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EAN : 9782070146505
176 pages
Gallimard (30/11/-1)
2.4/5   95 notes
Résumé :
«Je m'appelle Alma et je n'ai pas connu la guerre. J'ai grandi en écoutant Daft Punk, en buvant du Coca-Cola et en jouant à des jeux vidéo sur la Playstation 2. Un jour, j'ai appris que mon grand-père avait fui la Pologne quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, avant la Shoah. Ce mot m'a longtemps agacée : son côté spectaculaire. Mais vendredi soir, quand je me suis retrouvée face à la petite-fille d'Adolf Eichmann et qu'elle n'arrivait pas à se remémorer ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (39) Voir plus Ajouter une critique
2,4

sur 95 notes
Voici un premier roman remarquable, fort,éblouissant , puissant,lu d'une traite....un cri, un appel...une réflexion intelligente, entre essai et fiction, un ouvrage sur "l'oubli"ou plus exactement sur ce que l'on appelle "le devoir de mémoire".
L'héroïne, Alma,part en guerre contre la mémoire obsessive.
Cette mémoire, c'est celle de la Shoah.
Elle la ronge, la remplit à chaque instant, son cerveau est obnubilé,alimenté, nourri par toutes les pensées inachevées, violentées,envolées, exterminées que l'humanité a laissé en déshérence depuis la Shoah, elle sillonne Paris de nuit comme de jour, errant entre Oberkampf et Hauteville, de la nuit jusqu'à l'aube pour trouver l'innocence.
Une quête philosophique ou une femme d'aujourd'hui héritiére d'un passé trop lourd qui "veut oublier tout" puisque " oublier c'est tenter de vivre".
Quand elle cherche le sommeil, elle ne parvient pas à chasser de son esprit les images des déportés dans les chambres à gaz.
Pas facile d'oublier les quatre millions de morts sans sépulture, dont six millions de juifs, raflés, conduits en train vers les camps, pas facile d'oublier le mot allemand:",aussterben,"disparaître".
Et la géographie de la mort, à plat sur la carte de l'Europe où s'affichent tous les points noirs des camps maudits comme une constellation mortifére.
"Ma mémoire s'est retournée contre moi, elle a cessé d'absorber le temps".
"Mon imagination est un château- fort. Je suis toute puissante, personne n'est en capacité de me faire du tort".
"J'écoute de la musique: une superposition mentale de plusieurs mélodies, comme une superposition de corps dans une fosse, sans la saleté et la putréfaction que cela induit, mais dans le même désordre"....

Un ouvrage déroutant que l'on ne lâche pas, une réflexion moderne, un appel au secours? , une fascination face à la solitude des chiffres et des images- surtout des chiffres-.

Un travail litteraire qui déroule une réflexion qui transcende et élève avec des éclairs imaginaires éblouissants comme cette scéne où l'héroïne tue son chien et l'enterre en pensée dans la forêt de Compiégne puisque "pour renoncer à son enfance ,il faut d'abord éliminer son chien" dans un détachement poétique et irréel, un équilibre entre l'intime et l'universel, ou encore Wolgang,le cheval de course qu'aimait son grand- pére mort en chutant à Auteuil, qui n'a jamais arrêté de courir et de gagner sa course pour la gloire des disparus avec sa casaque rouge cinabre!

Une voix tout à fait singulière le travail de quête d'une écrivaine , étudiante en philosophie de 23 ans.
Mais cet ouvrage risque de ne pas plaire à tout le monde et ne laissera personne indifférent, car bourré de paradoxes!
Je n'en dirai pas plus....un livre émouvant de distance, de froideur ,certes, mais qui nous brûle, paradoxalement.
"Qui songe à oublier se souvient".On le referme secoué, on se replonge avec une angoisse indicible dans ces odieuses réminiscences de la folie hitlérienne, avec , en fond sonore" One more Time" deDaft Punk ou " les variations de Goldberg" jouées par Glenn Gould ou encore la musique de Mahler.....
Nuit et barbarie....jour et brouillard... Malédiction du mal....
À suivre !


