Le pitch accrocheur nous annonce une réflexion autour de la quête éternelle du désir et de ses circonvolutions, la culpabilité qui en résulte souvent et autres complications existentielles.
Titillée par ce 4ème de couverture, je suis rapidement déstabilisée par la nullité des répliques. En effet, alors que les protagonistes de cette histoire sont censés etre des trentenaires voire des quadras, on a l'impression d'avoir à faire à une bande d'ados attardés. du coup, cette immaturité rend le lien avec les thématiques annoncées assez difficile à faire…
Le dessin est loin de sauver l'ensemble, les traits sont épais et les couleurs criardes. Bref, cette vallée des papillons, n'avait que le titre de poétique.
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