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Un coup éditorial , rien de plus.
C'est plein de bons sentiments, mais cela ne vaut pas tripette sur le plan littéraire. Aucun style.
Limite nunuche.
Ecrire, c'est mettre ses tripes sur la table, a dit Louis- Ferdinand.
Il n'y a ni table et encore moins de tripe.
J'en suis désolé pour l'auteur.
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Ce livre publié à l'origine en France a été beaucoup lu. Les nombreuses critiques en témoignent, lesquelles représentent un spectre assez vaste d'appréciations. En ce qui me concerne, j'ai beaucoup apprécié ce journal. Comme pour les autres cas plus ou moins célèbres de journaux intimes écrits pendant la guerre et en particulier par des enfants, je préfererai que ce genre n'existe pas... Mais puisqu'il est là, j'admire la fraîcheur, l'optimisme et même l'intelligence de cette petite fille. Je ne vois pas en quoi ces textes seraient "nunuche" comme il est dit dans une autre critique. A moins que cela ne tienne à la version francaise. La version allemande nous fait connaître une enfant certes, mais une enfant très sensible, qui réussit en quelques phrases à expliquer les causes du conflit soi-disant "ethnique" en Bosnie-Herzégowine. C'est d'autant plus remarquable que, ni elle, ni ses voisins, représentant toutes les ethnies et religions locales, ne se laissent convaincre par la propagande et continuent à s'entraider dans les pires conditions. Un grand livre, toujours d'actualité en 2017, dans un monde où les enfants sont encore trop souvent les victimes de la folie des hommes et alors que la situation politique de la Bosnie-Herzégowine n'est absolument pas réglée.
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1991. Sarajevo. La guerre commence. Et Zlata a 11 ans... Trop jeune pour vivre cette abomination qu'est la guerre. Une guerre de grands, qui fera des victimes même chez les petits. Des blessures, autant physiques que psychologiques. Zlata écrira son journal... Des moments de cette vie de gamine qui vit maintenant les horreurs que même des adultes ne devraient pas vivre. Mimmy, journal intime, témoin d'un événement histoire qui aura eu des conséquences désastreuses. Une lecture émouvante.
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Dans le livre du" journal de Zlata" qui fait à peu près deux-cent pages avec une couverture assez peu illustrée
ce livre raconte que c'est une petite fille de 11 ans qui se retrouve dans une guerre qui se déroulait à Sarajevo.
Elle et sa famille se retrouve à cause de la guerre à dormir dans la cave. Zlata est apeurée d'entendre les bruits des obus et des balles de fusils qui traversent la ville.
Je vous conseille de le lire car vous allez vous croire dans cette guerre et dans la peau de ce personnage vous allez être gâtés en émotion forte et douce suivant les passages du livre. Parfois vous allez ressentir de la peur pour Zlata puis ressentir de la joie. Ce livre est très mouvementé en suspens et en émotions.
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Dans le même esprit que "le journal d'Anne Frank", témoignage d'une petite fille de Sarajevo pendant la guerre des Balkans. Elle nous raconte son quotidien sous les bombes, ses colères, ses espoirs, ses désespoirs, ses peurs... Elle nous parle d'humanité et de solidarité, mais aussi de sa peine pour son enfance perdue. Intéressant et émouvant.
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Quotidien d'une enfant en plein coeur de la guerre de Sarajevo. Nous suivons son destin basculer de l'insouciance à l'horreur. Je l'ai lu à l'âge où elle l'a écrit et me souviens avoir pensé que j'avais de la chance de vivre dans un pays différent. J'ai été bouleversée par la dureté des choses qui lui arrivent. Journal intime de jeunesse intéressant.
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Sarajevo, avril 1992, la guerre va commencer et Zlata commencera son journal Mimmy auquel elle va confier sa vie heureuse jusqu'à ses onze ans, puis ses sentiments du début de la guerre jusqu'à son évacuation en décembre 1993.
On peut comparer son journal à celui d'Anne Frank.
Dans ce journal, Zlata va nous conter ses peines, ses amis qui quittent Sarajevo, son quotidien, ses peurs, ses espoirs. le fait de se retrouver dans leur cave plongé dans le noir, pendant que les obus tombent sur la ville. Elle souffrira du manque de nourriture. L'électricité va être coupée, plus de téléphone. L'eau, il faut aller la chercher plus loin et revenir avec les bidons pleins. Par moment, il y a une accalmie et dès le lendemain les tirs repartent de plus bel.
Cette guerre la fera grandir, mais lui volera sa jeunesse.
Un récit bouleversant qui nous témoignent des atrocités de la guerre vue par une enfant.
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Un livre court mais poignant, qui en fait un excellent premier journal de guerre. Il est lisible par des enfants en fin de primaire / début de collège.

