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Critique de DLD
N'ayant pas lu le premier tome des mondes cachés, « l'arbre forêt », c'est sans idée préconçue que j'ai abordé ce deuxième tome. Parfois il arrive qu'après avoir apprécié un premier opus on n'est plus très objectif sur les ressentis des suivants, attendant la suite de l'histoire qui nous a passionnés.
Première page, le graphisme m'enchante, il y a foule de détails, je regarde à la loupe, j'ai déjà envie de décortiquer les dessins, connaître chaque petite recoin de chaque image, j'imagine le dessinateur, cela me plaît ce souci du détail, ça commence bien. Les couleurs sont très douces, on se laisse envelopper par cette histoire comme dans un duvet de plumes. L'histoire commence, présentation des personnages, deux adolescents tout à fait ordinaires mais qui vont nous entraîner dans un univers parallèle très vert avec une magnifique forêt et des animaux incroyables.
Si l'histoire reste classique, les dessins, encore une fois sont vraiment très biens faits. Nos deux héros sont sympathiques et les méchants ne font pas très peur. Mais qu'importe, Denis-Pierre Philippi et Sylvio Cambroni ne sont pas là pour nous effrayer mais pour nous faire rêver les yeux ouverts. On espère qu'ils vont continuer à nous éblouir le plus longtemps possible. Bravo.
Première page, le graphisme m'enchante, il y a foule de détails, je regarde à la loupe, j'ai déjà envie de décortiquer les dessins, connaître chaque petite recoin de chaque image, j'imagine le dessinateur, cela me plaît ce souci du détail, ça commence bien. Les couleurs sont très douces, on se laisse envelopper par cette histoire comme dans un duvet de plumes. L'histoire commence, présentation des personnages, deux adolescents tout à fait ordinaires mais qui vont nous entraîner dans un univers parallèle très vert avec une magnifique forêt et des animaux incroyables.
Si l'histoire reste classique, les dessins, encore une fois sont vraiment très biens faits. Nos deux héros sont sympathiques et les méchants ne font pas très peur. Mais qu'importe, Denis-Pierre Philippi et Sylvio Cambroni ne sont pas là pour nous effrayer mais pour nous faire rêver les yeux ouverts. On espère qu'ils vont continuer à nous éblouir le plus longtemps possible. Bravo.
