Le Vol du Frelon

C'est toujours avec plaisir que l'on retrouve Ken Follet, "Le vol du frelon" en est un nouvel exemple.
1941. Danemark. Les Allemands ont installé un radar qui leur permet de détecter l'aviation anglaise. Harald Olufsen un jeune autochtone découvre l'installation secrète et la filme. Mais comment faire parvenir sa découverte aux alliés ?
Follett raconte à travers un pays, l'histoire d'un jeune héros prêt à tout pour aider les alliés. le style est toujours agréabe, et les personnages attachants.
On reprochera peut-être une psychologie un peu simpliste et un happy end hollywoodien, mais Folllet par ces talents de conteur nous fait oublier ces imperfections.Plutôt sympathique.

Ayant beaucoup aimé la trilogie "Le Siècle" de Ken Follett, je m'attendais à retrouver le même genre d'intrigues, le suspense, mais je ne les ai pas rencontrés dans "Le vol du Frelon". C'est peut-être lié à mon état de d'esprit du moment, mais j'ai trouvé que le rythme avec lequel se déroulait l'histoire trop lent. Les passages qui décrivent en détail le fonctionnement d'un avion, étaient trop longues à mon goût.
Ce qui m'a dérangé dans cette histoire c'est que tout est un peu trop simple et prévisible, même la fin. J'aurais bien voulu voir que Harald se venge de la mort de son frère par exemple.
J'ai bien aimé le style, mais cela reste une petite déception pour moi quant à la lecture de ce roman d'espionnage.

C'est toujours un réel plaisir de lire Ken Follett,
que le roman soit récent ou pus ancien (mais jamais lu), je prends toujours plaisir à tourner en rond autour de l'ouvrage, patientant pour me plonger dedans, souvent avec avidité.

Un roman qui une fois encore à la hauteur de l'écrivain et de ses talents pour nous faire vivre l'histoire de notre monde.

rebondissements, passion et voyage historique au programme de ce vol si vous décidez d'embarquer !

bon vol !

Pour moi, Ken Follett c'était "Les piliers de la terre" : Moyen-Âge, grande fresque historique, connaissance fouillée du sujet...

Avec le Vol du Frelon, j'ai été plongée dans un univers complètement différent, puisqu'on se retrouve au Danemark pendant la Deuxième guerre mondiale.
L'histoire est prenante, on suit avec intérêt l'avancée de Harald dans son engagement dans l'espionnage, couplée à sa découverte de l'amour.
Mais je ne suis pas une grande fan des romans d'espionnage, ce qui explique mes 3 étoiles seulement, de même que les trop longues descriptions du fonctionnement du Frelon et la personnalité de Peter, policier à la limite du sadisme.

En conclusion, une lecture mitigée pour le [Challenge solidaire 2022].

Ken follet devenu maître du roman d'espionnage, nous emmène cette fois-ci au nord de l'Europe. C'est au Danemark, que ce déroule l'intrigue, où les nazis poursuivent leur avance, quant à la chasse britannique, elle subit de plus en plus de perte, comment les Allemands peuvent -ils être au courant des raids aériens ?
Sur son île le jeune haralt fait une importante découverte, avec son amie il fera tout pour transmettre aux anglais son récit, c'est aux commandes d'un vieux biplan qu'il partira peut-être informer la patrie de Winston Churchill.
Toujours bien documenté Ken follet réussi dans chacun de ces romans à nous faire partager les peurs, les dangers et les angoisses de ces personnages ....
Lien : http://dunlivrelautre.blogsp..

Au Danemark, durant la seconde Guerre Mondiale, les allemands disposent d'un radar performant. du coup, les britanniques veulent comprendre pourquoi les chasseurs allemands semblent attendre leurs bombardiers.

Et voilà! Nous avons les éléments d'un roman d'espionnage classique; sans surprises sur qui sont les gentils ou les méchants. le tout coiffé d'une romance un peu beaucoup mièvre.

