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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dans un souci de discerner les raisons de l'effondrement de la pensée en France et de dénoncer l'amalgame informe sur lequel on appose l'étiquette « Culture », A.F. nous livre ici une analyse sérieuse, honnête et d'un haut degré d'exigence sur la manière dont le système qui était censé protéger et transmettre une richesse de pensée parmi les plus brillantes de l'Humanité en est arrivé à la liquider, voire à organiser le culte de sa détestation.

Sous prétexte d'ouverture d'esprit, de tolérance et d'égalité, la culture et le savoir, qui sont indispensables à l'élévation (d'où le terme « élève ») de l'esprit, ont été cloués au pilori car générateurs d'inégalités. En les maintenant dans une bulle d'insouciance, on empêche les futurs citoyens de bien percevoir et comprendre les différents aspects et nuances d'un monde dont la complexité et la dureté grandissent sans cesse. Or, en refusant la transmission de ce savoir aux nouvelles générations, on les coupe de leurs racines et on les empêche de construire un avenir solide pour elles et la société. Couper les racines, c'est couper les ailes.

Nous vivons aujourd'hui dans l'ère du consommateur-roi, dans une « société adolescente » tyrannisée par le culte de la jeunesse et du divertissement ; une ère de frénésie compulsive qui empêche les esprits de s'ancrer dans la réalité et d'adopter des points de repère solides. Nous vivons une époque de pauvreté intellectuelle où fréquemment beaucoup de gens s'invectivent gratuitement et stupidement parce qu'ils ne font pas l'effort de se comprendre. Les idées désertent les débats qui deviennent des combats de lance-flamme dans lesquels celui qui devrait être écouté et respecté comme un interlocuteur n'est considéré que comme un ennemi à abattre. Il n'y a plus guère dans les média de discussions saines, posées, rationnelles et respectueuses desquelles pourrait surgir un peu de lumière. Car c'est le principe de tout échange : éclairer l'esprit. Au lieu de cela on assiste trop souvent à des concours de grandes gueules consternants où il n'est plus tant question de convaincre par des arguments rationnels que de persuader par l'émotion.

Il y a pour moi un gros problème avec Alain Finkielkraut ; d'ailleurs Zemmour a le même. Il devient vite ironique et sarcastique dans ses développements et on a du mal à voir clairement où s'arrête cette ironie. le sujet lui tient tellement à coeur qu'il semble souvent se laisser emporter par l'émotion. Cela entraîne à mon sens une certaine maladresse dans son expression et me déboussole quelque peu.

Ce livre est plein de détours et de formules obscures qui me semblent manquer de cohérence et c'est très regrettable de la part d'un auteur dont les idées sont si pertinentes. Je dois avouer qu'il est plus facile de le comprendre lors des débats radio ou télé que dans ses écrits. Il est vraiment dommage qu'il n'exprime pas sa pensée plus clairement et je retiens la dernière partie comme vraiment en rapport avec le titre du livre, bien que ce qui la précède semble constituer les prémisses de sa démonstration. La conclusion, longue d'une douzaine de lignes et intitulée « le zombie et le fanatique », donne l'essence de sa réflexion. La grande faille est que l'aspect quelque peu décousu de son ouvrage fait d'A.F. une cible facile pour les détracteurs.

Néanmoins, son effort est louable car le sujet épineux qu'il s'efforce d'analyser constitue le grand malaise de la société et déchaîne les passions. Nombreux sont ceux qui lui mettent des bâtons dans les roues, des esprits obtus et « bien-pensants », des idéologues gauchistes paranoïaques (pléonasme !?!) comme Badiou, se complaisant dans le marasme et qui, non contents de voir leur incendie idéologique ravager le pays, veulent l'attiser. le mérite d'A.F. est de s'efforcer de mettre du sens sur le fonctionnement de notre monde à l'heure où beaucoup de représentants supposés de l'élite vident les mots de leur sens et utilisent des formules creuses pour abrutir les « masses ».

Dans les années 1980, A.F. avait déjà vu venir cette catastrophe que nous subissons de plein fouet. Il est aujourd'hui considéré comme un « pseudo-intellectuel » et mis à l'index avec d'autres esprits lucides quant à l'état du pays. Mais alors à quoi sert-il donc à un groupe (humain ou autre) de disposer de sentinelles sinon pour donner l'alerte en cas de danger ?! C'est un grand drame lorsque dans une société on ne peut (ou on ne veut) pas distinguer le porteur de mauvaise nouvelle d'avec la mauvaise nouvelle qu'il apporte. Il existe d'autres exemples de cette tendance : il n'est qu'à se souvenir de l'affiche « J'accuse » de Damien Saez et de la polémique grotesque qu'elle a suscitée à cause d'interprétations grossières émanant d'individus décérébrés. Idem pour le clip « College Boy » d'Indochine. Notre société en est arrivée à fabriquer des incultes paranoïaques qui prennent de plus en plus de place. C'est très inquiétant car l'arrogance va souvent de pair avec l'ignorance.

