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EAN : 9782021496420
128 pages
Seuil (03/03/2023)
3.8/5   15 notes
Résumé :
Joyau du paysage artistique français, Camille Claudel fut l'incarnation de l'artiste maudite. Après avoir passé son enfance à lutter contre l’autorité de sa mère, la jeune fille s’installe à Paris à la fin du XIXe siècle pour vivre son rêve : devenir sculptrice. Portée par l’effervescence artistique de la capitale, elle rejoint l’Académie Colarossi puis l’atelier d’Auguste Rodin, dont elle deviendra le modèle et l’amante. Mais leur relation se dégrade et, malgré son... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Camille Claudel (1864 - 1943)

* le Géant de Montpreux (1876)
" La souffrance de la beauté qui déchire la roche,
la met en pièces pour dominer sa forme".

Camille, 12 ans, veut, déjà, immortaliser son ami Paul en le sculptant avec de la terre,

En conflit continuel avec sa mère, femme très rigide, elle va cependant la convaincre et la peindre dans le jardin :
- "Maman pour te mettre en valeur,
J'ai dû déchirer le voile que tu avais toi-même tissé ".

S'emplir les mains !

"pour mettre de l'ordre dans les souvenirs,
pour leur donner de la consistance,
pour les faire émerger du chaos informe,
du temps qui s'est enfui,
mes mains vibraient
de vie et de désir". (p.50)

(p.80)
" Ma relation avec Rodin devint un échange d'entente et de passion.
Mes mains s'enfonçaient dans la matière et dans sa chair,
Elles modelaient des surfaces animées et des sursauts de vitalité,
Dans la bataille permanente entre le creux et le relief,
A travers ses lumières et nos ombres à tous deux !".

"En lui c'est moi que je cherchais,
en le perdant , je me perdais !".

- La désapprobation -
"Moi, une femme, je voulais être libre d'aimer , libre de me réaliser ,
les regards s'abattaient sur moi comme un feu Grégeois ."

Trahie par ses nerfs qui cédèrent sous les coups du désenchantement,
trahie par sa famille qui la fit enfermer dans un asile d'aliénés à 45 ans,

Seule !
Mais jamais oubliée ,
Son Art lui rendra justice.

Morte de faim, dans l'asile psychiatrique, en 1943.
(on dira : hystérie féminine).

Cette BD est illustrée par Monica Foggia et Martina Marzadori
dans de jolis tons d'Automne.

Des "bulles" qui se lisent comme un roman, extrêmement facilement.

Cette biographie rend hommage à la femme et à la sculptrice !

Merci à Masse Critique pour ce bel ouvrage qui aura sa place dans ma bibliothèque.
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Les attentes : le démon caché dans toute âme enthousiaste.
-
Ce tome contient une approche biographique de la vie de la sculptrice Camille Claudel (1864-1943), également soeur du dramaturge Paul Claudel (1868-1955), et collaboratrice du sculpteur Auguste Rodin (1840-1917). Son édition originale date de 2022 en Italie, et de 2023 en France. Il a été réalisé par Monica Foggia pour le scénario et Martina Marzadori pour les dessins et la mise en couleurs, traduit de l'italien par Jérôme Nicolas. Il comporte cent-dix pages de bandes dessinées. Il se termine avec une postface de cinq pages, rédigée par la scénariste, revenant sur la relation entre la sculptrice et Rodin, sur son internement et la notion d'hystérie à l'époque, sur le fait qu'elle était considérée inadaptée pour exercer un métier réservé aux hommes, et sur l'inspiration de l'écoute de la mer de Claude Debussy pour son écriture. Viennent ensuite une page de remerciements, et une dernière page avec la bibliographie recensant sept ouvrages, le film de Bruno Nuytten dans lequel Sophie Marceau incarne la sculptrice, et deux sites internet.

Une petite fille de bonne famille. La souffrance de la beauté qui déchire la roche, la met en pièces pour dominer sa forme. En 1876, dans la campagne de Montfavet, devant un rocher appelé géant de Montpreux, Camille Claudel est en train de façonné une petite statue de terre, son petit frère posant devant elle et commençant à fatiguer. Il finit par s'allonger dans l'herbe. Louise-Athanaïse, leur mère, les appelle, exigeant qu'ils viennent ici tout de suite. Elle admoneste sa fille qui devrait avoir honte : les demoiselles de bonne famille ne se salissent pas, et la robe de Camille est maculée de terre. Cette dernière répond que pour créer, il faut se salir, Dieu l'a fait. Montfavet en 1921 : Camille regarde par la fenêtre, elle observe un oiseau donner la becquée à ses oisillons. Une dame l'appelle : un paquet est arrivé pour elle. Il contient de la terre à modeler.