Tout est prévisible. On sait déjà que les héros seront indemnes. Souvent on tombe dans le pas crédible du tout, trop gros pour être vrai ...

En bref, la réussite de ce roman tient dans l'envie de connaître la fin. Heureusement ça se lit facilement, n'est-ce pas une des forces de Ken Follett, si?

Un bon divertissement sans plus ...

Un roman d'espionnage bon enfant (les tortures sont évoquées, jamais décrites ; les méchants meurent, les gentils parfois aussi, mais sans en faire trop…), au charme un peu désuet (les amours romantiques du jeune héros…), qui nous fait découvrir un épisode peu connu du public francophone (de moi du moins), le Danemark occupé par les Allemands lors de la 2e Guerre mondiale. le suspense est bon, même si assez attendu (on se doute que tout finira bien pour le héros) et l'on ne s'ennuie pas. L'échappée finale en planeur fait un peu penser à l'As des as de Gérard Oury, avec Belmondo en acteur-cascadeur… Un roman récréatif !

Au moins, quand on lit du Ken Follett, on sait à quoi s'attendre: un livre bien documenté, une histoire qui nous tient en haleine, un bon moment sans trop se prendre la tête.
C'est ce qu'on demande à "un roman de plage" et c'est dans ce but que je l'ai choisi. Pour le reste, pas de grande surprise. Il y toutefois une autre constante, c'est l'incroyable facilité qu'on tous les personnages de ses romans à se retrouver, quelque soient les époques, les circonstances et intrigues. Comme s'il n'y avait qu'eux au monde.
Ce livre n'échappe pas à ces stéréotypes, mais comme je le disait, au moins on n'est pas surpris et on prend l'ouvrage pour ce qu'il est.

Un roman d'espionnage dans l'ensemble réussi, malgré quelques points négatifs. Mais commençons par ce qui joue en sa faveur : ce roman nous plonge dans le Danemark sous occupation allemande, soit une réalité historique méconnue par le lecteur francophone lambda - il faut me classer dedans. Cela parle de radars, d'arme secrète, de raids aériens et bombardements; on suit l'affrontement entre résistants et collabos danois, on croise Churchill au détour d'un bureau des services secrets britanniques... Bref, tous les ingrédients sont là pour donner un bon roman d'espionnage, qui nous immerge de surcroît dans le monde fascinant de l'aviation de l'époque, fruit d'une remarquable recherche. Action à rebondissements, la lecture est agréable et on accroche vite à l'histoire.  Là où le bât blesse, c'est au niveau des personnages et de la division entre les deux camps : la vision trop manichéenne, sans doute voulu par le genre, accouche de personnages en général caricaturaux. Les héros se comportent comme tels et ont toutes les qualités requises pour assurer leur rôle (courage, noblesse d'esprit, un brin de témérité et de niaiserie pour ne pas trop faciliter les choses) et les méchants sont méchants et ont les défauts qui collent avec (vicieux, calculateurs, intolérants, un brin sadique, etc. ). le caractère des personnages servent un peu trop l'intrigue à mon goût, ce qui rend les évènements parfois un peu prévisibles. Ce n'est hélas pas la première fois que je retrouve ce manque d'authenticité des personnages chez Ken Follett, ce qui m'empêche d'apprécier pleinement la lecture.

Je classerais ce roman dans la catégorie espionnage.
J'ai ressenti la douleur de la violence de l'époque de guerre, sans qu'elle ne soit omniprésente ni trop explicite. Toutefois le côté insouciant de certains personnages importants m'a étonné.

J'ai aimé l'unité de l'intrigue et j'ai pu suivre l'histoire sans me perdre.

C'était ma première lecture de Ken Follett et ce ne sera sûrement pas la dernière. Je suis restée captivée jusqu'à la fin, même si j'ai moins aimé la dernière partie que j'ai trouvée rocambolesque.