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EAN : 9782081243903
401 pages
Flammarion (07/09/2011)
4.04/5   263 notes
Résumé :

Willa Ayre s'est classée dans la catégorie des filles que les garçons ne voient jamais, des insignifiantes, des petits chats caustiques mais frileux.
Iago, lui, attire tous les regards. Il est le garçon dont rêvent toutes les filles du lycée. Dès la rentrée, Iago pose les yeux sur Willa et la choisit. Mais...
Mais à une fête, Willa rencontre le bizarre, le ténébreux Edern... Dès lors, sa vie prend une tournure étrange.
De la grande... >Voir plus
Que lire après Chaque soir à 11 heuresVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (78) Voir plus Ajouter une critique
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Malika Ferdjoukh est une auteure surprenante. Vous croyez avoir affaire à un roman de chick-lit, étiqueté "Amour" sous une couverture rose, l'histoire de la relation naissante d'une ado ? Oui, mais pas que. Vous pensez que ça tourne au roman policier, cette affaire ? Vous avez raison, mais pas uniquement. Mélange des genres, jeu avec le lecteur, fusion et confusion, Malika nous démontre une nouvelle fois qu'il est inutile de chercher à cataloguer, à enfermer les livres dans des cases. Donc oui, ce roman est à la fois une histoire sentimentale, policière, psychologique, dramatique, humoristique, et sûrement encore plein d'autres qualificatifs qui composent un joli plat coloré, aux saveurs variées.
Mention spéciale au personnage de Marnie que j'ai adoré, la petite soeur d'Edern, avec qui Willa joue de la musique, et qui a inventé un langage personnel qui sensdessusdessous les phrases, qui joiedevivre son quotidien, qui allège la tension présente à d'autres moments de l'intrigue et qui m'a donné le sourire !
Lien : http://chezradicale.canalblo..
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"Jusqu'à un certain jour de mes onze ans, tout le monde m'appelait Wilhelmina. Pas facile à écrire, pas facile à prononcer, pas facile à porter. Seule une fille mentalement robuste peut espérer se tirer indemne d'un tel prénom. Ce n'est pas mon cas. Robuste, je ne le suis pas" C'est par ces quelques lignes que débute Chaque soir à 11 heures, de Malika Ferdkjoukh.

Wilhelmina, c'est maintenant Willa, seize ans, elle vit à Paris, est en première S dans un lycée privé chic dans lequel elle cotoie Fran et Iago, garçon dont toutes les filles rêvent, Iago qui l'a choisie dès la rentrée. Au cours de la soirée d'anniversaire de Fran, Willa fait la connaissance d'Edern.... Que se passe-t-il chaque soir à onze heures dans la maison d'Edern et de sa famille, une maison délabrée cachée dans un jardin de Montmartre ?

Si vous pensez avoir mis votre marque-page dans une bleuette insipide, bien comme il faut, vous êtes loin du compte : ce n'est qu'un trompe l'oeil. La vie d'une lycéenne plutôt ordinaire est sur le point de basculer - et sa vie est même en danger.

J'ai beaucoup aimé Chaque soir à onze heures et son atmosphère inquiétante. Malika Ferdjoujkh s'emploie comme personne à brouiller les cartes et à nous conduire là où elle le souhaite, dans un style impeccable. Les dialogues à l'humour caustique - juste ce qu'il faut - m'ont bien fait rire. Et Willa nous a concocté une superbe bande son, lorsqu'elle reprend au saxophone les classiques de Charly Parker.

Un roman jeunesse qui fait la part belle à l'émotion, à tous les amours, naissants ou vieillissants, à l'art...Un roman dans lequel on ne sait plus très bien qui est l'enfant et qui est le parent, un roman qui dessine à petits traits la frontière entre le monde des ados et celui des adultes.
Et je ne pense pas me tromper en écrivant que Malika Ferdjoukh a beaucoup aimé Jane Eyre, qui a inspiré quelques images fortes, et aussi le nom de famille de Willa.

Un très beau moment de lecture.





