AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,64

sur 103 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
L'histoire d'un petit français de 11 ans qui se retrouve seul à Buenos Aires quand il perd sa mère devant une librairie.
Il va tenter de se débrouiller.
De rencontre en rencontre, il grandit, il découvre une ville immense.
Un cartonnier, des prostituées, un jardinier, une psychologue, toutes les strates de la société argentine sont décrites à travers la longue errance de Lucien pour retrouver sa mère. L'a-t-il perdu où l'a-t-elle abandonné ? Des bas quartiers aux luxueuses villas, Lucien devient Lucio, et se construit face à l'adversité.

Voilà… un premier roman sympathique, un roman d'apprentissage, un style direct et loin d'être désagréable, des personnages secondaires plutôt attachants mais... Je suis trop vieille pour ce type de roman. Il manque quelque chose qui gratte, quelque chose de plus profond, trop lisse pour moi, trop prévisible, trop stéréotypé. Je n'ai tout simplement pas été émue, je ne suis pas arrivée à être en empathie avec ce gamin qui pourtant n'a pas la vie facile; par moment, je ne l'ai même pas compris.
Un roman que je classe dans le même répertoire que « La tresse » de Laëtitia Colombani.

C'est sans aucun doute une très belle lecture pour de grands ados - je pense d'ailleurs inciter ma fille à le lire – mais désolée, ce n'est pas pour moi
Commenter  J’apprécie          31
Reçu pour test, bien entendu auteur et journaliste inconnue pour moi.

Je me suis accrochée du mieux possible à ce roman mais je ne l'ai pas aimé.
Ni l'histoire ni le style de l'auteur n'ont éveillé et retenu curiosité et intérêt.
L'identification à aucun des personnages n'est possible. Les descriptions sont pénibles, complaisantes, avec une prédilection pour les détails sordides, organiques, parfois vulgaires.
Histoire tirée par les cheveux Et assez triste. Un peu trop dans le style de notre société manichéenne mais tellement gentille ! bref cette éternelle morale des petites gens qui sont toujours plus gentils que les autres. C'est lassant et tourne au cliché,
Les temps sont assez durs en ce moment pour perdre du temps à lire un livre vide, triste, pénible et mal ficelé.
Dans la dernière page, l'auteur remercie une tartine d'adjuvants. Flaubert n'avait besoin de remercier personne pour écrire ses romans.
Commenter  J’apprécie          20
Bien que je n'ai pas été transportée en lisant « L'attrape-souci », ma lecture a été plaisante car Catherine Faye a une jolie plume, elle sait raconter l'histoire de ce petit garçon, Lucien. Ma lecture débutait bien avec cette anecdote sur les petites boîtes dans une librairie!! Dans ces petites boîtes, qui intriguent Lucien, se trouvent des petites poupées auxquelles on confie ses soucis avant de s'endormir pour que le matin, ces soucis se soient envolés. Cette légende est vraiment mignonne mais après l'avoir découvert, Lucien perd sa maman et forcément, je me dis que c'est pas possible, qu'une maman peut pas disparaitre comme ça, surtout dans un pays étranger et laisser son enfant livré à lui-même… Et si… Cela paraît totalement improbable mais pas dans ce roman et c'est tellement improbable que même les policiers ne croient pas en cette histoire que tente leur relater Lucien… Lucien va faire en sorte de s'en sortir et il va rencontrer des personnes tellement atypiques que cela paraît encore improbable… C'est peut-être tout ce côté improbable qui ne m'a pas fait rentrer dans l'histoire de Lucien, dans la compassion de ce petit garçon perdu dans une ville inconnue qui rencontre des personnages vivant dans une Argentine bien pauvre… Cependant, Lucien, ou Lucio dans ce nouveau pays, est un garçon qui a beaucoup de ressources, de tempérament et de courage pour affronter cette nouvelle vie non voulue, pour s'en sortir alors qu'il n'a que 11 ans.
Catherine Faye m'a emmenée dans une Argentine pauvre, très pauvre où tout y est décrit: les odeurs, la saleté, les conditions de vie, le manque de nourriture… Les descriptions sont telles que je sentais ces mauvaises odeurs, que je visualisais le bidonville, les personnages. Par contre, je n'ai pas réussi à « voir » Lucien et cela m'a manquée en fait. Par contre, j'ai bien ressenti son caractère, sa volonté de pas déranger, de passer comme inaperçu.
Dans « L'attrape-souci », j'ai suivi Lucien dans sa recherche de cette mère, si on peut l'appeler une mère, et dans ses rencontres qui vont le construire, le forger. Il en ressort bien évidemment grandi, empreint de philosophie pour un garçon de son âge mais Lucien ne m'a pas complètement emmenée avec lui, je suis restée en marge et ce malgré la plume, les mots, les courtes phrases que Catherine Faye m'a livrée et ses descriptions qui rendent le récit presque réels. Mais il a manqué un quelque chose pour moi…
Lien : https://unbrindesyboulette.w..
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (189) Voir plus



Quiz Voir plus

Et s'il faut commencer par les coups de pied au cul

Dans un film de Jim Jarmush, un tout jeune couple d'adolescents se demande : Y a-t-il encore des anarchistes à -------- à part nous ? Peu de chances. Où çà exactement ?

Paterson
Livingston
Harrison
New York

10 questions
23 lecteurs ont répondu
Thèmes : anarchie , éducation , cinéma americain , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}