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Broadway Limited tome 3 sur 3

Kim Roselier (Autre)
EAN : 9782211331692
594 pages
L'Ecole des loisirs (21/06/2023)
4.32/5   131 notes
Résumé :
Printemps 1949. Enfin le soleil inonde les rues de New York, mais à la pension Giboulée, personne ne semble en profiter. Artemisia Merle, dite le Dragon, préfère terroriser ses adversaires au poker. Sa soeur attend l'arrivée de la télévision comme celle du messie. Quant à leurs pensionnaires, Chic, Page, Manhattan, Hadley, Ursula et Etchika, elles sont trop occupées à courir les auditions, les feuilletons radiophoniques, à se disputer l'unique salle de bains ou à ve... >Voir plus
Que lire après Broadway limited, tome 3 : Un thé avec Grace KellyVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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Fin de cette trilogie virevoltante , se passant à New York et parlant de jeunes aspirantes artistes.

On est en 1949 et tout ce qui se passe en matière de comédies musicales nait à New York...
Les six jeunes filles pensionnaires de la pension Giboulée, n'ont qu'un rêve : réussir !
Danseuse, comédienne, chanteuse, elles ont toutes ce rêve en tête du soir au matin et de petits boulots alimentaires en auditions. Et comme elles sont douées , elles y arriveront et d'autres les remplaceront à la pension.. Mais en attendant, place au spectacle, à l'amitié (ou pas ) entre elles et à l'amour. Tout était possible en 1949, et surtout ptrendre un thé avec Grace Kelly, elle aussi aspirante actrice...
Tout est possible en 1949 à New York où se concentre tous les talents .

Un numéro virevolatnt et entrainant, bourré d'énergie dans lequel je me suis souvent perdue, ne me souvenant plus trop des béguins des unes et des autres,des caractères de tous les personnages et qui à tel talent ou un autre... Cela donne un portrait de l'époque assez réaliste , car à travers toute cette fièvre nocturne, tout ce talent qui s'aiguise, pointe le nez du maccarthysme...
L'une des histoires d'amour a pris (pour moi) le pas sur toutes les autres, pour s'arrêter net. C'est une volonté artistique que je respecte, mais je ne suis pas sure que cela était la plus forte, la plus intense..

Sympathique . A faire lire aux adolescents afin qu'ils découvrent une époque à un instant T , dans une ville qu'ils ont l'habitude de voir autrement..
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Deux ans et demi se seront écoulés entre la parution de "Un shim sham avec Fred Astaire" et le dernier volume de "Broadway Limited", "Un thé avec Grace Kelly", deux ans et demi qui ont passé à toute vitesse, riches de tant de livres et d'histoires… mais sur l'échelle de Broadway, ce furent neuf-cent-quinze (à peu près!) jours interminables.
Il faut dire que le tome 2 de la saga se terminait de la pire des manières pour le lecteur énamouré, attrapé, captif des intrigues, des drames et des amours de la Pension Giboulée! En de telles circonstances, deux ans et demi, c'est l'éternité.
Cette sortie tardive m'aura toutefois offert le plaisir de la relecture des deux premiers tomes et la joie, plus grande encore, de ne pas quitter New-York entre le shim sham et le thé! J'étais si heureuse de renouer avec la Pension, avec Jocelyn et tous les autres! J'avais hâte, surtout, de savoir comment tout cela allait se terminer, comment les différentes intrigues engagées allaient se résoudre, se croiser, se conclure!
Manhattan allait-elle révéler au grand Uli Styner ce qui la hante depuis "Un dîner avec Cary Grant"? Hadley allait-elle retrouver celui qu'elle cherche avant qu'il ne succombe à d'autres bras? Comment Chic pouvait-elle se sortir de cet amour bien trop lourd pour elle? Quel rôle pour Page? Et pour Etchika, l'oubliée du deuxième tome? Quel avenir pour Ursula et son amour réprouvé par la morale américaine, violente, inique et étriquée?

C'est donc avec une délectation non feinte que j'ai ouvert pour la première fois "Un thé avec Grace Kelly" et je l'ai dévoré, bande originale de "Singin'in the rain" puis best-of de Sinatra en fond sonore et tablette de chocolat praliné à proximité de la théière.

