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3,88

sur 1127 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un huis clos de la mort qui tue, dantesque, oppressant, angoissant, le genre de truc qui ne vous lâche pas ! Pire, ça vous colle aux doigts.

Plus que dévoré puisque entamé ce matin et terminé le soir même. Je ne voulais pas m'arrêter avant le mot "fin".

A se demander ce que certains auteurs fument avant d'écrire de pareilles histoires ! C'était dingue, mais d'enfer, des comme ça, j'en redemande.

C'est quoi l'histoire ?

Ancien psychiatre, le docteur berlinois Viktor Larenz n'est plus le même homme depuis la disparition de sa fille, il y a quatre ans.

Il va tellement mal qu'on le retrouve sanglé sur une table. Pas pour se faire torturer, nein ! Il est juste comme qui dirait un peu à l'asile... Un médecin l'interroge : le docteur Roth (Weiller ?).

Que s'est-il bien passé depuis le début où sa gamine disparait sans laisser de trace alors qu'elle attendait dans la salle d'attente d'un médecin, pendant que papa faisait une vidange aux toilettes du coin ??

Alors notre ex-psy commence le récit de ce qui s'est passé dans sa maison de campagne, sur l'île de Parkum, où il est allé s'isoler et où il se fait emmerder par une femme qui veut qu'il la prenne comme patiente. Refusant au début, il lui laissera ensuite raconter son histoire.

Et c'est là que tout commence... Anna Spiegel est une romancière qui prétend souffrir d'une forme rare de schizophrénie : les personnages de ses récits prennent vie sous ses yeux.

Son dernier roman avait pour héroïne une fillette qui souffre d'un mal étrange et qui s'évanouit sans laisser de traces...

Tout ce qu'elle racontera à l'ancien psychiatre, c'est comme si elle racontait l'histoire qui s'est passée après la disparition de Josy, la petite fille.

L'île est coupée du monde suite à une tempête et des choses étranges se produisent, me faisant douter de la santé mentale de tout le monde, de celle de l'ancien psy, d'Anna, de celle du maire de l'île...

J'vous ai dit qu'Anna est vachement dérangée ? de plus, les révélations du détective (qui avait recherché la fille de Viktor) sur sur cette arrangée du ciboulot n'arrangent pas les choses.

On sent bien qu'Anna n'a pas le gaz à tous les étages et que ses frites ne sont pas toutes dans le même cornet... D'ailleurs, elle fou la trouille.

Toute fière de moi, je croyais avoir entrevu le "truc", la solution à tout, mais en fait, je n'avais rien vu, ou juste aperçu la pointe de l'iceberg. Mais juste la pointe... le touti riquiqui.

Dans les dernières pages, ce furent des révélations en rafales, et je me les suis toutes prises en pleine poire.

Encore pire que ce que j'avais pensé. Et c'est là que toutes les pièces du puzzle se mettent en place et que la pièce tombe pour le jackpot !

Bravo à l'auteur que je remercie pour le formidable coup de pied au cul qu'il m'a fichu. C'était du costaud.

Tellement dingue ce livre que j'ai même douté de ma propre santé mentale...

Bon, je vous laisse, des peintres en bâtiment viennent d'entrer. Enfin, ils ressemblent à des peintres. Ils sont vêtus de blanc, avec une petite calotte blanche...


Livre lu dans le cadre du challenge "Thrillers et polars" de Liliba.
Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Bien joué... MAIS...

Allez, je peux bien vous l'avouer, j'ai commencé Thérapie hier soir et je l'ai fini ...dans la nuit... Et je n'arrivais pas à décrocher.
Comme beaucoup, je me suis identifié à Viktor, comme lui, j'ai vécu l'horreur de la disparition de sa fille, comme lui, j'ai cherché à comprendre, comme lui j'ai été basculé de coup de téléphone en visite d'Anna... J'ai été trompé, détrompé... J'ai entrevu une vérité... qui s'est empressée de se fondre dans la tempête...

