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3,86

sur 712 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
« Aux jeunes Sibérien.nes de Norilsk. »
Agressé par l'usage de l'écriture inclusive en exergue, interloqué par les anglicismes inutiles, intrigué par un style pesant et finalement dégouté par les trois pages de pornographie homosexuelle masculine explicite, je ferme le livre à la page 81.
Oublions cette abjection et espérons que l'auteur saura retrouver sa plume pour nous offrir un roman digne de Zulu ou de Mapuche.
Lien : https://www.quidhodieagisti...
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Mauvais, pas grand chose à dire d'autre. À la page 157 l'intrigue n'a toujours pas démarrée et on s'est frappé l'écriture inclusive et une scène pornographique homosexuelle dont je me serait bien passé. Caryl Ferey semble vouloir partager avec ses lecteur sa bien-pensante, en ce qui me concerne j'aurais souhaité retrouver les ambiances de Zulu et de Mapuche. Dans Lëd il fait froid dehors, il y a un pseudo ballet sentimental dont on se fiche, la légiste préfère se saouler la gueule en boite plutôt que de bosser ses dossiers, bref, circulez il n'y a pas grand choses à voir.
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Les romans de Caryl Ferey sont avant tout une aventure, une voyage. L'auteur vous emporte dans le monde qu'il visite, qu'il vit.


Après une période dans l'hémisphère sud du monde, l'auteur nous porte aux antipodes en allant dans la cité fermée et glacée de Norilsk. Dépaysement garanti tant pour l'atmosphère que pour le peuple condamné à une vie polluée dans un monde corrompu.


Malheureusement pour le lecteur amateur de romans policiers ou noirs, la description de cette région s'éternise et l'aventure policière reste figée telle une congère au bord de la route.
Lien : https://quoilire.wordpress.c..
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Ce livre m'a déçu. Je l'ai trouvé long et ennuyeux. Il est classé dans les polars mais il est en fait proche d'un documentaire sur la vie en Sibérie selon l'auteur.
Le climat, la pollution, la corruption, semblent plus importants que la résolution de l'enquête.
Le départ est très long. L'auteur dépeint une vision de la Sibérie actuelle avec d'un côté les gentils, trop nombreux : les jeunes intellos et écolos, les artistes et ouvriers courageux, les homosexuels.... et de l'autre les méchants : Poutine, son administration, les oligarques et industriels, les nationalistes russes.....
La description des trop nombreux personnages gentils et de la situation économique, les critiques du système russe, font que le roman met très longtemps à s'animer.
Je n'ai pas réussi à m'intéresser aux personnages ni à la victime initiale
On s'éloigne alors de ce que je recherche dans un Polar. J'ai sauté des pages. Je n'avais pas acheté ce livre pour un reportage politisé sur la Russie actuelle, vue par le Monde ou France info.
Il n'y a pas de vrai suspense. Cela manque d'émotion. le déroulement de l'intrigue est lent et la fin, rapide, est un peu convenue.
Quand j'ai refermé le livre, je me suis dit qu'il aurait pu faire 100 pages de moins.
Il est très loin de ZULU, un excellent livre du même auteur.
Lien : https://lucien.berre@orange.fr
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J'ai trouvé l'ensemble caricatural et poussif, avec une intrigue diluée à l'extrême. Trop bas de gamme à mon goût, dans la lignée de l'Étoile du nord. Merci à Agnes72 dont le commentaire m'a apporté des informations complémentaires très pertinentes.
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Plongé au coeur d'un univers plus que d'une intrigue. Un suspens tenu par des longueurs à n'en plus finir, souvent ennuyeuses. 2/3 du livre est consacré à la vie des personnages, le reste peine à maintenir le lecteur en haleine dans ce roman qui est annoncé "glaçant". Rien de frissonnant finalement si ce n'est les températures négatives des lieux.
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Aller vite fait dans un pays dont on ne parle pas la langue, imaginer qu'on a tout compris, se dire qu'on est un génie, qu'on peut en faire un polar, et oser l'empilement des clichés (l'âme russe, l'alcool, etc...)... Navrant pour qui aime la littérature, car l'écriture est indigente. Et quant à l'intelligence, la sensibilité, on ira la chercher ailleurs... Un livre très dispensable...
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Après avoir lu il y a des années ses romans sud africains et néo zelandais, j'étais curieuse de découvrir l'exploration sibérienne de Caryl Férey . J'abandonne sans regret au bout d'une centaine de pages.
Pourtant j'étais bonne cliente pour l'opération fascination qui émane du plan très descriptif du roman, de cette zone de non droit paumée dans la glace du bout du monde civilisé. Mais finalement l'intrigue "policière" semble être plutôt un prétexte pour décrire ce contexte ultra violent.

Est ce parce que j'ai vieilli et mon seuil de tolérance à la violence s'abaisse avec l'âge... Je m'agace des stéréotypes et j'ai du mal à supporter cette violence et surtout la complaisance de l'auteur à la décrire.

De la même façon, quand je lis un roman policier je ne m'attends pas à trouver de l'érotisme ou plutôt du porno, qui arrive fort à propos dans le métro en fin d'après-midi. Bonne bourre, disait l'autre !
Alors après overdose en matière d'os qui craquent sous les coups et de pénis qui suintent je saute trop de pages pour ne pas lâcher l'affaire. Mais je ne m'avoue pas encore vaincue et je jetterai un oeil sur l'autre livre sur le sujet publié par Caryl Férey, Norilsk, plutôt sous forme de carnet de voyage relatant son bref séjour sibérien.

Je m'interroge quand même sur cette espèce de course à l'échalote littéraire dans la sensation forte (j'ai ressenti un peu la même chose à propos de 1794). C'est finalement le caractère excessif et irratrapable de Norilsk qui fascine l'auteur et effectivement il y a là un sujet universel et profond. Pour cette ville comme pour les personnages, tout est déjà brisé et mort d'avance.
Mais on peut exprimer l'immensité du désespoir, du mal, le gâchis et l'absurdité de l'existence sans se vautrer dans le vulgaire...
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115 pages et il ne se passe toujours rien.
J.abandonne, trop de descriptions, trop de personnages, trop de tout, lecture loin de la fluidité et l intrigue qui peine à se mettre en place. Pourtant j'avais beaucoup aimé les précédents et surtout l excellent Mapuche
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