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4,06

sur 679 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Arrêt à la page 86 sur 533. Les romans de Caryl Férey sont intéressants dans le fait d'en apprendre sur le pays où se passe l'intrigue mais dérangeant par leur cruauté. Bienvenue en Colombie où, dès les premières pages, sur une place de Bogota, un cadavre de femme bras et jambes découpées enfoncés au milieu du corps. Des têtes décapitées, des viols, la guérilla. de nombreux personnages. Sexe sur site de rencontre entre le grand chef de la police et une journaliste. Alternance de dialogues crus et l'histoire du pays. Chapitre en italique désagréable à lire. La critique de Iris29 me convainc de passer à autre chose. Trop noir, trop sanglant, trop violent, trop réel. Pas la bonne période pour lire du sombre...
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C'est la 1ère fois que j'abandonne un polar de cet auteur...
( Adoré Mapuche, beaucoup apprécié Zulu, Condor et aimé ,Plus jamais seul)
Mais après 200 pages, noir c'est noir...TROP de violences, de Matchos, de stéréotypes.
Je ne suis pas parvenue à aimer un seul des personages .
je sais que Caryl Ferey n'écrit jamais des histoires tendres , la violence y est souvent présentes mais les personnages et l'histoire ( toujours très documentée) font qu'habituellement j'adhère mais pas cette fois.
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Livre pas inintéressant, mais trop long. Bien écrit mais cela ne suffit pas.
Si l'auteur avait supprimé toutes les descriptions de choses horrifiantes et à vomir, au sens propre du terme, il aurait gagné et nous avec lui au moins cent pages morbides.
Ayant travaillé trois ans là-bas, avant Uribe, je n'ai pas retrouvé la Colombie que j'ai connue et appréciée de la Guajira et Santa Marta en passant par Bogota, Medellin ou Cali. Les Colombiens ne sont pas tous, et de très loin, des bandits sanguinaires.


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Si certains livres se lisent d'une traite, ce n'est pas le cas ici , bien qu'on le conseillerait pour assurer un suivi plus facile de cette histoire intéressante et bien construite . C'est, pour ma part, le deuxième ( j'en essaierai cependant un autre ) alors que je pensais en le lisant que celà serait le second ! tellement j'ai trouvé cette écriture laborieuse. Après l' Argentine dans Mapuche on découvre ici que les gênes des habitants de l'Amérique centrale ( en l'occurence Colombie )sont quasi identiques a
à celles des habitants de l'Amérique du Sud : violence, torture au delà de l'imaginable, morts à chaque page ou presque. Les descriptifs, à la limite du "gore" , sont intenables et le style , trop terre à terre à mon gré, ne fait pas oublier ce coté obscur de la nature humaine. Pour néanmoins saluer l'écriture de ces 600 pages, la découverte , au delà du trop fameux Pablo Escobar,de la gangrène touchant toutes les sphères de la société colombienne intéressera les amateurs de cet auteur.
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