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Raconter l'histoire d'un grand père qui a échappé à la Shoah, et en parler avec tant de cynisme : "Un jour quelqu'un m'a demandé si mon grand-père était mort à Auschwitz. J'ai répondu : « Non, à Buchenwald. » Il m'arrive de mentir.

Quelques pages plus loin on apprend que son grand-père a échappé de justesse à la déportation et aux camps pendant la Seconde Guerre Mondiale en quittant la Pologne et s'exilant en Argentine.

Jouer sur les paradoxes, sur la définition du mot 'disparaître' pour la solution finale, se poser des questions :

"Je me demande si les chambres à gaz avaient une odeur quelque peu semblable à l'odeur des semelles de mes chaussures, mais naturellement, infiniment plus forte. Je pense que cela est possible. Il aurait fallu pouvoir le demander à un Juif ayant fait l'expérience de la chambre à gaz, mais ce Juif est mort. À un SS ? Il semble, d'après ce que j'ai lu, que les SS sont des êtres remarquablement doués pour l'obéissance : il suffit d'un ordre. J'aurais ordonné à un SS de sentir mes tennis, je lui aurais ordonné, sur-le-champ, de me dire si l'odeur de mes chaussures avait un quelconque lien avec l'odeur caractéristique d'une chambre à gaz après le travail accompli, vous pouvez être certains que j'aurais obtenu une réponse positive ou négative, et une réponse détaillée."

Comment est-il possible d'être atteint de froideur, d'inconvenance ....

je n'ai surement pas d'humour, d'esprit philosophique, ni de second degré... Merci mais ce n'est pas pour moi !!!

Mais il parait que ce livre est une merveille, le traumatisme inconscient qui réapparait une génération plus tard. trop de coca, de consoles de jeux ???

Mais peut-être un premier livre tout simplement pour faire le Buzz.
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Bon et bien… je n'ai même pas réussi à aller jusqu'à la fin. Ca veut tout dire non ? Ce livre faisait parti du comité de lecture de la bibliothèque, c'est même moi qui l'avait suggéré à notre bibliothécaire intercommunale qui choisit les livres. Il avait l'air intéressant, sur un sujet que j'apprécie particulièrement. Et…

C'est un roman, c'est ce qui est écrit sur la couverture. Il doit donc y avoir une histoire, des personnages, un déroulement. Personnellement, j'ai plus eu l'impression de lire… je sais pas, des mémoires psychologiques, peut-être, plutôt qu'un roman. Comment vous expliquer, le personnage principal passe son temps à nous décrire ce qu'il se passe dans sa tête. Elle prétend être hantée par les chambres à gaz alors qu'elle ne les a pas vécues, ni personne de sa famille d'ailleurs puisque son grand père y a échappé. Nous suivons donc le fil des pensées d'Alma, pensées qui n'ont, à mon sens, ni queue ni tête, qui partent dans tous les sens, qui sont très difficiles à suivre. Pour tout vous dire, je lisais plusieurs pages le soir et le lendemain, j'avais l'impression d'avoir déjà oublié tout ce que j'avais lu. Sans compter que c'est quand même très répétitif. Au bout d'un moment, on a compris certaines choses…

Habituellement, je fais toujours deux parties dans mes critiques, une première sur le fond, et la seconde sur la forme. Sauf qu'ici, je ne vois pas quoi dire de plus sur la forme. L'écriture de Frederika Amalia Finkelstein m'a totalement larguée. Je n'arrivais à garder les yeux ouverts, je n'arrivais pas à suivre. C'est sûrement plus dû au contenu qu'à l'écriture en elle-même. Quoiqu'il en soit, je n'ai pas adhéré.

