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Critique de plumkreole973


Si le style de l'auteure à quelque peu perturbé mes habitudes de lecture, passé cet effet de surprise, je dois dire que ce style « Shakespearien » aux mots bien choisis, aux tournures exquises a su me captiver aux fils des pages …

L'auteure nous offre une romance historique aux intrigues prenantes, ou l'amour transcende aux travers des mots et des ressentis des deux personnages principaux.

C'est l'histoire d'amour de deux hommes que tout oppose, qui n'auraient jamais du se rencontrer, mais qui sans le savoir sont destiné l'un à l'autre.

Siegfried se cache derrière un masque d'apparence, il s'est créé une façade, cache qui il est et ce qu'il est, tout cela par amour, pour l'amour des siens… Mais en vain …

C'est justement par amour que Engel fera fit de ces subterfuges, qu'il verra qui est vraiment ce dernier et ce qu'il cache sous son masque. Engel jouera de son charme, de stratagèmes pour ouvrir les yeux et le coeur de Siegfried, et faire tomber ce masque afin de dévoiler celui qu'il est et lui permettre de gouter au bonheur qu'il mérite.

Pour ma part, ce style détonnant à tout bonnement intensifié l'intrigue de fond et magnifié cette somptueuse histoire d'amour.

Les intrigues et le suspens sont tellement bien entremêlés, le contexte et la mise en scène si bien choisis, font que l'auteure nous offre une fin à laquelle on ne s'attend pas, ce qui rend son histoire encore plus magique.

Je finirai avec ces trois citations :

« Il était impossible de tomber amoureux d'une voix, et pourtant… le chant de l'acteur était parvenu à frapper son âme, le transportant vers les rives d'un lac où l'amour transcendait les rêves »

« — Qui es-tu Engel ?

— Je suis cette peau qui est tienne à force de m'imprégner de toi. Et toi… Qui es-tu Siegfried ?

— Moi ? … Je suis ce coeur qui est tien et qui te garde en vie »

« Mais je n'ai jamais cessé d'y croire, à ce bonheur. À ce petit bout de chaleur que j'avais enfoui dans un coin de mon coeur rapiécé. Je me disais qu'en y croyant très fort, je parviendrais à en faire une réalité »
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