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Marina Boraso (Traducteur)
EAN : 9782226208422
480 pages
Albin Michel (05/05/2010)
3.02/5   45 notes
Résumé :
Enquêteur dans une agence de renseignement privée, Nick Heller n'a pas d'égal quand il s'agit d'exhumer les secrets les mieux cachés. Mais aujourd'hui, l'affaire est personnelle. Qui a agressé sa belle-soeur et son frère ? Pourquoi ce dernier a-t-il disparu sans laisser de trace ? Pour la première fois de sa vie, Nick, le cynique, le solitaire, se retrouve impliqué corps et âme. Pour protéger les siens, il va devoir affronter l'ennemi le plus redoutable qu'il ait ja... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Sans laisser de trace

Voilà un titre bien trouvé pour une critique bien pourrie… Pour être honnête j'avais fait une première critique de ce bouquin, avant les paillettes, les pages nues, et les orgies littéraires, presque 6 ans déjà et 7 ans que je traine des conneries sur ce site… et putain j'en ai appris des tas de trucs depuis tout ce temps, à fourrer mon nez dans toutes ces pages vierges qui collent sous mes mains de branleur.

Et j'ai jamais eu besoin de lécher mes doigts pour tourner les pages, bien trop excité pour les tremper très vite dans de nouvelles aventures, un petit chapitre et au lit : tu parles mon cul ouais…

avec l'âge t'es plus vigoureux avec la culture, tu te lèches moins aller dans la bêtise, tu tentes des nouveaux trucs, tu veux pouvoir t'élever l'asticot qui te trotte dans le cerveau plus haut que ta bite le premier samedi du mois comme quand t'avais 15 piges : les yeux rougis d'excitation, la larmichette au fond du calebars parce que t'as pas encore été pissé, bah ouais c'est comme ça que ça fonctionne, soit tu pisses soit c'est le génocide, t'as pas le pouvoir de faire les deux à la fois, pas même si tu te concentres en fermant les yeux très fort, pas même si t'as fumé un pétard avant, que dalle, ensuite c'est la débandade, flasque et visqueuse, moite serrée entre tes mains culturées à l'adolescence, et cette putain de dernière goutte qui chatouille ta cuisse de cette cuite manuelle, parce que t'as 15 piges, que t'as des lunettes, que t'es pas très grand et que c'est la desh niveau gonzesse…

Le bon vieux temps de l'insouciance, de l'invincibilité, avec un peu de bol tes névroses te laissent pénard le temps de devenir adulte, quoi queue pour la majorité des trouducs qui m'accompagnent dans cette vie pépère de gens bien nés, elles débutent à cette période d'euphorie vaginale ou bitale, te consument gentiment la joie de vivre, jusqu'à plus d'espoir, ensuite faut payer les factures, élever les gosses, sortir les poubelles et commencer à picoler pour oublier tout les seins qui pendent...

Putain je ne buvais pas une putain de goutte d'alcool il y a encore huit mois, l'histoire d'une névrose paternelle qui s'effluve sur le parquet un week-end sur deux, je suis le genre de gars qui te nique l'ambiance quand tout le monde est bien grammé avec des grands yeux titubants, la blagounette un peu lourde qui reste coincée dans cette gorge assoiffée d'oubli momentané d'amour propre… avec modération donc, faut savoir se contrôler la décence…

Ouais je sais tout cela est bien mignon, mais quel rapport avec le bouquin, aucun, de toute façon j'ai oublié de quoi ça parlait, petite mémoire, mais j'avais moins d'ambition à l'époque, ma grand-mère disait toujours :

« Faut commencer en bas de l'échelle, un pied après l'autre »

les petits polars, les petites histoires, les romans de gare, je faisais partie du petit peuple à l'eau de rose, élevé au club Dorothée, j'ai réussi à verser quelques émotions dans certains bouquins, petite bite de la culture populaire, mais proprement assumé, sans complexe, pas de névroses d'infériorité, un petit manque d'assurance héréditaire qui t'aigrise un peu le sourire, et puis la jolie brune qui remplace une fois ou deux par semaine tes mains pour faire couler l'encre de la vie, qui rayonne de ses beaux cheveux ondulés pendant que tu essaies de t'élever dans l'intellectualité d'un truc qu'il faut vulgariser pour que t'y comprennes un truc ou deux… t'as pas les gênes du A+ trouduc.