Paresse à penser, folie, fanatisme, angélisme, infantilisme, négation du principe de réalité : tout cela est dû en grande partie à un manque d'éducation, de morale civique et à une aversion envers les nourritures spirituelles, auxquelles se substituent sans aucune peine des egos hypertrophiés, immatures, pleins d'assurance et la croyance aveugle en des idéologies faciles, notamment politiques et de plus en plus religieuses, souvent périmées qui ont fait la preuve de leur nocivité. Une connaissance solide et structurée du monde est pourtant la base d'un esprit sain, ouvert et rationnel.

Ce n'est pas sans raison qu'A.F. est un pessimiste. Il a conscience des efforts indispensables à la reconstruction de notre Nation et voit pertinemment que nous n'en prenons pas le chemin. Si cela continue, le pays sera bientôt mûr pour une dictature ou une guerre civile. Comme toute société démocratique se fonde sur l'éducation et l'instruction, elle n'en mérite plus le nom une fois que ces deux piliers lui font défaut.

Ce livre est un jalon majeur de notre Histoire. Nous devrions nous estimer chanceux de compter parmi nos compatriotes un esprit aussi clairvoyant qu'A.F.
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Avec la décolonisation, les pays occidentaux ont voulu lutter contre l'ethnocentrisme européen et le racisme en décrétant l'obligation de respecter toutes les cultures, jusqu'à faire de l'avancée démocratique un simple aspect d'une culture particulière qui a voulu imposer sa domination sur le monde.

Confondant culture et coutumes, universalité des principes de liberté et d'égalité avec les particularismes des peuples, on a fini par accepter des comportements - comme l'inégalité de traitement entre l'homme et la femme, les croyances d'un autre âge - qui s'élèvent contre la dignité humaine et cela au nom du respect des différences.

On a d'autre part abandonné la notion d'individu pour renvoyer chacun à ses origines et à son appartenance à une communauté. Ce qui anéantit toute notion d'universalisme, puisque chacun est censé véhiculer une "vision du monde" le rendant incapable de comprendre objectivement l'autre...

Prétendant que tout est culture et que toutes les cultures se valent, on a renoncé à une hiérarchie des valeurs, aux notions de beau, de bien, d'élévation, de mérite. Pour finalement devenir des consommateurs obsédés par la jeunesse, le désir d'être jeunes, de le rester, de céder au plaisir de l'instant, à l'infantilisme, vivant dans l'ignorance de l'Histoire et des anciens.

Ecrit en 1987 ce petit essai d'Alain Finkielkraut éclaire parfaitement la dérive de notre société moderne et l'échec des Lumières face à la montée de l'obscurantisme, l'univers de la marchandise étant là pour nous faire oublier que c'est chaque jour que l'on conquiert sa liberté...Et le mot de la fin, le Zombie - l'homme sans volonté - et le Fanatique, illustre cruellement notre actualité...
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Bien que les Lumières aient proposé avec pertinence le principe de dépassement de l'humain par la mise en oeuvre de sa capacité critique, de sa volonté de sortir du cadre des préjugés et de son exigence à devenir, il semble au contraire que la posture majoritaire soit aujourd'hui de considérer que c'est la société qui fait l'homme plutôt que l'homme qui fait la société. L'abandon de cette exigence se retrouve dans l'éternel débat entre "Volksgeist" allemand initiée par Herder à la fin des Lumières, traduit en français par "génie de la nation" à la manière de Bonald ou de Maurras (nous pourrions ajouter de Burke en Angleterre) et "principe d'adhésion" du citoyen à une société tel que prônée par la révolution de Sieyès et repris par Renan et De Maistre. C'est au XIXème siècle, lors du renoncement aux Lumières par le romantisme que l'opposition se fait la plus forte, résumée par l'annexion de l'Alsace-Lorraine : Strauss en Allemagne oppose l'évidence des racines germaniques des alsaciens tandis que Renan défend la volonté des Alsaciens eux-mêmes à rester français. Entre temps, la classification des humains sur des critères biologiques est née. En France, l'affaire Dreyfus marque la victoire du principe universaliste, mais de justesse. La suite du XXème siècle se déroule par la victoire des conceptions "biologique" et "sociale" de l'humain (Vacher de la Pouge, Marx) plutôt qu'agissant sur elle. Ce serait le principe de contrition des européens décolonisateurs qui, en associant à tort la promotion d'un principe de pensée élévateur et l'orgueil de s'en croire les détenteurs (qui aboutit seul à la violence et au racisme, mais non le principe lui-même), ont décidé de déclarer l'abolition de toute promotion de la pensée au profit d'une égalité des modes d'être, c'est-à-dire de l'exercice des préjugés propre à chaque culture. Les "cultures" sont depuis des viviers de préjugés dans lesquels la posture intellectuelle ambiante, déclarée jusque dans les textes de l'UNESCO, nous force de plonger et de nous en enorgueillir.
Ausi, si les sociétés humaines deviennent égales les unes aux autres sans autre critère que l'égalité des préjugés, cela signifie que l'humain redevient "animal" ou "zombie", un être biologique incapable de dépasser la "livrée" dont il est revêtu à la naissance et dont, loin de vouloir se débarrasser, il s'emmitoufle (nous pourrions compléter cela par la phrase de Barrès : "revêtons nos préjugés, ils nous tiennent chaud"). N'aspirant plus à engager l'homme à devenir, les sociétés contemporaines encourageraient au contraire l'homme à être ce qu'il a toujours été, à considérer sa petite personne comme un aboutissement ultime de la perfection de l'histoire humaine et à se contenter de l'oppression qu'il opère lui-même sur sa propre pensée. De là, la défaite de la pensée face au préjugé, qui fait de l'homme non pas un principe actif, mais un mode d'être au monde, un mode plat, sans envergure, sans perspective et, parce qu'il renforce les préjugés, ne présage pas d'avenir meilleur que la haine, le racisme, l'exclusion, la désagrégation des sociétés humaines et tout ce qu'un refus de dépassement de soi par une réflexion personnelle rejette : l'élévation de l'esprit, la dialectique entre des pensées nourries, l'aspiration à une société meilleure, bref, tout ce que proposaient les Lumières.