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Willa Ayre est une lycéenne on ne peut plus ordinaire : enfant de parents séparés, elle fait plutôt partie de celles qui passent inaperçues. Elle est néanmoins en couple avec Iago, le frère aîné de Fran, sa meilleure amie. Mais, lorsqu'elle va à la somptueuse fête d'anniversaire de Fran, elle découvre un Iago très distant qui, dans les jours suivants, va devenir de plus en plus distant, comme s'il avait quelque chose – ou quelqu'un – à cacher. Par ailleurs, elle fait la rencontre d'Edern lors de cette fête, un garçon bien mystérieux dont les deux parents sont décédés dans d'étranges circonstances. Elle va se rapprocher peu à peu de lui, se mettant ainsi en danger. Willa fera la connaissance de ses proches, de son univers, et entrapercevra les secrets qui jalonnent sa vie. Tout cela sans oublier ses cours, ses parents, ses amis, et cette mystérieuse personne qui semble en vouloir à sa vie…

Les personnages sont tous plus intéressants les uns que les autres. Il y a tout d'abord Willa, qui respire la joie de vivre et a bien envie de percer les secrets qui l'entourent. Prête à prendre des risques, son coeur ne tarde pas à battre pour Edern, qui n'est pourtant ni spécialement beau, ni particulièrement moche. Ses parents sont séparés, et on voit qu'elle est très attachée à l'un et à l'autre, qu'elle tente de les préserver et espère bien qu'ils vont finir par se remettre ensemble. Elles sont très complices elle et sa meilleure amie, bien que très différentes l'une de l'autre.
Edern Fils-Alberne a un lourd secret familial qu'il tente de protéger, notamment de la curiosité de sa nouvelle petite amie. Mais il va aussi tenter de la protéger de tout ceci. Il vit avec les anciens employés de son père et avec Marni, sa jeune soeur aveugle qui est une pianiste hors-pair. C'est d'ailleurs parce qu'Edern demande à Willa, qui est saxophoniste, d'accompagner musicalement sa soeur que tous deux vont se rapprocher. Marni a un humour excellent et c'est avec plaisir que l'on découvre ses jeux de mots, qui rappellent les mots-valises chers à Boris Vian.
De plus, il y a cette étrange demeure qui appartient à la famille Fils-Alberne, où toutes les pièces sont plus étranges les unes que les autres. Et pourquoi cette étrange horloge s'arrête-t-elle de fonctionner quotidiennement à 11 heures du soir ?

Lorsque j'ai commencé ce livre, je ne pensais pas être embarquée dans une telle aventure. Il me semblait qu'il s'agirait avant tout d'une belle histoire d'amour, avec quelques secrets à droite et à gauche. Mais cet ouvrage, c'est bien plus que ça. C'est du mystère, c'est un ouvrage policier, c'est une romance, c'est une belle histoire d'amitié, c'est un peu de fantastique… C'est un savant mélange qui va vous embarquer aux confins d'un récit incroyable, qui vous happera davantage page après page. Chapitre après chapitre, j'ai été de plus en plus attirée par ce livre, qui m'a de plus en plus passionnée. Et la fin… Même s'il était tard hier soir, impossible de le lâcher avant de l'avoir fini. En ouvrant ce livre, je n'aurais jamais pu imaginer qu'une telle histoire se déroulerait sous mes yeux, que je serais autant embarquée, que ce récit me ferait autant vibrer et ressentir un si grand nombre de sensations. le tout est agrémenté d'une écriture très agréable, très fluide et très addictive, puisque l'on a du mal à reposer ce livre une fois que l'on l'a en mains. Un grand merci à Malika Ferdjoukh qui m'a fait passer un si agréable moment et qui a eu la gentillesse de dédicacer mon exemplaire. C'est donc sans surprise que je vous annonce que Chaque Soir à 11 Heures fut un coup de coeur que je vous invite à vous procurer de toute urgence !

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Quelle drôle de surprise ! Non, pas drôle ... surprenante, déphasée et douce surprise ! Il y a des livres qui nous mènent sur une piste par leurs couvertures, résumés, couleurs. Dans ce cas-ci, trois mots clés prenaient le dessus : "triangle amoureux - adolescence - secret". Il est vrai que la passionnée des chats que je suis ( une de plus vous allez me dire) a été interpellée par ce chat qui mène la danse sur la photo de couverture. Ensuite, le résumé a fait le reste.

Posée et prête à entrer dans un nouveau monde, mon sourcil s'est arqué à cette "drôle" de surprise qui n'était autre que le langage utilisé. Nom d'un schtroumpf ! L'écume des jours (attention, dans le même genre mais pas aussi poétique et métaphorique) étaient au rendez-vous. Un vocabulaire nouveau et inventé. Un charme fou dans la manipulation des mots qui me donnait le sourire à chaque fois que mon vocabulaire d'un autre monde s'enrichissait.

Et puis, voilà pas que la surprise très surprenante d'être face à des soucis d'ordre sociaux arrive. Notre Willa qui s'embarque dans un monde d'argent où elle est merveilleusement bien intégrée. Où la classe sociale prend une grande place mais qui laisse assez d'air aux protagonistes pour s'y sentir bien - à condition de se connaître et d'avoir confiance en soi-même. Un monde peint sans mettre en avant les défauts que la différence des classes sociales peut créer.