Zlata Filipovic témoigne avec son regard d'enfant de la vie à Sarajevo pendant la guerre. A travers les pages de son journal, on voit monter l'angoisse du conflit qui se rapproche (Dubrovnik). Elle grandit vite, trop vite, avec les amis qui sont partis et l'inquiétude pour ceux qui sont toujours là mais dont on n'a pas de nouvelles : il est trop dangereux de traverser la ville.

La lecture du journal est moins terrible que celui d'Anne Frank. Tout d'abord, bien évidemment, parce qu'on sait comment finit l'histoire : ce journal a permis à Zlata et à sa famille de quitter Sarajevo. Mais aussi car, si le conflit a fait beaucoup de dégâts, la famille de Zlata, aisée au début de l'histoire, n'a pas tout perdu : leur appartement a été épargné par les destructions et ils n'ont pas eu à fuir ni à se cacher. Tout au long de l'histoire, Zlata continue de vivre une vie aussi normale que possible, avec un peu d'école quand elle est ouverte, des leçon de piano à la maison, des visites d'amis... Elle survit, ainsi que sa famille et ses amis, à l'exception d'une fillette qu'elle a connu dans son enfance mais dont elle ne semble plus très proche. de mémoire, le style d'écriture est également plus enfantin et paraît moins réfléchit, plus proche de ce qu'on pourrait écrire à cet age aujourd'hui..

La préface de 2005 par Zlata elle-même apporte un peu plus de recul sur le livre et le rend aussi plus poignant : on voit que les souffrances ne se sont pas arrêtées avec la fin de la guerre. Elle aborde aussi la difficulté d'être immigrée, de n'être pas vraiment de son pays d'accueil mais plus non plus de son pays d'origine.
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Le journal de Zlata, que dire ? C'est un livre émouvant ! Cette jeune fille de 11 ans (au début de la guerre) nous raconte avec des mots d'enfants mais dures ce qui ce passe dans son pays à Sarajevo. Elle garde tout même des bons moment de sa vie sans trop évoquer la guerre car elle ne la comprend pas vraiment comme tous les enfants de son âges.
Les points négatifs à mon avis et ce qui explique ma note de 3/5 sont :
- Je trouve qu'on ne rentre pas et n'explique pas assez le sujet de la guerre, j'ai dû faire des recherches pour comprendre ce qui se passait car je n'étais pas encore née à cette époque et qu'on ne le voit pas vraiment en cours d'histoire.
- Et deuxièmement je trouve que nous sommes spectateur contrairement au Journal d'Anne Franck où j'étais à la fois spectatrice mais aussi Anne ce qui rendait pour ma part le livre moins émouvant.

Enjoy your reading :)
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Récit poignant et bouleversant d'une fillette au coeur de la guerre à Sarajevo. le style "Journal intime" nous plonge vraiment au coeur de ce drame. Je me suis sentie aux côtés de Zlata, de sa famille lors des bombardements, des coupures d'électricité, de la peur, de la mort et du départ des gens qu'elle aimait. Un beau témoignage de l'horreur. Et toujours cette éternelle question : Pourquoi ?
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