À Villeneuve-sur-Fère en 1878, dans la maison familiale des Claudel, la jeune Camille indique à sa mère qu'elle a une grande envie de faire son portrait, elle ajoute que papa serait content. Après un mouvement de refus, sa mère accepte à condition que sa fille essaye de la mettre en valeur. La fille emmène la mère dans le jardin et cette dernière s'assied dans un fauteuil, sous l'ombre d'un feuillage. Camille se met au dessin en pensant que pour mettre sa mère en valeur, elle a dû déchirer le voile que sa mère avait elle-même tissé. Des grands yeux de sa mère, Camille a saisi la douleur secrète. de son corps, l'esprit de la résignation. de ses mains l'abnégation complète. Camille a toujours pensé que sa mère la détestait parce que sa fille n'avait pas voulu se soumettre comme sa mère l'avait fait. Mais avec le temps, elle a compris qu'au fond sa mère l'enviait parce que Camille n'était pas comme elle. Au temps présent de 1921, Camille se demande où est ce portrait à présent. Il doit être perdu, comme sa mère. Elle se rappelle comme sa mère détestait ses outils d'artiste, elle les aurait volontiers jetés au feu, et sa fille avec.

Les autrices ont choisi d'adopter le point de vue de Camille Claudel (1864-1943) du début jusqu'à la fin, présente dans chaque page. Il s'agit donc d'une histoire de femme, avec son point de vue, l'accès de temps à autre à ses pensées. Dans sa postface, la scénariste explicite son choix de ne pas insister dans ce roman graphique sur la maladie mentale qui affligea Camille : il est dicté par la nécessité de rendre justice à la femme, à la sculptrice, à la personne et à sa grandeur artistique. Elle évoque également le comportement de sa mère à son égard : froide et bigote, ne cessant de la rabaisser, et de tenter de brider sa vocation artistique. Elle indique que son père, à l'inverse, était parfaitement conscient du talent de sa fille aînée : il la soutint jusqu'à la fin de ses jours. le sculpteur Alfred Boucher (1850-1934) a évalué et reconnu son talent. Son frère Paul Claudel (1868-1955) l'a également soutenue. Auguste Rodin l'a encouragée : elle est devenue sa plus proche collaboratrice, sa modèle et sa maîtresse. Elle dû vivre avec son infidélité, la possible appropriation de ses oeuvres par Rodin, un avortement, la réaction d'une société patriarcale contre le mouvement d'émancipation des femmes, en particulier le recours abusif au diagnostic d'hystérie. Pour autant, ces faits sont évoqués comme les autres événements de sa vie, sans que la bande dessinée ne prenne les formes d'un pamphlet féministe ou anti-patriarcat, les autrices se focalisant sur les moments essentiels dans la vie artistique de cette créatrice.

Le lecteur découvre Camille Claudel avant l'adolescence en train de modeler la terre pour sculpter son petit frère. Les cases sont dépourvues de bordure tracée, alignées en bande, quelques-unes biseautées en trapèze. L'absence de bordure introduit une forme de douceur, confortée par la mise en couleurs, comme réalisée au crayon, et estompée. de prime abord, la narration visuelle dégage une impression d'art naïf avec des visages simplifiés, des expressions parfois un peu enfantines, un regard qui s'attache plus à certains éléments de l'environnement qu'à d'autres. Dans le même temps, la composition des pages et la variété des découpages correspondent à une narration adulte, avec une quinzaine d'illustrations en pleine page, trois en double page, des pages où un personnage est représenté à plusieurs reprises dans des positions diverses dans une seule image, des cases avec uniquement un personnage et des accessoires sans arrière-plan, quelques magnifiques paysages ou intérieurs. Par exemple, le très bel effet de la lumière du soleil dans le feuillage à la fenêtre de la chambre de Camille à Montfavet, les motifs abstraits des tapis, une double page consacrée à une vue d'une rue de Paris avec son animation nocturne, les étudiants en train de s'affairer sur leur sculpture dans l'atelier de l'Académie Colarossi, la grande salle d'un théâtre parisien, les falaises de l'ile Wight, un quai en bord de Seine à Paris, une vue en extérieur du bâtiment de l'asile de Montfavet, etc.