Ensuite, une surprise déphasée. J'ai quitté un monde, qualifié de normale (mais qu'est-ce que la normalité hein ?), pour entrer dans une maison complètement déphasée. Des parents "morts", des enfants tristes et terriblement "à part" mais magnifiquement beaux, des objets vivants, de la musique qui ravive les coeurs, de l'horreur qui fait trembler les murs, des secrets cachés derrières les portes, des pas qui font frissonner ... Ouvrir la porte de cette demeure située dans le fin fond d'une ruelle lugubre a été une véritable joyeuseté pour ma part. J'ai adoré cette maison, les gens qui s'y trouvaient et ce que Willa devenait avec eux. Elle a tellement grandit au fil des pages que mon coeur de maman avait envie de lui caresser le crâne. (haha!).

Ensuite, pour terminer, vint la douce surprise. Celle des parents qui se ressemblent tellement mais qui se sont séparés pour mieux se retrouver. Halalalala, cette satanée crise de la trentaine qui dure 10 ans! Elle est sadique et parfois ridicule. Mais pour Willa, elle a été nécessaire ( c'est un ressenti ... pas une certitude).

Bref, j'ai passé un super moment avec ce livre. L'écriture est belle, intelligente et pleine de surprise. Petit clin d'oeil pour le prof de musique, il m'aura bien fait rire.
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Dès l'âge de onze ans, Wilhelmina Ayre s'est rebaptisée Willa. Petite souris terne et effacée, elle souhaite trouver dans le diminutif de son prénom plus d'envergure et ainsi être la digne fille de ses parents ; une mère responsable d'un groupe de miss de beauté et un père artiste peintre, grand séducteur.
A dix-sept ans, elle est plus à l'aise avec sa personne. Il faut dire aussi qu"elle a pour meilleure amie Fran Hilbert, une riche héritière, affranchie, très populaire, et pour petit copain, Iago, le frère de Fran. Iago est LE garçon le plus sexy et le plus courtisé du lycée. L'attraction entre eux l'étonne toujours, mais c'est elle qu'il a choisie.

Pour l'anniversaire de Fran, une fête spectaculaire est organisée à l'étage du palace, propriété des Hilbert. Willa voudrait que cette soirée soit spéciale pour elle et Iago, mais ce dernier brille par son absence. Pour ne pas voir Fran se ridiculiser auprès de son béguin du moment… Mr. Sieler, le prof de physique… Willa s'exile sur la terrasse et fait la connaissance d'Edern, un étudiant au comportement bizarre et inquiétant. En marge du groupe, il a l'allure désinvolte, décalée, et le bavardage mordant. Qui est-il ?

"- Qui est ce garçon, là-bas ? Au bar ? Celui en costard de croque-mort ?
Daddy-long-legs-de-la-terrasse venait de ressurgir à l'instant. A la lumière normale, il paraissait plus maigre, plus long, plus noir, encore plus bizarre. Il était plus âgé que la moyenne des lycéens qui peuplaient cette fête. Je lui donnais vingt ans.
- Connais pas. Mais il est strange.
- Strange de chez Zarb, même dit Solal. Un geek ?
- Freestyle je dirais, l'évalua Fatima.
- Attends… sa tête me dit quelque chose. Il jouait pas un vampire dans Twilight ?
- Tu craques pour lui, Willa ? J'ignorais que tu kiffais le genre antéchrist.
- Espèce de zboobs ! dis-je en riant.
En vrai, ils m'agaçaient."

C'est à la suite de son concerto au saxo en l'honneur de Fran, qu'Edern la convie chez lui. La musique le renvoie à une époque heureuse de sa vie, un temps où sa soeur Marni jouait du piano avec sa mère clarinettiste, aujourd'hui décédée.
Pour faire plaisir à cette petite fille, le lendemain, Willa se rend dans la demeure des Fils-Alberne et rencontre une famille terriblement marquée par deux tragédies. Une maison sombre comme un caveau, aux silences sinistres, où chaque soir à 11 heures, la pendule s'arrête.