Certes t'as gagné ta place dans un pays qui se défend la joie de vivre, t'as sorti les doigts de ton cul et fini par écouter les conneries que te racontait mémé, en oubliant les parties religieuses qui t'interdisent la branlette entre deux pages de papiers glacé décorées à l'hétoro, t'as gagné ton bonnet d'âne taille G, t'y plonge ton nez les yeux fermés, invité à modeler ton avenir entre tes mains douloureuses d'adversité, je n'aime pas la compète, tirer sur le complexe des vestiaires pour atteindre les 15 cm et rentrer dans la moyenne d'un ennui vaginal ne m'a jamais fait bander plus queue ça, alors tu assumes tes choix, et comme disait mémé entre deux verres de vin à l'eau :

« Vas ou tu peux, meurs ou tu dois… »

A plus les copains
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Attention ce livre n'est un de ces thrillers économiques où Finder place le lecteur dans une entreprise et y déroule son suspense. Là, Nick Heller, le héros, n'est pas un simple employé ou cadre d'entreprise. Il travaille pour une agence de renseignement privé et dans son domaine c'est un vrai pro. Il se retrouve à enquêter sur l'agression qu'on subi sa belle soeur et son frère.
Avec ce livre Finder penche plus vers le thriller d'action et perd un peu ce qui faisait son originalité : mêler économie, vie d'entreprise et polar. le style alerte reste en place mais c'est quand même bien plus convenu que ce qu'il avait fait précédemment. Reste un vrai thriller d'action.
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J'avais envie de titrer cet article : "Chronique d'un succès annoncé". Car ce roman a tout pour plaire : un héros sympathique, un style efficace qui fait qu'on avale ce bouquin très rapidement, des chapitres courts qui donne une impression de célérité. Joseph Finder est décidément doué pour mener une intrigue complexe avec une description psychologique fouillée. Tout ça fait que c'est réaliste.

La majorité du livre est écrit à la première personne avec peu de sentiments, ce qui colle bien avec le personnage de Nick Heller, puisqu'il a été formé par l'armée et a combattu dans des guerres difficiles. Finder insère aussi quelques chapitres du passé de Heller pour complexifier le personnage, mais sans en dire trop, car ce roman est le premier tome d'une trilogie. Tout est fait et extrèmement bien fait pour que l'on achète les deux prochains volumes.

Il y a aussi un autre aspect , celui qui m'a le plus intéressé, c'est les liens familiaux. Nick déteste son père car il est en prison pour malversation financière. Il déteste son frère car celui-ci veut ressembler à son père. Malgré cela, les liens familiaux sont plus forts que toute sentiment d'indifférence. Par dessus tout, Roger est le frère de Nick. Ils sont du même sang. Même si ce sujet, somme toute classique, est sousjacent, il est lui aussi bien traité.

Alors, par moment, par son style, ses descriptions, son rythme, je me suis un peu ennuyé, vite repris par des rebondissements inattendus. Finder m'aura bien manipulé dans ce roman, qui finalement fait parfois office d'introduction au cycle Heller. On verra ce roman souvent entre les mains des touristes cet été sur les plages. C'est un bon thriller, fait avant tout pour le grand public, qui donne envie d'attendre les prochaines aventures de Nick Heller. L'objectif est accompli, et j'aurais bien pu titrer cet article : "chronique d'un succès annoncé". du bon boulot.
Lien : http://black-novel.over-blog..
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Sans Plus

Avant toute chose, il faut savoir que je suis un fan absolu des livres de Joseph Finder.

J'ai trouvé ce livre correct sans plus. Ce n'est pas mon préféré loin de là, principalement parce que je n'ai pas retrouvé ce qui m'avait plu dans les précédents.

Ceci dit, cela reste divertissant et on s'attache aux personnages de Nick, Lauren et Gab.

J'attends malgré tout la suite puisqu'à priori, il s'agit d'une trilogie. D'ailleurs si certains ont des infos à ce sujet, je suis preneur.
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Sans laisser de traces également dans ma mémoire... A oublier...
Ne perdez pas votre temps à le lire, j'ai tellement eu de mal à le terminer...
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Naturellement, ce n'était rien d'autre qu'un monumental coup de bluff, que je n'ai pas tardé à regretter.
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La disparition du mari de lauren eut lieu peu après vingt-deux heures trente.
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Super livre mon premier roman de Joseph Finder je doit bien avoué je ne suis pas déçue . Je me suis attaché au personnage de Nick mon seul regret que par moment je me perdait et j'ai du relire une seconde fois pour comprendre .
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Vidéo de Joseph Finder
Crimes et pouvoir (High Crimes), film (2002) américain réalisé par Carl Franklin. Bande-annonce VF
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