À plusieurs reprises, la narration visuelle saisit un moment fugace ou complexe, avec une grande sensibilité. le lecteur ressent pleinement ce qui se joue entre la mère et la fille quand cette dernière demande à la dessiner, par les expressions de visages, les mouvements. Dans la scène suivante quand la mère fait obstacle à la volonté du père d'emmener leur fille à Paris pour qu'elle puisse étudier dans un atelier, le lecteur éprouve l'impression que le jeu des acteurs est forcé : il se dit que l'artiste représente les réactions du père et de la mère comme vues par les yeux d'enfants de Camille, ce qui explique ces émotions plus brutes. Il en a la confirmation en voyant l'entrain avec lequel la demoiselle prépare sa valise, tellement heureuse que son père ait emporté la décision. Lorsqu'elle rencontre Rodin pour la première fois, le lecteur voit qu'elle est devenue une jeune femme, consciente du désir. Plus tard, il peut comparer le comportement de Camille avec Claude Debussy (1862-1918), à son comportement avec Rodin : les deux jeunes gens apparaissent plus insouciants, plus gais, sans le poids de l'âge de Rodin, de vingt-quatre ans l'aîné de Camille. En page cent-onze, la sculptrice se retrouve devant un peloton d'exécution, une métaphore de la condamnation que la société fait peser sur elle, du fait de sa vie émancipée, que ce soit pour l'exercice d'un métier d'homme, ou pour la liberté de sa vie amoureuse.

Du fait du mode narratif, le lecteur éprouve une empathie pleine et entière pour Camille Claudel, voyant sa vie par ses yeux, au travers de ses émotions. Il ressent le besoin de créer, la vocation sans doute possible pour sculpter. Il ressent son élan de bonheur quand elle apprend que son père a pu faire en sorte qu'elle étudie dans un atelier. Il ressent son assurance quand elle répond à Filippo Colarossi (1841-1906) qui estime qu'elle a un style viril, sans rien de mièvre, ni de décoratif, car l'oeuvre qu'il contemple à un style incisif. Elle le reprend devant tous les autres étudiants et étudiantes, en lui enjoignant de ne pas confondre ce qui est masculin avec ce qui est expressif et profond, une femme aussi est capable d'exprimer cela. Il s'enthousiasme avec elle quand elle accueille Jessie Lipscomb (1861-1952). Il apprécie une deuxième fois sa confiance quand elle répond à Auguste Rodin que le style de ce dernier n'est pas celui à elle. Les autrices savent faire vivre Camille Claudel, par ses envies, ses convictions, ses émotions, son travail. Elles évoquent la nature de son talent, sans aller jusqu'à se livrer à une analyse de son apport à la sculpture. Elles dressent le portrait d'un être humain grandissant en faisant avec les caractéristiques de la société de l'époque, ballotée entre sa vocation, ses amours, la manière dont elle est traitée par son amant.

En entamant la biographie d'une artiste, le lecteur ne sait pas toujours qu'elle en sera la nature, plutôt biographique axée sur les moments de vie personnelle, ou avec un accent plus important sur la carrière avec une analyse de l'oeuvre. Ici, les autrices ont choisi la première approche, montrant avant tout un être humain faisant tout son possible pour exercer sa vocation, pour faire aboutir sa vision artistique, tout en composant avec les contraintes imposées par la société. La narration visuelle s'avère formidable par sa douceur, et par sa sensibilité, très adulte même si l'apparence des dessins peut évoquer certains aspects de l'art naïf.
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Depuis qu'elle est enfant, Camille passe son temps à sculpter. Elle réalise dans la glaise des bustes de Paul, son petit frère.
Hélas, à cette époque, les femmes artistes ne sont guère acceptées. Par chance, Camille est soutenue par son père.
Les deux auteures, Monica Foggia et Martina Marzadori, se sont donné pour tâche de faire découvrir cette rebelle à travers certains épisodes de sa vie. Elles mettent l'accent sur le talent et la créativité de Camille Claudel.Bien évidemment , les relations avec l'entourage sont évoquées : la mère qui ne veut pas d'une excentrique dans la famille, le frère, premier modèle, qui s'exclame : « Je t'aiderai toujours, Camille », mais la fera tout de même interner et la laissera mourir à l'asile, Rodin et leur passion tumultueuse.
Il me semble que les auteures ont préféré s'attarder sur des moments heureux de la vie de Camille et terminer sur une note positive, plutôt que de nous relater la fin affreuse qui l'attendait.
J'ai découvert Camille Claudel en lisant le livre d'Anne Delbée, « Une femme », lors de sa parution en 1983.
Je ne pense pas qu'alors, beaucoup de gens connaissaient cette artiste et n'existaient pas encore les moyens modernes mis à notre disposition pour nous permettre de découvrir ses compositions.
Lorsque nous sommes allés à Paris, au musée Rodin, quelques sculptures de Camille étaient rassemblées dans une salle que beaucoup méprisaient. On laissait entendre que soit elle s'était inspirée du maître, voire l'avait copié, soit qu'il était, lui, en réalité, l'auteur des plus belles pièces.
Depuis, heureusement, on l'a découverte et réhabilitée. J'ai lu plusieurs ouvrages qui lui étaient consacrés, car j'éprouve une grande admiration pour ces femmes qui, bravant les coutumes de leur époque, ont voulu s'imposer et ont lutté pour le faire (George Sand, Sarah Bernhardt, Colette...)
Je pense que Monica Foggia et Martina Marzadori ont réussi à traiter ce sujet sans redites et en trouvant des angles d'attaque originaux.
Ce qui m'a le plus plu, ce sont les dessins de Martina Marzadori qui nous entraînent comme dans une valse (une des plus célèbres réalisations de Camille Claudel), à travers un découpage inhabituel et des planches qui occupent parfois une double page.
Je ne m'y connais pas, mais j'ai l'impression qu'elle utilise des crayons de couleur dont, à certains moments, on distingue les milliers de petits traits.
Plus qu'une simple bande dessinée ou un roman graphique, cet ouvrage est une vraie oeuvre d'art et je l'ai adoré.
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Un très joli roman graphique aux dessins vaporeux, à l'effet velours. Les traits des personnages, les couleurs, les sculptures, tout y est magnifié par la talentueuse Martina Marzadori. Les dessins seuls auraient suffit à nous transporter dans l'univers de Camille Claudel.