Quels sont les mystères qui planent sur la maison ? et qui veut du mal à Willa ? Car depuis sa rencontre avec Edern, Willa est menacée…

J'ai apprécié cette lecture, le style comme l'intrigue, et je compte lire d'autres écrits de Malika Ferdjoukh.
Le suspens est bien mené, l'angoisse est distillée à donner des frissons dans la deuxième partie, l'humour comme l'émotion sont retranscrits avec intelligence et les personnages ont des rôles à facettes intéressants. L'auteur a mis tous les atouts pour rendre l'histoire captivante ; amours, amitiés et mystères.
Intrigue riche en personnages et en rebondissements, il est difficile de lâcher le livre !
Je recommande donc ce roman qui n'est pas seulement réservé aux adolescents !
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Elle a attendu un moment avant de se décider à parler.
- C’est… cette maison, articula-t-elle dans un souffle quasi inaudible. La nuit, elle… elle me fait peur.
Ses doigts effleurèrent le clavier d’Alice, comme pour étouffer l’écho de ce qu’elle venait de dire.
- Peur ? Pourquoi ?
In petto j’étais d’accord. Cette baraque aurait fichu la trouille à n’importe qui de la vraie vie. Mais était-on dans la vraie vie, ici ? Marni avança plus près, en tenant son tabouret.
- Le soir, il y a ces bruits… Chaque soir. A la même heure. Vers onze heures.
- Des bruits ? ai-je répété sottement.
- Ça me réveille. Enfin, j’ai l’impression que ça me réveille. Je sais qu’il est 11 heures parce que la grande pendule du palier sonne onze coups.
- Celle dont les aiguilles ont du mal à dépasser 11 heures ?
- Roch les remet à l’heure… Mais une fois qu’elle a sonné les onze coups, elle ne sonne plus. Et après… j’entends les bruits.
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« - Peur ? Pourquoi ?

In petto, j’étais d’accord. Cette baraque aurait fichu la trouille à n’importe qui de la vraie vie. Mais ici était-on dans la vraie vie, ici ? Marnie s’avança plus près, en tenant son tabouret ;

- Le soir, il y a ces bruits… Chaque soir. A la même heure. Vers 11 heures.

- Des bruits ? ai-je répété sottement.

- Ca me réveille. Enfin, j’ai l’impression que ça me réveille. Je sais qu’il est 11h parce que la grande pendule du palier sonne 11 coups.

- Celle dont les aiguilles ont du mal à dépasser 11 h ?

- Roch les remet à l’heure… Mais une fois qu’elle a sonné les 11 coups, elle ne sonne plus. Et après… j’entends les bruits.

- Quels bruits ?

- Je ne sais pas. Loin. Des pas. Une porte. Un tiroir qui claque. Parfois de la musique. Ou une chasse d’eau. Et après… Oh pas très longtemps après, il y a…

Elle respirait très vite, comme si elle venait de courir un sprint, ses yeux noirs emplis de terreur.

- Il y a… ? l’ai-je encouragée.

- Ne te moque pas surtout.

- Bien sur que non, je t’écoute.

- Je sens…quelqu’un dans ma chambre. A côté de moi, près de mon lit. Je ne l’entends jamais entrer mais… je l’entends qui respire. Je suis paralysée de peur. Et… »
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Le chauffage chauffait. Trop. Papa n'arrive jamais à le régler. La voiture réclamait à boire. Et moi je me demandais pourquoi je n'avais pas pris le train. En certaines circonstances, ce n'est pas pire que la bagnole. Surtout si la bagnole en question est encombrée d'une pouffe qui sent le gingembre ou le curcuma. Et d'un père qui conduit comme l'as de pique et se la joue as de coeur.
La compagnie de Deena cependant se révéla moins désagréable que prévue. Bien sûr il n'était pas question de lui demander de vous expliquer l'effet de Foehn, ni même d'aligner une critique du dernier Guillaume Musso... Mais son humeur était plutôt joyeuse et, comme avec la soufflerie à 30 degrés Celsius son eye-liner Cléopâtre ramollissait et qu'elle ne le savait pas, on pouvait même la trouver touchante.
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Je ne sais pas vous, mais moi, si j'ai lu et aimé le livre que lit un passant, eh bien ce passant devient un peu mon ami. Tant pis pour lui s'il l'ignore et l'ignorera toute sa vie.
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- Fran nous a invitées, Loulou, les soeurs Vitex et moi.
- La chance, d'avoir des potes friquées !
- Maman, c'est toi qui....
... qui t'ai mise dans cette boîte privée, je sais.
Catherine Ayre a soupiré et j'ai deviné quel regard exactement elle avait en cette seconde. Celui qu'elle a lorsqu'elle entre dans ma chambre et qu'elle y trouve tout parfaitement en ordre. La sienne est un tel bazar de bouquins en piles, de meubles et d'objets inutiles, qu'elle culpabilise. Parfois je m'efforce de ne pas trop ranger mes affaires. Afin de ne pas l'embarrasser. Mais j'ai du mal à le faire sur la longueur.
Le désordre me dérange.
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Vidéo de Malika Ferdjoukh
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