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3,4

sur 1408 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Même écrivaine que l'amie prodigieuse, j'ai retenté, mais définitivement, ses livres ne correspondent à mon style de lecture ; je suis tout de même allée jusqu'à 50% du livre. L'histoire se déroule autour d'un bracelet, un bijoux de famille, et d'une jeune fille, Giovanna, un peu bizarre comme dans l'amie prodigieuse, toujours avec des histoires d'amitié bizarres également, une mère qui apprend que son mari la trompe depuis toujours et qu'elle aurait pu s'en rendre compte grâce à ce fameux bracelet. C'est un récit qui dévoile une vision de l'amour et du sexe à travers Giovanna qui est malsaine (c'est le but) et je n'accroche pas à toutes ces bizarreries, ni aux personnages en eux même et l'image que l'on peut avoir de la sexualité. Si vous aimez les romans un peu « dure », vous apprécierez sûrement davantage que moi.
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pas du tout aimé, c'est toujours le même cliché, trop de longueurs.... Je ne sais pas si je relirai un livre de cet auteur, à part le premier de la saga "l'amie prodigieuse" que j'avais dévoré....Les autres m'ont ennuyé, dommage.....
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Mon avis : très long pour moi, je n'ai pas trop aimé ce roman malheureusement. Je ne comprends absolument pas l'intérêt que les gens ont porté pour ce livre.
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Je n'ai pas réussi à prendre le train de cette adolescente et de sa vision du monde. Déception
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Comme ce livre avance lentement ! A plusieurs reprises je me suis demandé comment il était possible d'utiliser autant de mots pour dire si peu de choses.


Le personnage principal, Giovanna, une jeune fille dont nous assistons à l'évolution de ses 13 à 16 ans, raconte son histoire de manière très monotone. Sa voix est terne et neutre. En plus, toutes ses habitudes et sa façon de penser rappellent la classe aisée.
Elle écrit ce livre alors qu'elle est déjà âgée (quel âge ?), décortiquant le moindre détail (quel ennui) de ses pensées lorsqu'elle avait treize - seize ans, mais avec les connaissances psychologiques d'une adulte. le mélange de la jeune ado raconté par une adulte a rendu le récit incohérent, pour moi.


Mais surtout, pourquoi toute cette agitation autour de le fait / la possibilité d'être une personne moche ? Laide ? Dans le livre, il est à peu près admis que si on est physiquement laid, on l'est aussi psychologiquement (bien qu'il y ait un peu de conflit à ce sujet, mais pas assez).
Je ne pense pas qu'il y ait de personnes laides. La seule chose qui existe, ce sont nos normes concernant l'apparence d'une personne que nous appelons belle (ou laide). Et c'est à ces normes que ces personnes doivent se conformer. Je peux éventuellement admettre qu'il existe des personnes qui ne savent pas bien mettre en valeur leur apparence et qui choisissent des vêtements ou une coiffure différents de ceux que j'aurais choisis - mais aurais-je fait le bon choix, ou ont-elles fait le bon choix ? Y a-t-il un bon choix ? Notre façon de choisir dépend de la culture dans laquelle on vit. Est-il possible de choisir sans tenir compte d'aucun des critères qui nous sont inculqués, ou que nous nous imposons à nous-mêmes ?
La beauté existe, et c'est quelque chose de formidable et d'entièrement différent. Elle ne connait pas les valeurs.


Les autres thèmes, comme les riches et les pauvres, les gens qui ont "de bonnes manières" et les gens "vulgaires", tout cela était très stéréotypé.


L'histoire se déroule à Naples, mais la seule chose que nous voyons de l'Italie et de la ville sont les noms des rues. Cependant, bien que ce ne soit pas le but du livre, nous pouvons être légèrement conscients, à travers de ce qui est raconté, de la culture (plus conservatrice) de l'Italie, même si ce ne sont pas de beaux aspects de cette culture. J'ai considéré ça comme un plus.


