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sur 103 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Il ne comprend rien aux histoires des adultes, quand il sera grand il vivra près de la mer et regardera passer les nuages, sur un banc dans son jardin, ou alors il aura une Porsche bleu marine et traversera les villes sans jamais s’arrêter. Lucien a 11 ans, il a perdu sa maman alors qu’il admirait dans une librairie des minuscules poupées dans de petites boites jaunes, des attrape-soucis.

Au milieu des manifestations contre le président de la République, dans ce pays de corrompus, de football et de tango, il devient un gamin des rues en gagnant de quoi manger en jonglant dans le métro, au fil de ses errances, il rencontre des personnes singulières, Gaston un clochard qui ramasse des cartons et des vieux journaux pour survivre, Ariana une prostituée et Arrigo le jardinier, des gens bienveillants qui n’ont presque rien et qui pourtant sont prêts à tout donner.

L’écriture tellement vivante de Catherine Faye nous entraîne sur les pas de Lucio dans les rues de Buenos Aires, des bas-fonds de la ville aux quartiers chics. Dans un pays en crise. La quête désespérée d’un enfant rêveur, déterminé et courageux pour retrouver sa mère. Un beau roman bouleversant porté par une plume sensible, un coup de cœur, un livre qui fait du bien par les valeurs qu’il véhicule.


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C est le titre qui m a attiré vers ce très beau roman d apprentissage !
L attrape-souci m a ramené à mon voyage, l an passé, au Mexique et à la découverte, dans une petite échoppe, de ces minuscules poupées artisanales qui, selon la légende, placées sous l oreiller, ont l extraordinaire pouvoir d emmener loin les soucis qu on leur confie :) ! J avais trouvé ces petites poupées adorables et la légende charmante ... Voilà pour la ptite anecdote ..
L histoire de ce roman nous emmène en Argentine. Lucien, jeune garçon de 11 ans, vient d arriver depuis peu de Paris avec sa maman. Il découvre dans une librairie les fameuses petites poupées (dont je vous parlais plus haut) et soudainement il se rend compte que sa Maman a disparu ! Volatilisée !
Ainsi, abandonné à lui même, dans un pays inconnu qui plus est, Lucien se retrouve littéralement à la rue et son parcours sera jalonné de bonnes et mauvaises rencontres ...
Je me suis beaucoup attachée à ce personnage, un enfant tout à la fois innocent et vaillant. Un enfant qui ne comprend pas les adultes et qui a grandi sous le jouc d une mère absente et cruelle ...
Au fil du récit, Catherine Faye fait vivre au lecteur la détresse de cet enfant. Pour ma part, j ai ressenti ce sentiment d empathie envers lui ... envie de l aider, de le rassurer ...
Un beau roman émouvant que je vous conseille vraiment !
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Merci à net galley et les éditions Fayard (Mazarine) de m'avoir envoyé en avant première L'attrape-souci de Catherine Faye.
Nous sommes en 2001, à la fin de l'année, un peu après le 11 septembre. La maman de Lucien a emmené le jeune garçon de 10 ans avec elle dans la capitale de l'Argentine. Lucien est en train de regarder de petites boîtes (que sa maman appelle un attrape-souci) dans une librairie quand soudain elle disparaît ! Lucien qui très vite se fait appeler Lucio, se retrouve à errer dans la ville, seul, ou presque, car il rencontre de nombreuses personnes, plus ou moins bien attentionnées.
Réussira t'il à grandir et se construire sans mère ? Et va t'il la retrouver ?
L'attrape-souci est un roman très dur qui nous emmène dans une Argentine très pauvre, jusque dans les bidonvilles, mais aussi parfois dans les quartiers riches, loin de la pauvreté !
Lucien / Lucio est un petit garçon terrifié, touchant. Comme lui on ne comprend pas comment sa mère a pu l'abandonner ainsi, lui un petit français, dans une ville inconnue à des milliers de kilomètres de Paris ! Lucio a peur, il ne veut surtout pas être renvoyé en France sans sa maman chez son oncle, un homme qui lui fait peur.
On comprend peu à peu pourquoi sa maman a fait ça, on s'en doute mais c'est dur quand la vérité éclate pour le petit garçon.
L'attrape-souci est un roman très touchant, bien écrit. Certaines scènes sont assez dures mais cela ne m'a pas dérangée car ce n'est pas de la violence pour la violence, ça s'inscrit dans l'histoire, et c'est nécessaire pour que le roman soit aussi réussit.
J'ai beaucoup aimé les personnages, sauf la maman évidemment ! Elle, on lui souhaite le pire, il est difficile de l'excuser.
J'ai aimé l'ambiance, et même si ce roman remue, il est vraiment réussi.
Je mets quatre étoiles et demie à L'attrape-souci, que je invite à découvrir à votre tour.
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Encore un premier roman découvert grâce aux 68 premières Fois. Une belle découverte !
L'Attrape-souci de Catherine Faye revisite le roman d'apprentissage et nous dépayse à Buenos Aires au début des années 2000. Son roman évoque la perte, l'abandon, la quête des origines, la reconstruction et le rapport au passé.