Que dire alors, que dire de ce tome tant attendu?
Peut-être qu'il faut commencer par ce qui fâche… Qu'on soit clair, j'ai adoré cette lecture, mais je l'ai trouvé un peu en dessous des deux premiers tomes… Alors peut-être que c'est de ma faute… Peut-être ai-je mis trop d'attentes dans ce roman attendu avec tant de ferveur depuis tant de temps, peut-être aussi que j'ai trop aimé "Un dîner avec Cary Grant" et "Un shim sham avec Fred Astaire"? Ils sont si réussis ces romans (et pour moi, le second surpassant le premier, le troisième ne pouvait être que meilleur encore) que je leur voulais une fin en apothéose, en feu d'artifice… Et ce n'est pas du tout le délire pyrotechnique que j'espérais. C'est peut-être moi, ou c'est peut-être la "Malédiction du dernier tome": souvent, quand on attend le grand final après avoir accompagné longuement des personnages, après y avoir projeté des attentes, le dernier acte se révèle souvent...déconcertant. C'est en tout cas une sensation qui, sans m'être familière, m'est connue (Oui tome 4 de "La Passe-Miroir", c'est à toi que je pense!). Peu importe au fond... Toujours est-il que ce thé avec la princesse de Monaco, bien que très bon, ne m'a pas paru aussi bon que ses prédécesseurs et c'est tout le problème. Fichue comparaison! Pourquoi? Et bien tout simplement parce que je l'ai trouvé assez inégal: il est assez long, plus long en tout cas que les tomes précédents et j'ai trouvé que les intrigues se délayaient un peu trop dans les deux premiers tiers du roman mais qu'arrivées dans le dernier, elles se résolvaient beaucoup trop facilement, beaucoup trop précipitamment comme si l'auteur voulait s'en débarrasser. de plus, elles ne se concentrent que sur quelques personnages et les autres sont un peu laissés de côté... Charity méritait plus de place, Ursula et Silas également, et je ne parle pas de Jocelyn qui est au coeur d'un vrai dilemme que la narration se contente de survoler, à ma grande frustration! Autre frustration, plus subjective cependant: l'ellipse à la page 637. Cette scène, je l'attendais depuis… depuis toujours… et… le blanc, le silence, l'ellipse. Hérétique ellipse, cruelle ellipse!
Au-delà de mon insatisfaction personnelle, l'escamotage de ce passage tant espéré me donne un peu l'impression du choix de la facilité… Parce que oui, cette scène était attendue et donc d'autant plus difficile à écrire... mais justement: quel panache il y aurait eu à tenter de la raconter plutôt que ce silence un peu pusillanime!

Malgré tout, "Un thé avec Grace Kelly" recèle aussi de vraies qualités et conclut avec brio la trilogie de "Broadway Limited": inventif (j'ai pour ma part adoré les chapitres centrés sur Ginger, un peu mystérieux de prime abord mais qui revêtent au fil du récit toute leur signification: Giboulée ne finira jamais!) il a su conserver la profondeur et la gravité déployée dans "Un shim sham avec Frec Astaire" en mêlant aux récits des trajectoires personnelles des personnages le portrait d'une Amérique schizophrène sans faire l'impasse sur le rythme, la musique et la légèreté qui parcourt toute la trilogie à travers des personnages résolument pétillants, très attachants et capable d'émouvoir les lecteurs, petits ou grands, à condition que ces derniers aient gardé en eux un peu de leur âme d'adolescents; à travers aussi une écriture fluide et très cinématographique et des guest star sortis tout droit de l'âge d'or d'Hollywood...

Il est pour les amoureux de cinéma et de théâtre le Broadway Limited, pour les danseurs qui virevoltent comme d'autres respirent et pour les amoureux tout court.
Un quickstep avec Malika Ferdjoukh pour un printemps enfin pétillant.

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Pas d'accord du tout avec Lucilou ou Herrera. Il n'y a aucune ellipse. La scène est là. Elle existe bien. Elle est simplement ailleurs, distillée avec soin au cours des trois tomes. En réalité, lorsque cette scène arrive, tout est là. Tout a été dit, déjà.

L'auteure s'est exprimée avec clarté sur le sujet. Loin d'être une option de dernière minute, son choix a été mûrement pesé, longuement pensé.
Elle a expliqué que cette scène a été conçue et résolument fixée ainsi, dès le début de la trilogie.

Il semble même que cette conclusion a été un pivot déterminant de son écriture, et de ce récit. Sans "cette scène", écrite de cette manière, Hadley n'aurait jamais existé.

Selon elle, il aurait été au contraire plus facile, et très paresseux, de plaquer une scène de blablas explicatifs, de redites écrites "dans le sens du poil", à la façon des séries télé : ("je t'ai attendu(e), je n'ai jamais cessé de t'aimer, je t'ai cherché(e), tu m'as manqué(e), tu m'aimes, je t'aime, on s'aime, etc. ", avec toutes les platitudes convenues, tous les poncifs du roman de gare).