Ce livre a été difficile à lire et je l'ai donc terminé très (très) rapidement à partir d'un certain point....
C'était aussi une expérience étrange, car Elena Ferrante est une auteutrice bien connue, dont on dit qu'elle écrit bien. Mais c'est pour un autre public que moi.

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Il m'est rarement arrivé d'ouvrir un livre qui représentait à ce point si peu d'intérêt pour moi. Elena Ferrante écrit bien, son style est celui d'une écrivaine accomplie, elle a du souffle, beaucoup de souffle même, et d'une certaine manière de l'imagination car il en faut beaucoup pour parvenir à divaguer ainsi durant plus de 400 pages avec si peu
d'assises solides, si peu de profondeur et sans qu'aucune de ses réflexions ne contribue à faire avancer une intrigue d'ailleurs quasi inexistante. L'autrice est sans cesse à contre-pied de son propos nous affligeant, pages après pages, de tout ce qui n'est pas dit et qui aurait pu être dit, de ce qui n'a pas été fait mais qui aurait dû être fait, de ce que l'autre a pensé mais qui n'est pas exactement ce qui aurait dû être pensé car elle n'a pas dit ce qu'elle pensait car elle pensait à ce moment à Roberto se demandant s'il la trouvait belle, même s'il l'avait dit (mais le pensait-il vraiment), et s'il le pensait l'était-elle pour autant, car elle ne le pensait pas; elle pensait plutôt à Vittoria la pas belle elle non plus selon ses parents, mais l'était-elle à ses yeux, et si elle l'était l'était-elle vraiment elle aussi ? Et si seulement ces quiproquos aboutissaient à une réflexion palpable, concrète, si quelque-chose quelque-part parvenait enfin à s'incarner, à s'ouvrir hors de ces conques de gamines en perpétuel questionnement à savoir ‘'chu-tu belle, oui ou merde'', cercle vicieux, obsessif, étouffant, plat, banal, ennuyeux, pas nécessaire…

Et le bracelet, oui le bracelet, fascinant ce bracelet, intriguant, symbolique, mystérieux... Qui l'a donné, qui l'a reçu, comment ça se fait que c'est toi qui l'a ? Mais il n'est pas à moi. À qui alors ? Sans doute à Tartempionne. Mais comment ça se fait, c'est peut-être ton père ? Et ta soeur ? Véritable personnage aussi captivant que ce trio de jeunes filles.

J'aurais mille exemples, mille passages de ce vide colossal, de cet abysse de platitudes, de cet imbuvable parcours de gamines en quête d'identité, publié hélas (Ô rage, Ô désespoir !) chez Gallimard, mais je vous en fais grâce. Bref, cet ouvrage me tombait littéralement des mains.

Et pour arriver à quoi au juste ? Une histoire couchée à froid sur papier, un pataugeage dans l'adolescence sensé conduire ces fillettes vers une maturité que peu de femmes en ce monde parviendront à atteindre, c'est là l'objectif avoué de Ferrante mais qui malheureusement aurait viscéralement besoin d'une suite pour aboutir enfin à quelque-chose.

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Après avoir adoré la saga "l'amie prodigieuse", je me suis empressée de lire ce roman.
📚
Mon bilan est assez mitigé, même plutôt négatif.
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Points positifs :
- le talent de conteuse de Elena Ferrante
- sa plume
- ses portraits de femmes
- la ville de Naples avec tous ses contrastes (quartiers, habitants, langages...)
- les manipulations, trahisons, relations malsaines.
- l'histoire du bracelet
📚
Points négatifs :
- longueurs : l'impression de tourner en rond, de ne pas avancer...
- érotisme et sensualité très (trop) présents... C'est cru, âpre... Et je n'ai pas compris l'intérêt de certains passages en boucle.
- certaines situations et certains dialogues m'ont semblé improbables.
📚
Bref ce roman d'apprentissage m'a déçue...
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Elena Ferrante est le pseudonyme de Erri De Luca, le véritable auteur des romans.

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