En reprenant Renan, Strauss, Barrès, Maurras, Herder, Finkielkraut pose la question de l'essence du lien entre des "communautaires", de ce qui compose un peuple, une communauté humaine. Il engage à réfléchir à ce que doit être une communauté humaine aujourd'hui, et à ce qu'elle doit aspirer à devenir. On est convaincu par la problématique qui s'inscrit dans ce conflit "Kultur"-"Civilisation", "esprit national"-"plébiscite de tous les jours", "identité locale"-"universalisme", "droit du sang"-"droit du sol", "valeurs ancestrales"-"valeurs universelles", "communauté chaude"-"patriotisme constitutionnel", etc. C'est effectivement parfaitement d'actualité à une époque où certains partis politiques prétendent préparer l'avenir de la société (française, mais dans beaucoup d'autres pays aussi) en l'alourdissant du poids de ses "racines", de son "identité" sans évoquer de projets d'avenir. La problématique de la manière dont nous devons nous sentir "vivre ensemble" et de cette "communautés de valeurs" balance donc bien toujours entre la référence à une origine commune et à un destin commun. Finkielkraut rappelait que l'esprit des Lumières était exactement contraire : être humain, c'était, pour les philosophes, créer, inventer, abattre les préjugés. Le texte est à rapprocher de la thèse défendue par Ortega y Gasset dans "La révolte des masses" il y a près d'un siècle, où, là aussi, c'est la platitude de la pensée, le contentement personnel et le refus de développer une réflexion personnelle qui explique "la défaite de la société" (Ortaga y Gasset écrit dans les années 1930). Ce rapprochement accrédite la valeur de la problématique, puisque déjà défendue voilà un siècle, sans pour autant résoudre la question.
Malheureusement il manque un dernier chapitre à l'essai de Finkielkraut. En effet, les Lumières avaient un adversaires à abattre : l'arbitraire, identifié sous la double forme du pouvoir (la monarchie) et de la foi religieuse (l'église). Pour appliquer un principe critique, il faut encore avoir identifié l'adversaire. Malheureusement, Finkielkraut ne le nomme pas. Les temps ayant changé puisque ce ne sont plus une poignée organisée de penseurs qui peuvent construire l'avenir, mais des centaines de millions de personnes, il reste à organiser cette communauté d'envergure, avec toutes les différences (d'origine et d'aspiration) qu'elle comporte. En outre, se pose la question de savoir si l'on est autorisé à défendre un principe universel sous la forme d'une dichotomie des groupes humains. Le ton est en effet virulent et semble installer l'idée qu'il y aurait ceux "qui ont tout compris" et ... les autres. L'universalisme du principe s'émousse par la violence du propos... On reste donc un peu sur sa faim, convaincu de la véracité du principe, sans indication de ce à quoi il faut l'appliquer. Mais si un essai brille par son expression et sa capacité à germer chez celui qui le lit, "La défaite de la pensée" est excellent. Les mots courent, les phrases virevoltent, la pensée s'envole et tourbillonnent : c'est un grand ménage de printemps. L'essai est bref, mais on interrompt si souvent la lecture pour y insérer ses propres réflexions inspirées par lui qu'elle s'étale finalement, et l'après-midi passe. Vient l'heure de l'apéritif et l'on se sent prêt à affronter une vie nouvelle, même s'il nous reste à inventer la manière de l'aborder (n'était-ce pas justement le propos de l'auteur ?...)
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Si clairvoyant
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Un petit rappel de l'évolution de l'universalité des «Lumières» vers la valeur et notion de particularisme en passant par «l'esprit d'un peuple» le Volksgeist réponse allemande à l'hégémonie philosophique française, la décolonisation et les nationalismes exacerbés du tiers-monde répondant aux besoins de rejeter tout ce qui est occidental quitte à s'enfermer
dans un racisme nouveau et le rejet du socialisme vecteur d'universalité de la classe ouvrière.
Finkielkraut fait une bonne rétrospective du cheminement des idées jusqu'à aujourd'hui ainsi qu'une analyse critique de la pensée assez juste. A la culture universelle, un temps envisagée, on lui préfère aujourd'hui, des cultures particulières qui, non seulement contiennent les individus mais les éduquent en tant que sujets appartenant à groupe bien défini. Les tenants de l'ethnocentrisme occidental font leur mea culpa et engagent une réflexion contraire qui se traduit par une régression.
l'Unesco combat l'ethnocentrisme occidental pour faire émerger les autres cultures Toutefois il arrive, paradoxalement, à l'effet contraire en contraignant ces cultures multiples à faire leur propre ethnocentrisme et à les enfermer sur elles-mêmes.
de l'universel on passe au particularisme exclusif et donc on valide la légitimité des diversités culturelles sans lien hiérarchique de valeur: On abandonne l'idée élective de la nation définie comme association volontaire d'individus libres et on revient à l' idée réductrice d'appartenance ethnique.
La classe dominante impose ses valeurs et de fait déprécie celles qu'elle ne valide pas en humiliant ceux qui les portent. Avec la multiplication des cultures on en arrive à une perte de repères et l'inculturation du moment mène à l' acculturation et en même temps à l'inculture: toute activité est culture, tout est équivalent et consommé indifféremment avec addiction.
Voilà une analyse de vilain «mécontemporain» qui doit en chagriner beaucoup et encore aujourd'hui plus de 35 ans plus tard le sujet reste tout à fait actuel et se pose avec encore plus de pertinence surtout que les cultures montantes, dont celles théologiques radicales se font de plus en plus hégémoniques et pas de manière très cordiale.
Bref le renoncement à l'universalité c'est à dire à des valeurs dans lesquelles toutes les nationalité ou cultures puissent se reconnaître ou du moins puisse s'accorder risque de mener à une multitudes de mondes totalitaires qui trouveront leur justification en soi.
Une vulgarisation très accessible pour le lecteur peu porté sur la philosophie sans contresens et interprétation malsaine mais avec écrite avec beaucoup de fermeté : Finkielkraut Alain est considéré comme un grincheux mais peut-on lui reprocher de dire des choses justes ?
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Ceux qui auront lu ma critique de l'imparfait du présent trouveront sans doute dans celle là quelques similitudes.
(oui, c'est quasiment la même, copiée-collée, mais que voulez-vous ? Penser à en écrire une autre me rend malade et me donne mal à la tête)