A la place d'un bavardage de convention plaqué "a posteriori", la romancière a préféré une démonstration en amont, par des actions "a priori" , par une multitude de scènes en "live" (les quêtes parallèles des deux amants, leur attitude en miroir, face à d'autres amours possible, refus d'une vie aisée pour elle, ou bien lui, résistant aux offensives charmeuses de Qui-on-sait, et une foule d'autres choses). Fidélité, espoir, la foi en soi et l'autre, restent inébranlables, malgré le temps qui éloigne, malgré les séparations, les tentations, le découragement, les rencontres croisées, si souvent manquées...

Qu'est-ce qu'on aurait pu raconter de plus, qui n'aurait pas été redondant, prémâché, ressassé à gros sabots, bref, vraiment indigeste ? Pourquoi aurait-il fallu tartiner un supplément de confiture inutile?

On pense à la fin des "Demoiselles de Rochefort", lorsque le jeune marin grimpe dans le camion, et que l'on sait qu'il va enfin trouver celle qu'il cherche. le spectateur n'assistera jamais à leur rencontre (Imaginons un peu le dialogue : " Tiens, je t'ai cherché partout", ou "Ah, t'étais donc là finalement ?" et autres balourdises du même ordre, très ridicules) . Dans le film, le camion, en toute s'implicité, s'éloigne, et... Fin. Pas besoin d'enfoncer les choses dans le crâne à coups de marteau.
Tout a été clairement montré avant. Rien à ajouter.





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🩰Quel plaisir que de retrouver une dernière fois tous nos petits pensionnaires des Giboulées !
Malika Ferdjoukh nous emporte encore une fois dans un New York rempli de folies et d'extravagance où l'on croit le jeune Marlon Brando, Grace Kelly courant les auditions, Fred Astaire au restaurant et tant d'autres…

Pour ma part, cela faisait un an que j'attendais la sortie de ce dernier livre, avec les rebondissements qui l'accompagnent, en effet, ce dernier tome était prévu pour le mois de décembre et nous a fait attendre jusqu'en mai. Mais bon, une fois en main, on ne veut qu'une chose : savoir quels choix vont faire Chic, Page, Ursula, Etchika, Manhattan, Hadley, Dido, Arlan, Jocelyn et tous les autres. Attention, qui dit «roman choral», dit aussi « beaucoup de personnages dont les destins s'entre-croisent », et effectivement, ce dernier tome joue avec nos nerfs.

Malheureusement, tous les personnages ne sont pas logés à la même enseigne, si les destins de Chic, d'Hadley (forcément), d'Arlan, de Page ou de Manhattan m'ont passionnés, étonnement, je me suis désintéressée de la vie de Jocelyn et Dido. D'une part, le triangle amoureux Chic-Hadley-Arlan met le lecteur sous-tension tout le livre durant, et les relations Scott-Uli-Manhattan apportent la douceur qui nous manquait. D'autre part, je dois l'avouer, Dido m'a énervée sur ce dernier tome et j'y ai retrouvé un Jocelyn sans grande consistance.

Cela n'empêche pas cette belle saga d'être un coup de coeur !

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Ce mardi 10 août 2021, suite et fin de la galvanisante trilogie de Malika Ferdjoukh : Broadway Limited.

Un bonheur. Pour la dernière fois, le Broadway Limited dépose sur le quai de la gare de New York des jeunes pleins d'espoir et prêts à conquérir le monde.

Nous sommes dans l'Amérique d'après-guerre. Nous sommes au printemps 1949. Tout commence à renaître après un sombre hiver, et il semble qu'enfin, la persévérance de nos héroïnes commence à payer. Nous retrouvons Page, Chic, Hadley, Manhattan, Ursula, Etchika et les autres pensionnaires de la Pension Giboulée qui, après avoir encouragé les rêves de celles et ceux que nous avons accompagnés pendant 3 romans, s'apprête à abriter les rêves de nouvelles pensionnaires.

C'est la fin d'une ère, le temps du changement, l'arrivée de la télévision, une nouvelle époque qui commence. Et même si dans l'ombre, la menace de Hoover plane encore, les inégalités raciales persistent et les injustices sociales mènent la vie dure à nos protagonistes, ceux-ci ne cessent de poursuivre leurs rêves, d'avancer, d'aimer, de décider courageusement ce que sera leur destinée.

Des coeurs sont brisés, des êtres sont retrouvés, des rêves sont enfin réalisés, des opportunités inespérées sont saisies.

Dans ce troisième tome, l'heure est au choix pour nos personnages. Faire ce qu'il faut ou suivre son coeur ? Rester dans son confort ou ouvrir la porte au champ des possibles ? le choix nous appartient. le changement ne s'espère ni ne se souhaite. Il se provoque. Et le bonheur, celui que l'on peut avoir, s'assume, se prend et se vit au présent.