Les codes du genre sont là : le parcours initiatique et formateur, la confrontation avec un milieu hostile, une série d'expériences et de rencontres, une évolution positive, un cheminement, la quête de réponses et une acceptation du passé.
Le rapprochement avec le roman d'apprentissage s'arrête cependant là car le récit ne s'étale pas sur plusieurs années, mais, au contraire, se limite à quelques mois dans la vie d'un enfant.

Transposé par exemple à Paris à la même époque, ce roman serait un conte, à l'intrigue improbable, et ce manque de crédibilité nuirait à la lecture. Ici, il y a un réel effet de dépaysement qui, non seulement, ravira les lecteurs, mais surtout donnera corps et réalisme aux aventures de Lucio, perdu dans Buenos Aires.
Personnellement, même si je ne connais pas l'Argentine, j'ai passé quelques mois, à peu près à l'époque où se situe l'action, à Bogotá, capitale de la Colombie, et je ne suis dons pas étonnée qu'un enfant puisse perdre sa mère sans que cela inquiète les gens autour, que ce même enfant traine dans les rues, jongle pour gagner quelques pesos, vole pour se nourrir et subsiste tant bien que mal, surtout si sa mère ne le recherche pas… Dans ce contexte, l'histoire du Lucio est plausible, réelle, parlante… touchante, captivante, addictive.

Je ne connais pas l'univers référentiel de Catherine Faye, mais je retrouve dans les rencontres de Lucio des protagonistes qui me rappellent ceux de Gabriel García Márquez, notamment les prostituées au grand coeur, des personnages cabossés, meurtris, exploités, des belles personnes qui ne posent pas de questions, qui accueillent sans à priori.

L'écriture à la première personne est magique car c'est la voix d'un enfant de douze ans, naturelle, spontanée, logique, pragmatique, papillonnante et résiliente, entre imaginaire et détermination… Sans mièvrerie inutile, ce JE passe du constat au découragement, du rire aux larmes, du jeu au danger, de la confiance à la terreur, du mensonge effronté à la demie vérité constructive… et nous vivons tous ces moments de l'intérieur à ses côtés. le rappel des souvenirs, les retours en arrière, relèvent d'un procédé souvent utilisé pour donner une certaine densité à l'intrigue ; Catherine Faye s'en sert pour construire une étrange relation mère-fils qui interroge tout au long du récit.
L'action de L'Attrape-souci se situe en pleine crise économique en Argentine et, bien que racontée par le prisme du point de vue enfantin, la situation politique, financière et sociale transparait dans le récit, forme comme un écrin, tenu à distance et présent en même temps. L'auteure maîtrise son sujet, crée une véritable ambiance.

Sans dévoiler la fin, je peux dire qu'elle m'a plu ; elle n'était pas annoncée, ne pouvait pas être simple ni couler de source… Ce n'est ni rose, ni bleu, ni violet et pourtant il y a un peu de tout cela.
Un magnifique roman, qui a su me toucher, m'émouvoir. Merci Catherine Faye.
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lu d'une seule traite ! comment cet enfant va t il se sortir de cette vie compliquée ? je n'en dis pas plus car ce serait dommage de dévoiler l'histoire magnifique !!!
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Buenos Aires vers Noël 2001. Lucien a 11 ans et passe ses vacances avec sa mère originaire d'Argentine. Ils flânent dans une librairie. Lucien découvre les attrape-soucis, de petites poupées qu'on glisse sous l'oreiller pour se réveiller sans problèmes. Alors qu'il s'apprête à en choisir un, sa mère disparaît. Cruelle ironie !

Livré à lui-même, Lucien part à sa recherche dans toute la ville en s'aidant du maigre espagnol qu'il possède. Sur le chemin de sa quête, il croise une multitude de gens d'horizons variés, des bas-fonds de la ville aux quartiers chics à la périphérie. Si Lucien, qui devient Lucio, échappe à quelques mauvais tours, la plupart des gens lui apporte une aide temporaire, bienveillante, discrète. Que ce soit avec le sans-domicile fixe Gastón, les prostituées comme Ariana, le jardinier Arrigo, les rencontres sont déterminantes, pleines d'humanité sous la rudesse des apparences. Ces petites gens qui luttent pour s'en sortir n'ont pas le temps, ne peuvent se permettre de s'apitoyer sur eux et sur les autres. Ils ne posent pas trop de questions mais aident tout en faisant prendre conscience à Lucio qu'il doit trouver lui-même les moyens de sa survie. Lucio, de toute façon, ne veut pas révéler sa situation de peur d'être renvoyé en France.