La Défaite de la pensée ou le désespoir d'un homme cultivé face à la banalisation de l'inculture et à l'encouragement de l'utilisation de Wikipedia et des correcteurs orthographiques pour palier le manque de bases qui devraient être inculquées dans les écoles maternelles ?
Tandis que certains de nos jours pratiquent le copier-coller à tout bout de champs (même pour écrire des critiques, c'est vous dire le niveau !)

La Défaite de la pensée l'indignation d'un homme des temps passés où réfléchir n'était pas synonyme d'élitisme forcené et discriminatoire contre un système actuel qu'il pense gangrené et pourri jusqu'à la moelle pour asservir les masses et les faire avilir la culture, la lecture et l'écriture ?

Trouvera-t-on dans ce livre la triste réalité de notre monde, vue par un homme que cela angoisse ?

Les lubies d'un vieillard d'apparence sénile racontant sa vie, par métaphore, pour nous faire passer un message que nous ne sommes plus enclin à comprendre ?

Ou seulement un constat clair, net et précis de la situation de notre rapport à la culture, à la réflexion ?

Sans doute un peu de tout cela.

Tout ce qui peut nous faire dire avec des tremolos dans la voix, et avec une rassurante voix polémiste : "c'était mieux avant".

(en attendant une vraie critique, réfléchie et construite...)
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Comment en est-on arrivé là : le cercle vicieux est bouclé !
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