Vous l'avez compris, le gars FITZEL m'a bien embarqué... MAIS...
SPOILER !

Alors oui, on nous offre un dernier rebondissement inattendu, comme pour dire "Tu vois que c'était pas ce que t'avais compris"... Il n'empêche...
Attention, ça n'enlève rien au talent de Monsieur FITZEK, comme annoncé plus haut, je me suis laissé embarqué sans résister, l'écriture est efficace, l'ambiance est bien posée...et j'ai aimé...
Je veux juste tempérer un peu les crtiques qui crient au génie et me prends à espérer qu'un auteur de cette trempe saura me charmer par une autre histoire et pourquoi pas, me mystifier pour de bon...
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Jeudi il y a 15 jours, gare d'Offenburg, en Allemagne : je pars en déplacement, je suis un peu en retard, je cours et oublie mon livre entamé dans la voiture. Pas grave, je vais travailler sur mon ordi, ça ne me fera pas de mal..
Le lendemain vendredi, gare de Leer, toujours en Allemagne mais tout au Nord : toujours pas de livre pour le retour de mon déplacement et pas envie de bosser, en plus l'ordi en train ça me donne mal au coeur. Tiens, il y a une librairie dans la gare, je pourrai peut-être acheter la suite du Voleur de regard... Ah zut, ils ne l'ont pas, bon ben je prends un autre Fitzek à la place, Thérapie a l'air pas mal...

Tout ça, non pas pour raconter ma vie passionnante, mais pour dire que j'ai lu Thérapie en allemand et que la barrière de la langue a certainement eu une grosse influence sur ma perception du livre. Car je suis toujours restée à distance, en dehors, prenant le livre comme un exercice de style très abouti, mais pas comme une histoire potentiellement vraie. Résultat : j'ai lu Thérapie avec un sourire amusé mais sans trop d'émotions ou d'angoisses.

Pourtant, il y aurait eu de quoi en avoir ! Viktor, ancien psychiatre traumatisé par la disparition mystérieuse de sa fille chérie Josy, est coincé sur l'île de Parkum pendant une tempête avec une schizophrène inquiétante dont les hallucinations ressemblent terriblement à l'histoire de Josy... de là, les chapitres égrènent un compte-à-rebours jusqu'au 'jour de la vérité', dont on sait simplement qu'il va conduire Viktor de l'autre côté, celui des patients lourds d'un hôpital psychiatrique.

De retournements de situations en détails technologiques troublants, Fitzek tire astucieusement les ficelles pour nous perdre dans la tempête de Parkum. Avec moi, ça a marché à plein, la fin que j' avais imaginée était totalement différente de la sienne. J'ai donc trouvé sa thérapie de fou(s) assez brillante et l'ai bien appréciée.
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Décors : chambre d'hôpital aux murs capitonnés. L'air est lourd, le lit est occupé par Viktor Larenz, pyschiatre berlinois dont la réputation n'est plus à faire. La tension est palpable dans ses yeux, où se mêlent des sentiments contraires. Ailleurs, des cris. Ciel noir. Intrigue.

La fille de Viktor Larenz a disparu alors qu'elle souffrait d'un mal inconnu. Sa disparition n'a jamais été élucidée. Et quelques années plus tard, Anna Spiegel, romancière, se présente à Viktor, avec un étrange mal : ses personnages de romans prennent vie, et une petite fille a disparu, sans laisser de traces..

Quelques années plus tard, Viktor Larentz se réveille dans la chambre capitonnée, face au docteur Martin Roth. Il est dans l'incompréhension : que fait-il ici ? pourquoi est-il médicamenté ? où est sa fille qu'il n'a pas vu depuis des années ? Mystère et suspens s'enchaînent dans son histoire, dans laquelle chaque élément est bien trop à sa place…

Sebastian Fitzek écrit un thriller imparable, où l'incompréhension persiste jusqu'au dénouement final. Un lecteur enquêteur aura l'occasion de trouver des indices, mais peu de chemins mènent vraiment à la vérité. L'auteur tisse une histoire implacable, laissant le lecteur dans le doute de sa propre existence. Thérapie n'est pas sans rappeler un autre thriller, écrit par Dennis Lehanne (dont le titre restera caché, pour éviter les spoils). Cependant, bien que ressemblants sur certains points, les deux ne se mélangent par pour autant.

