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EAN : 9782020211024
261 pages
Seuil (01/03/1991)
2.9/5   5 notes
Résumé :
4° de couverture :
(Edition source : Seuil, L'épreuve des faits - 09/1994)


Je vois bien le cheminement de vos questions. Vous instruisez mon procès. Je serai dans un tribunal, on ne me poserait pas de questions différentes. Mais c’est votre droit, vous êtes libres !

Monsieur le président, nous souhaiterions que vous nous aidiez à lever les ambiguïtés concernant votre passé. Acceptez notre démarche comme celle de trois jou... >Voir plus
Que lire après La main droite de Dieu. Enquête sur François Mitterrand et l'extrême droiteVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique

Comme il est facile de se tromper en politique : Vous pensiez Macron du centre , erreur il est de droite , vous pensiez Mitterand de gauche , il était de droite . de toute façon , cela ne change rien , ils appliquent tous la même politique .
Au cas ou vous auriez un doute concernant Dieu , ce livre lève toute ambiguïté , copain de Bousquet , reconnaissant envers Pétain , Mitterand cachait bien son jeu ... de dupe...rie .
Comme quoi il ne faut pas croire au Père Noël ... Oh pardon
!
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Depuis 1981, chaque été, la capitale politique de la France s'est déplacée à Latche, avec son président. Rendez-vous des amis du "premier cercle" et des hôtes étrangers triés sur le volet, la bergerie landaise de François Mitterrand a été l'un des jardins les plus secrets de la République, le lieu des décisions stratégiques pour l'année suivante et des nominations aux postes clés du pouvoir. En cas de sujet sensible et d'imprimatur mitterrandien indispensable, les ministres ou conseillers introduits devaient venir voir le berger pour quérir un auguste "A vous de voir ! " - souvent traduit par "Feu vert : allez-y !" - ou, au contraire, un énigmatique "On verra plus tard !", annonce d'un probable enterrement de première classe.
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Une reconnaissance qui, à la lumière de faits précis, datés, prend racine dans une stratégie politique, celle du président. Celle que Bérégovoy, encore secrétaire général de l'Elysée en juin 1982, avouera plus tard à Franz-Olivier Giesbert : " On a tout intérêt à pousser le Front national, il rend la droite inéligible. Plus il sera fort, plus on sera imbattables. C'est la chance historique des socialistes."
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A la Libération, tandis que René Bouquet est en prison à Fresnes, Jean-Paul Martin comparaît devant une commission d'épuration. Grâce à quelques soutiens bien placés, l'ancien chef de bureau de la Sécurité de Vichy n'écope que de cinq ans de suspension de traitement et de mise en disponibilité forcée. Sa disgrâce ne durera pas. Le nouveau ministre des Anciens Combattants saura se souvenir des services rendus. Oubliées, les sanctions disciplinaires prises un an plus tôt ; effacées, les décisions de ses juges : Jean-Paul Martin est propulsé au cabinet du ministre Mitterrand, dont il devient l'attaché de presse dès 1947.
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A la libération, entre octobre et décembre 1944, Charles Hernu a fait deux mois de prison, à Grenoble. En effet, il a exercé auparavant les fonctions de délégué départemental à l'information sociale du gouvernement de Vichy, plus connue sous le nom de Propagande pétainiste ouvrière (PPO).
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Le 27 novembre 1958, les attaques viennent de la gauche. Le Progrès social du Centre, hebdomadaire de la fédération SFIO de la Nièvre, titre ; "De la francisque à l’extrême gauche : buvant le calice jusqu'à la lie, Mitterrand le déloyal va au comble de l'abjection."
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