Catherine Faye nous offre un très beau roman d'apprentissage. Lucio progresse au fil des rencontres dans sa quête mais surtout dans la découverte de lui-même. J'ai été émue par ce petit bonhomme au courage immense, à la recherche désespérée d'une mère qui ne lui a pourtant pas apporté beaucoup d'amour et d'attention. Une forme de violence finit par se libérer avec la rencontre avec Adela, une forme de nouvelle figure maternelle. Nous trouvons dans cette violence contenue les prémisses de l'adolescence, l'intégration des codes de survie dans un milieu difficile et surtout un manque cruel d'amour. J'ai eu une envie folle de serrer ce petit bonhomme dans mes bras surtout avec une fin aussi bouleversante. Lisez-le !
Lien : http://www.leslecturesdumout..
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Certains livres, tu ne sais pas pourquoi mais ils t'embarquent dans un monde unique et particulier et c'est seulement quand tu en ressors que tu comprends ce que tu viens de vivre.
L'attrape-souci te fait et tient cette promesse-là par le biais de son personnage principal Lucien / Lucio (pour coller plus à la réalité des prénoms argentins bien sur).

Lucio perd sa maman dans une grande ville qu'il ne connaît pas. Ils venaient de découvrir l'existence des attrape-soucis dans une librairie et depuis c'est un peu le néant. Il cherche sa maman partout, en vain.
Au détour de ses recherches, il rencontrera des hommes et des femmes qui le feront murir. Lucio n'a que 11 ans mais déjà il doit affronter la VIE. Certains lui donneront tout pour l'aider, même ce qu'ils n'ont pas.
Je n'ai pas retenu tous les noms, tous les métiers des gens croisés par Lucio, cela ne vous en apprendra pas plus sur la profondeur du livre. Il faut surtout que vous gardiez l'oeil et l'esprit ouvert pour voir entre les lignes.
Lucio vous fera vagabonder, creuser, chercher, vous émerveiller, pleurer, rire, douter et ressentir de l'espoir.

C'est un petit garçon qui a beaucoup grandi au fil de l'histoire, cela fait partie des éléments que je retiens.

Ce que j'ai encore plus en mémoire c'est la capacité d'adaptation de l'humain à toutes situations. Que ce soit un enfant ou un adulte, on a tous des ressources insoupçonnées et les obstacles rencontrés nous façonnent et donnent le ton pour l'avenir lorsque cela survient jeune notamment.

A travers l'histoire de Lucio, c'est chacun de nous qui est invité à se reconnecter à ses convictions profondes. L'attrape-souci est un objet dans lequel chacun mettra ce qu'il veut mais pour Lucio je pense que son inconscient l'a aidé...

L'attrape-souci c'est la métaphore de nos vies, c'est un peu le doudou que le très jeune enfant ne veut pas quitter et dans lequel il a tout mis, ses peurs, ses angoisses, ses bonheurs, ses joies...
Pour saisir toute la sensibilité et la profondeur du message transmis par l'auteur il m'a fallu arriver vers la fin. Non pas que le reste de l'histoire ne transmet rien. En fait, j'étais tellement dans la peau de Lucio que j'avais les mêmes attentes que lui et la fin m'a donc fait le même effet qu'à lui...et puis est venu ensuite, comme une nouvelle porte qui s'ouvrait, la compréhension !

