Le crottin de cheval dispensait une autre sorte d’odeur qui, elle, n’était pas déplaisante en certaines circonstances, lorsqu’elle n’était pas trop forte. Les rues en étaient souillées d’un bout à l’autre de la ville. Quand il ne pleuvait pas, les roues des attelages soulevaient des nuages de terre, de poussière de charbon et de crottin desséché. Il fallait aussi compter avec ces grosses mouches malfaisantes qui accompagnent les chevaux. On croyait à l’époque que leur présence familière ferait toujours partie intégrante du monde civilisé.
Les phénomènes marins inhabituels ou bizarres l’intéressaient tout spécialement. Les histoires de monstres, ou de bateaux disparus ou simplement en retard, retenaient son attention. Il n’en négligeait pas pour autant certains événements terrestres, tels disparitions ou meurtres sans mobiles apparents.
La terre a diminué puisqu’on la parcourt maintenant dix fois plus vite qu’il y a cent ans. Et c’est ce qui, dans le cas dont nous nous occupons, rendra les recherches plus rapides.