2 bémols :
• la disproportion des bulles et du texte otent un peu de magie à l'ensemble

• le choux d'un scénario trop court qui donne à l'ensemble un goût d'inachevé, de trop peu...

Le choix de l'auteure de ne pas s'étendre sur la névrose de Claudel n'est pas un problème en soi. On la comprend au travers des dessins. En revanche celui de mettre fn avant la sculptrice, l'artiste née mérite d'être souligné.

Un roman graphique idéal pour celles et ceux qui souhaiteraient découvrir Camille Claude. Qui convient moins aux connaisseurs.

Merci aux Éditions Seuil & à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la dernière masse critique.
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Ce roman graphique retrace la vie de Camille Claudel, en racontant la femme, la féministe et l'artiste plutôt que la "malade". J'ai beaucoup apprécié ce choix de mettre en avant la sculptrice qui est plus souvent connue pour son long internement psychiatrique...

Le choix des nuances brunes et automnales pour les illustrations ne m'a pas vraiment convaincue : cela rend triste la vie de Camille même pendant ces belles années de créations auprès de son frère Paul et de son amant Auguste Rodin. C'est également dommage que son père, protecteur, n'apparaisse que peu car il a pourtant été le premier à croire en son talent et à l'encourager à suivre sa voie.

Malgré tout, cela reste un bel ouvrage pour découvrir l'artiste.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Ma féroce amie, ma pauvre tête est bien malade et je ne puis plus me lever le matin. J’ai des moments d’amnésie où je souffre moins, mais aujourd’hui, l’implacable douleur reste. Camille ma bien-aimée malgré tout, malgré la folie que je sens venir et qui sera votre œuvre, si cela continue. Ma souffrance tu n’y crois pas, je pleure et tu en doutes. Le respect que j’ai pour ton caractère, pour toi ma Camille est une cause de ma violente passion. Ne me traite pas impitoyablement je te demande si peu. Rodin.
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Maman, pour te mettre en valeur, j’ai dû déchirer le voile que tu avais toi-même tissé. De tes grands yeux, j’ai saisi la douleur secrète. De ton corps, l’esprit de résignation. De tes mains, l’abnégation complète. J’ai toujours pensé que tu me détestais, parce que je n’avais pas voulu me soumettre comme toi tu l’avais fait. Mais avec le temps, j’ai compris qu’au fond de toi tu m’enviais parce que je n’étais pas comme toi.
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Ce paysage était tellement incroyable que mon imagination pouvait créer librement un monde différent où la beauté, les sentiments et l’imagination subjuguaient la matière. Et la lumière créait des clairs-obscurs qui animaient les pierres en leur donnant une voix. L’insouciance me donnait la force d’attendre l’aube qui amènerait le changement.
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Sentir l’énergie vitale qui irradie de nos mains et se propage dans la matière, modeler l’homme à l’image de notre idéal : l’art d’être une divinité.
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Maître, je ne cherche pas la perfection. Je sculpte la dimension tragique de l’existence, l’imperfection de tout ce qui est humain, le mystère intérieur que chacun cache derrière l’apparence.
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Vidéo de Monica Foggia
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