Pour conclure : L'oubli, un livre qui ne restera pas gravé dans ma mémoire.
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Et aprés l'on critique les jeunes chez Pernaut .... Ce livre écrit par une romanciére de 23 ans est une claque monumentale . Une intelligence rare , une écriture trés maitrisée , une puissance qui ne cesse de grandir au fur et à mesure du roman , c'est un bijou que l'on à içi. Il faut cesser de dire que les jeunes ne sont bons à rien , que la France ce n'est que la vision dèbile de tf1 et ces campings , au diable tout cela ! Voici içi la preuve que la France à en son sein des auteurs jeunes d'une qualité incroyable , qu'il faut découvrir au lieu d'applaudir devant les inepties de tf1 ! Oui ce livre est bon , il est mème excellent , et il faut le découvrir pour voir combien le talent de cette jeune romanciére est grand ! Vive la France ou l'on publie des livres aussi bons et Ouh à la France de Bienvenue au camping ! Vive la France des lettres avec ce roman incroyable ! Un roman qui va en choquer certains , mais dans le bon sens. Ce livre ne peut laisser insensible , quand on découvre ces pages , l'on plonge dans cette histoire que l'on devine trés personnelle et qui touche en plein coeur . C'est d'une telle intelligence et d'une telle maitrise que l'on en reste pantois et l'on ne peut que dire Bravo .
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Alma Dorothea, au cours d'une promenade nocturne dans Paris, dévoile l'obsession qui la ronge et l'empêche de dormir : elle ne peut oublier la Shoah, qui a épargné son grand-père, et lui a donc permis de vivre, elle, Alma.
Pas besoin de lire son CV pour deviner qu'elle est étudiante en philosophie et qu'elle est par ailleurs bigrement torturée Alma.
Alors pourquoi appeler roman ce qui ressemble beaucoup à une autobiographie ? Oui mais si c'est une autobiographie, ce qu'elle a fait à 12 ans avec son chien aurait dû la conduire dare-dare chez un psychiatre chevronné... Et si c'est un roman, quid de sa rencontre avec Martha Eichmann ?
On s'y perd mais on s'en fout un peu car il s'agit finalement d'une jeune fille qui a envie d'écrire (pas forcément très bien) pour poser les questions que tout le monde se pose sur la vie, la mort, l'oubli, la solitude, le bien, le mal...
Et il y fort à parier que c'est son jeune âge qui a fait crier au génie, s'il s'était agi d'une quadragénaire, il est probable que le livre serait passé aux oubliettes...
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critiques presse (4)
Bibliobs
25 septembre 2014
« L’Oubli » est un assez mauvais livre. Frederika Amalia Finkelstein devrait peut-être se méfier de son besoin de faire des phrases. Elle y ressasse ses hantises et ses insomnies avec une absence totale de maîtrise.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Culturebox
23 septembre 2014
Le premier roman de Frederika Amalia Finkelstein bouscule, déplace les curseurs. Alma (Frederika?) s'échappe du débat, sort du discours. Elle embarque le lecteur directement à bord de sa colère, de ses nausées, de la souffrance incompressible. Elle ne prend pas de gants.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LeFigaro
05 septembre 2014
Il y a des pages incroyables de culot et de talent dans ce roman, beaucoup de pages, qui montrent que Finkelstein n'en restera pas là. Longtemps après avoir refermé L'Oubli, il résonne encore de manière entêtante.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Telerama
20 août 2014