C'est une belle lecture, j'ai beaucoup aimé le personnage de Lucio car il évolue au fil de l'histoire et nous fait vivre des émotions très variées ce qui rend d'ailleurs le livre dynamique aussi dans son rythme et dans l'empathie ressentie. Et puis un personnage principal comme Lucio c'est l'assurance de partir au pays de l'enfance avec toute la magie, l'innocence et la spontanéité que l'on peut y trouver !
Lien : https://leslecturesdelailai...
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Magistral, intense, « L'Attrape Souci » de Catherine Faye, en mouvances cardinales enclenche le rythme du renom. L'écriture est une éclipse. Ciselée, claire, laconique, elle déporte sur son passage le trop plein et garde pour elle cette part d'un précis hors norme. L'incipit « Je l'ai perdu comme ça. », brouillard métaphorique, corde qui cède face à l'adversité, Rocher de Sisyphe, lance les dés. le ton est donné. L'Argentine rentre en scène profondément altruiste et magnanime. Car, c'est ici que les saveurs d'une trame douée vont démêler les noeuds d'une omniprésence certaine. « Elle voulait un roman qui se passe au bout du monde, c'est ce qu'elle expliquait maintenant à la vendeuse au chignon plat, dans cette langue qu'elle parlait couramment, l'argentin ». Lucien ne sait pas encore que sa maman n'est déjà plus. Qu'elle a mis « Et un petit enfant aussi, pour le souci….qui n'en est pas vraiment un. » dans la boîte aux soucis paraboliques. Sa mère prépare un bagage de survie pour son fils et son advenir. Ce dernier va devoir passer par l'ombre pour atteindre la cime lumineuse. le voici pour l'instant dans le labyrinthe argentin à Buenos Aires, errant dans les librairies chimériques, Poulbot abandonné, petit être écartant les branches de l'ibiquité. Lucien, tel le caméléon se prénomme maintenant Lucio, au gré d'une langue courtoise et chantante, petit homme des rues, sans toit, regain en devenir. Les rencontres vont être bénéfiques, signatures accueillantes de cette terre ensoleillée. Les âmes chaleureuses et les combats gagnants seront pour le petit Lucio ce que le jour doit à la nuit. La douleur est vive dans les lignes, mais belle. Elle resserre la solidarité dans le champ des valeurs fondamentales. Arrigo est ce pilier fondateur, une frontière abolie qui ouvre ses bras à l'orée d'une tendresse allouée pour Lucio. L'idiosyncrasie argentine régale les mots d'une saveur mêlée de compassions, de mathé et d'amour. le lecteur est sidéré de se sentir d'un seul coup aussi vivant, dans cet astre du toujours possible. L'histoire de Lucio est un hymne à la renaissance. « Dessine, Lucio, chaque jour dessine, n'importe comment « maintenant »» Les épreuves surmontées, cet enfant devenu argentin d'adoption déploie ses ailes pour franchir le point gagnant d'un non- retour intérieur. L'Attrape-Souci métaphore d'une transsubstantiation est un roman soignant, solidaire, sincère, émouvant, fraternel. Une envergure pour la résilience, une gloire aux batailles vaincues et un chant à la virtuosité du courage. Edité par Mazarine , son culte est régénérant.
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J'ai été profondément remuée par ce roman. Touchée en plein coeur par ce petit garçon qui n'a rien demander à personne et doit pourtant subir les mauvais côtés de la vie. Un petit garçon perdu qui recherche sa maman… Un petit garçon touchant devenu si débrouillard par la force des choses. Autant vous dire que mon coeur s'est serré un bon nombre de fois.

Dans ce roman écrit à la première personne, Lucien nous raconte son histoire. le fait qu'il s'agisse d'un enfant apporte une petite touche de fraîcheur, de douceur dans un univers plutôt sombre. Il interprète certaines choses de son environnement avec des yeux, des pensées ou même des mots d'enfants. Les voir de mon regard d'adulte n'a rendu ma lecture que plus poignante encore. D'autres personnages m'ont marqué, touché au fil des pages. Un en particulier mais dont je ne parlerai pas ici. Je vous laisse le découvrir, les découvrir tous.

Entre les pages de ce livre il y a beaucoup de détails, de descriptions ou encore d'informations. J'ai été transportée à Buenos Aires avec Lucien et les autres personnages. Transportée dans les bons mais aussi les mauvais moments. Bidonville, violence, pauvreté, prostitution, l'auteure dépeint la face sombre et si vrai d'une ville d'Argentine.

Catherine Faye nous montre la réalité de certaines vies, sans fard, telle qu'elles sont vraiment. Elle nous montre la générosité de ceux qui n'ont pourtant rien. Elle nous montre aussi l'égoïsme d'autres personnes qui ferment les yeux, ou pire, face à Lucien, face à sa souffrance.

Cette chronique n'a pas été évidente à écrire, tant les mots se bousculent. J'ai été touchée, émue par ce petit garçon et son histoire. Ce premier roman est très bien réussi et m'a fait ressentir des tas d'émotions parfois si contraires. Je n'oublierai pas Lucien de sitôt.
Lien : https://laurielucasetseslect..
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Un très joli premier roman qui raconte l'histoire de Lucien, 11 ans, un petit français qui part en Argentine avec sa mère pour un voyage... Un voyage qui va tourner au cauchemar.

Au détour d'une librairie, sa mère va disparaître et Lucien va rester seul et s'égarer dans les rues de Buenos Aires où il fera des rencontres surprenantes, attachantes dont une qui changera le cours de sa vie !

A travers ce roman, on découvre la misère, la débrouille, la tristesse de la rue mais on oublie surtout pas l'humanité, l'amour et la solidarité. Une écriture simple mais percutante. Des personnages attachants et un Lucio de 11 ans qui part à la recherche de sa mère et surtout en quête de réponses. Une belle découverte.

Et un petit clin d'oeil pour la couverture du livre qui ne peut que donner envie de l'ouvrir !
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