Thérapie est un livre féroce, parsemé de chapitres courts. Véritable page turner et premier livre de l'auteur, il préfigure le rythme des suivants : du Passager 23 au Siège 7A, Sebastian Fitzek est un habitué des thrillers qui marquent une vie de lecteur..
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Je découvre l'écriture de Sébastian Fitzek avec cet opus et c'est une bonne surprise.
Je ne le remercie pas pour les heures d'angoisse où il m'a plongée, les trippes serrées et l'impression d'avoir le cerveau passé à la machine à laver option essorage 1000 tellement j'ai l'esprit retourné.
Un thriller psychologique très efficace qui a bien fonctionné sur moi. Un poil trop angoissant peut être car il n'y a pas de relâche dans cette histoire, de moment pour souffler. Ou je suis trop sensible. Ca doit être ça.
On suit l'histoire de Viktor Larenz, un psychiatre renommé pour qui la vie sourit jusqu'à la disparition de sa fille. Josy souffrait d'une maladie que les médecins étaient incapables de cibler. C'est justement lors d'une visite chez un allergologue que la petite disparaît. Suit une longue descente aux enfers pour Viktor Larenz qui n'est plus capable de travailler. Alors qu'il se retire sur une île où il a une maison de famille, une jeune femme Anna le supplie de la prendre comme patiente. Elle souffre de schizophrénie et est écrivain. Elle est persuadée que les personnages de ses histoires prennent vie. Justement dans le dernier livre qu'elle écrit , il est question d'une petite fille qui a un mal que les médecins ne parviennent pas à identifier et qui a disparu. Viktor se persuade qu'Anna est la clé.
Une ambiance sombre. Une tempête sur l'île. de l'incompréhension. Viktor qui doute qui ne sait plus tout comme le lecteur. J'ai souffert avec Viktor.
Chouette découverte.





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Après avoir lu « le briseur d'âmes », qui m'avait assez plu mais un peu laissée sur la faim, j'avais très envie de continuer à explorer l'univers de Sebastian Fitzek

Une fois le livre entre les mains, il m'a été difficile de le lâcher et je l'ai littéralement dévoré. J'aime beaucoup les psys déjantés (je sais, pour certains cette expression est considérée comme un pléonasme !) alors je me suis fait plaisir.

L'intrigue est intéressante : Viktor Larenz, psychiatre renommé sur la place de Berlin, emmène sa fille en consultation chez un énième spécialiste, car elle présente des symptômes bizarres sur lesquels aucun n'arrive à poser de diagnostic. Il s'absente de la salle d'attente pour se rendre aux toilettes et… elle disparaît. Victor va remuer ciel et terre pour comprendre et tenter de la retrouver.

Quatre ans plus tard on retrouve notre psy, entravé dans un lit d'hôpital, racontant son histoire au Dr Roth. Alors qu'il se réfugiait sur une île pour tenter de répondre à une interview, débarque Anna une romancière qui va le harceler. Évidemment une tempête arrive l'isolant du reste du monde.

J'ai aimé la manière d'aborder la folie, la tempête dans le cerveau qui est aussi spectaculaire et décousue que celle qui règne à l'extérieur : le lecteur se demande toujours qui est le plus cinglé dans l'histoire, qui il faut croire, quels sont les vrais indices ou les délires…

En fait, je me suis tellement laissée porter par la « pensée schizophrénique », et les autres pathologies psy que l'auteur évoque, (et elles sont nombreuses !) que je n'ai jamais cherché à savoir si Josy était morte ou non, et qui était responsable ou non… je ne me suis même pas posé la question…

Sebastian Fitzek aborde au passage le deuil : peut-on le faire quand on ne sait pas ce qu'est devenu son enfant ainsi que la manière dont on peut partir en vrille mentalement dans ce genre de situation.