Une merveilleuse saga que je recommande, qui encourage à aller de l'avant sans jamais perdre espoir.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Mrs Chandler répugnait à rappeler les lecteurs qui outrepassaient leur temps de prêt. D'ailleurs, elle ne le faisait jamais. Elle savait trop bien que certains livres demandent davantage que trois semaines. Qu'on peut avoir envie de les relire sitôt après le mot fin. Que c'est parfois un crève-coeur de s'en séparer. Jamais, de sa vie de bibliothécaire, elle n'avait administré d'amende. Quand un livre disparaissait, elle en concluait, secrètement heureuse, qu'on l'avait trop aimé, et elle le faisait racheter.
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Elle rassembla les ingrédients autour du saladier. Puis elle versa, dosa, incorpora, remua, sépara, battit, fouetta, sucra, beurra, épiça, mélangea, corrigea, pétrit, malaxa, aplatit, étira, enfarina, roula, découpa, moula, chemisa, badigeonna, décora...
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Oui, les Américains sont absurdes. capables de tolérer les extravagances les plus farfelues au nom de la liberté d'opinion et de leur fichu premier Amendement...mais tout aussi capables de vous pourchasser et vous harceler au nom ... des mêmes choses !
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Sept allées. Son pas était désormais souple et tranquille.
Première allée. Il lui dirait… Il devrait lui dire…
Deuxième allée. Mon amour, ton absence m'a torturé mille nuits.
Troisième allée. Rien, il ne lui dirait rien, il la serrerait, ils s'embrasseraient à s'étouffer.
Quatrième allée. Une robe bleue, avait crié la voix - voix oubliée déjà - par la fenêtre du taxi. It's been a long long time …
Cinquième allée. So, kiss me once, then, kiss me twick , the , kiss me once again … Il s’arrêta. Le cœur lui faisait mal.
Sixième allée. Dans un espace entre deux étagères, il aperçut l’étoffe bleue, inclinée sur une pile d'album .
Septième…
Au bruit de ses pas, la robe bleue se retourna.
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Sur le seuil se tenait une jeune fille. Elle était de son âge, très charmante, l'air gai, elle tenait une valisette et un grand étui circulaire en cuir.
- J'ai vu de la lumière, dit-elle.
(Evidemment.)
- Suis-je à la pensée Giboulée ?
Elle avait une large bouche d'où un rire semblait vouloir fuser entre chaque mot, des cheveux courts et châtains, les anneaux à ses oreilles avaient l'air de s'amuser comme des fous, eux aussi.
- Eh bien, dit Jocelyn. En quelque sorte, oui. Mais ce n'est pas la meilleure porte pour y entrer.
- Pas la meilleure ? Vous donnez des notes aux portes?
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Vidéo de Malika Ferdjoukh
Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donne rendez-vous chaque dimanche à 13h30 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • Vivre vite - Prix Goncourt 2022 de Brigitte Giraud aux éditions Flammarion https://www.lagriffenoire.com/vivre-vite-1.html • le mage du Kremlin de Giuliano Da Empoli aux éditions Gallimard https://www.lagriffenoire.com/le-mage-du-kremlin.html • Les Vertueux de Yasmina Khadra aux éditions Mialet Barrault https://www.lagriffenoire.com/les-vertueux.html • La passion Lippi de Sophie Chauveau aux éditions Folio https://www.lagriffenoire.com/la-passion-lippi.html • le rêve Botticelli de Sophie Chauveau aux éditions Folio https://www.lagriffenoire.com/le-reve-botticelli.html • La Fièvre Masaccio de Sophie Chauveau aux éditions Télémaque https://www.lagriffenoire.com/la-fievre-masaccio.html • le Saint Suaire de Turin : Témoin de la Passion de Jésus-Christ de Jean-Christian Petitfils aux éditions Tallandier https://www.lagriffenoire.com/le-saint-suaire-de-turin-temoin-de-la-passion-de-jesus-christ.html • Griffes de Malika Ferdjoukh et François Roca aux éditions L'Ecole des Loisirs https://www.lagriffenoire.com/griffes.html • le lâche de Jared McGinnis et Marc Amfreville aux éditions Métailié https://www.lagriffenoire.com/le-lache.html • L'homme de Naples de Macha Méril et Luciano D'Alessandro aux éditions L'Archipel https://www.lagriffenoire.com/l-homme-de-naples.html • Jean-Jacques Debout : La couleur des fantômes de Jean-Jacques Debout aux éditions Talent https://www.lagriffenoire.com/jean-jacques-debout-la-couleur-des-fantomes.html • Un chant de Noël - Une histoire de fantômes de Munuera Jose Luis aux éditions Dargaud https://www.lagriffenoire.com/un-chant-de-noel-une-histoire-de-fantomes.html • Ce que murmure le vent de Amy Harmon aux éditions Livre de Poche https://www.lagriffenoire.com/ce-que-murmure-le-vent-1.html • Un tourbillon de sable et de cendre de
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