, mais voilà bien le roman de René Fallet qui m'a le moins touché : un roman sans rien de bien particulier si ce n'est le style Fallet égal à lui même.
Un petit ouvrage à lire... Pas forcément à relire.
Tout commence par une partie de pêche : Norbert et Carole, un couple un peu désenchanté et un ami de Norbert, Wilfrid sont partis taquiner la truite… Un accident viendra bouleverser tout ce petit monde…
Plus tard, de nombreux romans de René Fallet seront adaptés au cinéma ; certains le sont déjà, en 1963. Ce « Mozart assassiné » a-t-il été écrit dans le but d'une nouvelle adaptation cinématographique ? Je ne sais, mais voilà bien le roman de René Fallet qui m'a le moins touché : un roman sans rien de bien particulier si ce n'est le style Fallet égal à lui même.
Un petit ouvrage à lire... Pas forcément à relire.