Ce roman m'a plu, par l'univers que propose l'auteur (le même que « le briseur d'âmes »), plus que par le contexte « enquête ». Je ne sais pas si je continuerai à lire ses romans car il risque de tomber dans la routine en restant trop axé sur le milieu psy mais ce qui est certain, c'est que j'ai passé un bon moment…
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Dans « Thérapie » (premier livre de l'auteur), nous suivons l'histoire de Viktor Larenz, un psychiatre estimé qui ne peut désormais plus exercer. Après que sa fille malade de 12 ans disparaisse sans laisser de traces, Viktor se retire dans une maison de vacances sur une petite île balayée par les tempêtes au Nord de l'Allemagne. C'est là qu'apparaît la mystérieuse Anna qui insiste auprès de l'ex-psychiatre à être traitée comme sa patiente.
Mais il aurait peut-être mieux valu que Viktor ne lui ouvre jamais sa porte...

« Thérapie » est le récit d'une psychè déformée, parce que rien dans la vie de Viktor ne semble correspondre aux faits énoncés. Où se trouve le mensonge, où se cache la vérité et surtout... qui se dissimule derrière qui ?
C'est le noyau de « Thérapie », un monde d'apparence et de paraître. Un cauchemar de colère, de solitude et d'espoir presque mort.

Dans ce thriller psychologique, Fitzek a construit astucieusement son intrigue sur des symptômes définissant certaines maladies psychiatriques. Ainsi il arrive non seulement à tromper ses personnages, mais également ses lecteurs... lecteurs comme moi, qui suivent les rebondissements inattendus avec avidité et se trouvent après chaque court chapitre face à de nouveaux mystères.
Un roman que j'ai ressenti comme très étrange et aussi émotionnellement très intense.

L'épilogue n'était à mon avis pas nécessaire mais apporte sa petite note de satisfaction dans le genre du « vengeur vengé » au lecteur, qui, arrivée à la fin, a du mal à abandonner un caractère aussi fort que Viktor.
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Cette nuit, je n'arrivais pas à me rendormir alors j'ai attrapé le premier roman en haut de ma P.A.L : Thérapie de Sebastian Fitzek.
Résultat, j'ai lu plus de la moitié du roman avant de réussir à avoir sommeil. Lire un thriller en pleine nuit n'est pas une bonne idée lol
Josy, douze ans, la fille du célèbre psychiatre berlinois Viktor Larenz, est atteinte d'une maladie qu'aucun médecin ne parvient à diagnostiquer.
Un jour, après que son père l'a accompagnée chez l'un de ses confrères, elle disparaît.... Personne n'arrive à comprendre où elle peut se trouver...
Quatre ans ont passé et Larenz est toujours sans nouvelles de sa fille quand une inconnue frappe à sa porte. Anna Spiegel, romancière, prétend souffrir d'une forme rare de schizophrénie : les personnages de ses récits prennent vie sous ses yeux. Or, le dernier roman d'Anna a pour héroïne une fillette qui souffre d'un mal étrange et qui s'évanouit sans laisser de traces...
Le psychiatre n'a dès lors plus qu'un seul but, obsessionnel : connaître la suite de son histoire.
Thérapie est un roman que j'ai eu en cadeau pour deux romans achetés et il attendait depuis quelques temps dans ma P.A.L.
Je ne pense pas que je l'aurais acheté même si le résumé me tentait mais j'avais peur que ce soit un peu trop biscornu pour moi.
En fait, pas du tout. Ce roman est moins complexe que je ne pensais. Thérapie fût même une très bonne surprise.
Une petite fille tombe malade et disparaît sans laisser de traces. Son père est un imminent psychiatre qui laisse tout tomber pour la chercher. Mais quatre années passent. On retrouve Larenz dans une clinique psychiatrique, et je me suis vraiment demandé comment il avait pu en arriver là ! Car le médecin est devenu patient.. La disparition de sa fille l'aurait t'il rendu fou ???
Les apparences sont très trompeuses dans ce roman, l'auteur nous emmène de surprises en surprises et j'ai beaucoup aimé ma lecture. Toutefois, je n'ai pas eu de coup de coeur. Il me manque un truc pour que je mette cinq étoiles.
Mais Thérapie est un bon thriller psychologique, sacrément bien ficelé et captivant.
Je le recommande aux amateurs du genre et je lui donne quatre étoiles.
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Cela faisait des années que ce livre était dans ma PAL. Reçu en cadeau de la maison d'édition, j'avoue qu'il ne m'attirait pas spécialement. Je l'ai rangé dans ma bibliothèque et complètement oublié. Ce n'est qu'après un tri que j'ai remis la main dessus et que je me suis dit pourquoi pas ?