A 23 ans, cette étudiante en philosophie signe un premier roman remarquable de distance, de maîtrise, de froideur presque, mais une froideur qui brûle l'esprit.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Et voilà que j'ai pensé à la chose la plus simple ; à un mot que je connais depuis l'enfance. J'ai pensé au mot oubli. NOTRE MONDE VIT DANS L'OUBLI Avant le 30 avril 1945, il y avait deux lieux : la Terre et le ciel. Il y avait le monde des vivants et le monde des morts. Le jour du suicide d'Adolf Hitler, le jour où Hitler a fait échec et mat sur notre humanité, nous nous sommes évanouis l'espace d'un éclair, et quand nous nous sommes réveillés, nous étions dans un nouveau monde : nous étions dans le monde de l'oubli. Nous y sommes Dans l'oubli, le réel et le virtuel s'entrechoquent ; les vivants et les morts se côtoient. La technologie et les corps se confondent. Le mot humanité a changé : la science, les machines et les hommes se rencontrent : ils fusionnent. Le réel et l'imaginaire, le visible et l'invisible, la mémoire et l'oubli, tous ont la même place. Le passé et le présent se rejoignent : le temps n'est plus une courbe, une frise qui défile dans la mémoire. le temps est comme le monde : il fonctionne selon le modèle du cercle. je lis Lolita, je joue à un jeu vidéo, j'écoute Bach, j'oublie, je me souviens, je regarde un match de baseball, j'écoute Michael Jackson, et je suis incapable de vous dire qui est le premier à avoir vu le jour dans mes pensées et dans l'Histoire. D'ailleurs, cela ne m'intéresse pas : je passe de l'un à l'autre. Tout va dans l'oubli : mes peurs, ma fatigue, mon grand-père, les 6 000 000 de juifs exterminés, les 8 autres millions, les miraculés de la guerre et des génocides, les exilés, et puis mes joueurs de baseball, et aussi les nazis, mon enfance disparue, le meurtre d'Edgar, les chevaux sacrifiés sur les champs de courses. Les morts, les vivants : nous sommes tous dans ce même espace où la mémoire, sans cesse, s'évanouit. Je ne peux pas m'empêcher de penser que c'est là une chance et une condamnation. Perdre la mémoire de son passé, c'est avoir la possibilité de démarrer de zéro : vivre libre. Libre mais hanté par l'ignorance de ce qui, un jour, a été. Je voudrais faire de mon ignorance ma grande occasion d'espérer.
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"Le nom de Hitler n'est pas loin d'être aussi célèbre que le nom Jésus-Christ et que le nom Michael Jackson. Nous mettons tous les noms de l'Histoire dans un grand sac puis nous les confondons. Parfois, je me demande si nous sommes encore en état de faire la distinction entre les bons noms et les mauvais noms: si réellement nous la faisons. Il y a une forme d’indifférence. Je pense qu’aujourd’hui Hitler est un mythe au même titre que Jésus-Christ … et … Mickael Jackson … : nous ne pouvons pas oublier ces noms parce qu’ils sont ancrés dans notre mémoire. Les 14.000.000 d’êtres humains exterminés entre 1933 et 1945 ne sont pas des mythes : nous ne connaissons pas leurs noms. Ils sont poussière, ils sont chiffres. Que cela soit juste ou pas, là n’est pas la question. La morale est comme le fait de gagner : elle est une illusion.
Voilà ce que nous avons fait. Nous avons fait des victimes un amas de chiffres, puis nous avons fait des bourreaux un amas de mythes."
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Je suis à la recherche d'une solution à mon existence qui n'a jamais été possible pour la simple raison que je suis immergée dans un monde sans solution au problème posé. Il se peut cependant que je me trompe, et que la solution existe mais qu'elle soit sans visage. Comme un n dans une opération arithmétique. Je me dis qu'un tel n pourrait être la solution au problème de mon existence, soit potentiellement n'importe quel chiffre correspondant à un entier naturel. Le chiffre caché derrière le n existe mais jamais il ne pourra être dévoilé parce que sa possibilité est infinie. Dans une telle configuration la solution serait donc cette absence. C'est une pensée que je pourrais admettre car elle me convient. Je pourrais envisager le monde à partir de cette lettre. Je pourrais dire : j'ai trouvé la solution au problème majeur de la vie, à ce mot ingrat qui ne satisfait aucun raisonnement : à la naissance, à la mort, à ce lieu maintenant, à moi, à vous. La solution peut être nommée, elle s'appelle n mais son visage est une ombre. Là-dessus, je ferai silence, nous n'avons pas besoin d'en savoir plus car nous ne le pouvons pas.
