Me voilà bien embêtée : j'aurais aimé écrire cette petite critique en blanc... mais je n'ai pas trouvé comment la rendre lisible...
Tant pis, revenons au noir, même si je me sens un peu coupable de salir cette si belle
neige. Cette
neige que j'ai entre les mains, que j'ai lue et relue, qui est si belle, si pure, si blanche.
Ce n'est pas un roman que j'ai sous les yeux, ce n'est même pas de la poésie, c'est au-delà. Existe-t-il un mot pour décrire cet ovni littéraire ? Pour transcrire ce que j'ai ressenti au fil des pages ? Un seul, certainement pas.
Voici donc, un peu en désordre, ce qui me vient à l'esprit : beau, pur, vrai, sensible, léger, magique, subtil, touchant, fin, poétique, merveilleux, aérien, céleste, délicat, limpide, élégant, doux, émouvant et finalement insaisissable.
Un texte très original, un petit bijou hors du temps, suspendu sans fil, un superbe hommage à l'élégance et au raffinement de la civilisation japonaise.