Résultat, livre commencé hier soir et ... fini cette après-midi (parce que j'ai été obligée de le lâcher hier ^^).

Lorsque la fille d'un psychiatre très réputé tombe mystérieusement malade, il me met tout en oeuvre pour la sauver et va de spécialite en spécialiste. Tout bascule le jour où lors d'une visite chez un énième médecin, la fillette disparait.
Les années passés aucun n'indice ne permet de retrouver la petit Josy.

C'est dans ce contexte que le docteur décide de s'exiler dans sa demeure familiale situé sur une petit île très isolée afin de préparer une interview.
En recherche de calme pour arriver à enfin faire son deuil 4 ans après la disparition de sa fille, il va être dérangé par Anna Spiegel, jeune femme prétendant être schizophrène et vouloir suivre une thérapie... de plus, une tempête empêche qui que se soit de quitter l'île durant plusieurs jours.

Ce roman est tout simplement addictif! On se sent, nous aussi, coupé du monde. le style narratif est très fluide. Les bases de l'histoire sont très vides posés.
On sent bien que quelque chose ne va pas avec les personnages, mais on ne parvient pas à mettre le doigts dessus. Pourtant, après avoir lu le dénouement, on se dit mais ouiiiiiiiiii. Les indices étant sous nos yeux, distillés par petites touches subtiles. Et c'est justement cette chute qu'on avait pas prévue qui fait qu'on aime tant ce genre de roman !

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Un thriller psychologique qui tient son lecteur en haleine de la première page à la dernière avec une fin des plus inattendue .
C'est incroyable comme une fois commencé, on ne peut le lâcher ce livre car, on désire en savoir plus, connaître la suite, le dénouement.

Nous suivons le récit de Viktor Larentz, éminent psychothérapeute qui, suite à la disparition de sa fille est plongé dans un embrouillamini incroyable. Très vite, nous nous retrouvons dans une sorte d'isolement avec Viktor, où nous passons notre temps à chercher ce qui est réel ou ne l'est pas... bref, nous sommes plongé dans son univers angoissant, sombre....

Le style de l'auteur est incroyable avec des flash-back entre Parkum et son décompte (5 jours avant la Vérité, 4 jours .... etc) et cette chambre d'hôpital. Nous nous retrouvons comme le personnage dans une situation de flottement entre deux mondes, avec des tas de questions en tête.
La fin du récit est complètement inattendue et apporte en quelques mots la réponse à toutes nos questions MAIS, oui il y a un mais , cette fin ne cadre pas avec l'ambiance générale du livre : nous sommes plongé dès le début dans une sorte de psychose où le lecteur est incapable de différencier la réalité de la fiction... et la fin est comme un gros coup de frein ! On passe directement à quelque chose de "banal", à une grosse cassure de rythme, d'ambiance qui gâche l'effet de l'ensemble

Ce livre se rapproche assez de l'intrigue de Puzzle de Frank Thilliez et de Shutter Island de Dennis Lehane mais.... le rendu général est encore plus stressant que ces deux derniers d'un point de vue général (.

Un superbe thriller psychologique digne de vous donnez des sueurs froides ! (même si cette fin est vraiment bizarre )
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