La vengeance du chat assassin (BD)

Elie la mère de famille décide de se lancer dans des activités sur son temps libre. Elle se rend donc dans un équivalent anglais des Université du Temps Libre où elle s'inscrit à des clubs pour développer sa créativité, en commençant par la peinture. Mais son art n'est pas au goût de tous, surtout pas pour Tuffy qui en plus est vexé d'avoir été figurant malgré lui d'une des croûtes de la maîtresse de maison. Toutefois il a un avantage : contrairement aux autres membres du foyer c'est un chat, il n'a donc pas besoin de prendre de gant pour exprimer sa désapprobation : et il ne s'en prive pas !

C'est le volume que j'ai le moins aimé dans cette série de BD. On est sur un schéma très répétitif et des scènes cousues de fil blanc.
Rien de bien transcendant ici, j'imagine sans problème que le roman est bien mieux.

Grosse déception pour cette BD qui me semblait pourtant vraiment drôle et attractive tant par son titre que par sa couverture. Je n'ai pas lu les romans ni les autres tomes de la BD mais j'avais lu de bonnes critiques donc j'ai voulu essayer. Mais cette histoire, qui se lit en en 15 minutes, ne m'a pas du tout intéressée et j'ai à peine souri une fois ou deux. La mère de famille se cherche un nouveau loisir (personne n'a l'air de travailler dans cette famille...) et se lance dans la peinture. Elle prend comme premier sujet : le chat. Bien sûr le tableau est immonde et le chat refuse que son portrait soit exposé dans le salon. Voilà, le début est drôle mais après il ne se passe plus rien. La mère essaie à chaque fois un nouvel art et le chat sabote à chaque fois la nouvelle oeuvre...et c'est tout. Bon, c'est vite lu et vite oublié.