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J’éprouve un léger haut-le-cœur; il faut purifier son cerveau des horreurs qui le parsèment, comme des traces d’excréments sous les semelles de ses chaussures. Je dois éliminer ce qui obstrue mes émotions. Il faudrait que je pleure. Cela fait si longtemps. Il le faudrait. J’étais au Drugstore des Champs-Élysées hier matin et je n’ai pas réussi. J’aurais aimé pleurer devant le bar, ou devant les livres, ou devant le rayon frais, mais je ne pensais qu’à Daft Punk et à mon soda, et aussi je pensais à la mort, je pensais à l’horreur qu’on nous a fait vivre ici-même il y a quelques années, à Paris : les rafles, les trains à bestiaux qui ont contenu des Juifs. Ma canette était froide. J’ai aimé ce Pepsi, il m’a rendu le plus grand des services : il m’a désaltérée. »
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Après l'illusion de la course, il y aura l'illusion du retour. Mes souvenirs reviendront à la surface, à nouveau je voudrai les oublier. Je chercherai ailleurs. Et j'irai d'étourdissement en étourdissement, de secret en secret, de solitude en solitude, de signe en signe, de sourire en sourire, de jeu en jeu, d'abandon en abandon, de travail en travail, d'amertume en amertume, d'attachement en attachement, de trace en trace, [...] de brou de noix en brou de noix, de visage en visage, [...] de robe en robe, de tee-shirt en tee-shirt, de chemise en chemise, de chaussure en chaussure, [...] de magazine illustré en magazine illustré, [...] de Pepsi en Pepsi, [...]
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Videos de Frederika Amalia Finkelstein (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Frederika Amalia Finkelstein
« Écrire, c'est une activité du présent d'abord, qui essaie de sauver le passé, mais pas seulement, qui est aussi tournée vers l'avenir. Écrire, c'est en somme donner de l'avenir au passé », écrit Annie Ernaux, qui vient de recevoir le prix Nobel de littérature. Mais comment raconter ce passé quand on a grandi avec des silences ? Peut-on s'approprier une histoire que l'on ne connaît que partiellement ? Et comment trouver sa propre voix/voie pour dire un traumatisme transmis mais non vécu ? Voici autant de questions auxquelles s'est confrontée notre invitée, la journaliste Sonia Devillers, pour écrire son premier livre. Les Exportés nous mène au coeur d'une histoire familiale et d'un grand scandale de l'Histoire, dans la Roumanie communiste. Un récit marquant, dans la fabrique duquel nous vous proposons de plonger dès maintenant, au fil d'un entretien. Et dans le prolongement de cet échange, nous parcourrons une sélection d'ouvrages qui, tous, s'attachent à la question des silences et du poids de l'histoire avec lesquels on grandit.
Bibliographie :
- Les Exportés, de Sonia Devillers (éd. Flammarion) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21126300-les-exportes-sonia-devillers-flammarion
- L'Oubli, de Frederika Amalia Finkelstein (éd. Folio) https://www.librairiedialogues.fr/livre/9894583-l-oubli-frederika-amalia-finkelstein-folio
- Quand tu écouteras cette chanson, de Lola Lafon (éd. Stock) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21196781-quand-tu-ecouteras-cette-chanson-lola-lafon-stock
- Black Indians de la Nouvelle Orléans (éd. Actes Sud) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21317333-black-indians-de-la-nouvelle-orleans-au-musee--collectif-beaux-arts-ed
*L'extrait lu dans l'épisode est tiré de Quand tu écouteras cette chanson, de Lola Lafon, éd. Stock, pages 42-43.
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