Céleste, ma planète

Est-il encore besoin de chroniquer les merveilleux livres de Timothée de Fombelle ?
Alors bien sûr, celui-ci, avec son format très court, ne vous emportera pas aussi loin qu'un Tobie Lolness. Mais le contenu reste toujours aussi fort, aussi intelligent et sans concession, aussi lumineux même face à la dureté du monde.
Un message écologique positif, et une superbe histoire d'amour.

"Céleste, ma planète" de Timothée de Fombelle est un beau livre facile et rapide à lire. Il peut se lire dès l'âge de 10 ans. Ce livre raconte une histoire d'amour mais transmet également des messages importants sur l'écologie, la planète et l'avenir.

Une allégorie qui se lit très vite et dont les illustrations enrichissent le texte. C'est poétique et grave à la fois. Un message d'alerte, un monde du futur triste à faire peur mais aucun développement sur les solutions apportées pour guérir Céleste... A imaginer avec des élèves à accompagner pour éviter qu'ils ne voient dans ce livre qu'un amoureux tantôt déçu tantôt hardi (si, si ! regardez les citations).

J'ai adoré ce livre parce que je trouve le thème intéressant. En effet, je suis sensible aux problèmes écologiques : la fonte de la banquise, la déforestation de la forêt amazonienne, les conséquences de la pollution dans le monde sur les hommes, les animaux, les végétaux, les océans… C'est important de sensibiliser les lecteurs aux problèmes écologiques, à la sauvegarde de notre planète pour les générations futures.

Maëline

Ce livre m'a plu car il comporte beaucoup de suspens, en particulier quand Céleste disparaît et que le narrateur la recherche, ou encore lorsque le narrateur s'interroge sur la maladie dont Céleste est atteinte. Ce roman permet également de prendre conscience des futurs problèmes écologiques que notre planète pourrait rencontrer, comme la disparition de la forêt amazonienne…

Ilina

J'ai aimé ce livre car il nous sensibilise aux dangers qui nous guettent si on ne réagit pas à temps pour sauver notre planète. Il nous montre aussi que l'avenir de notre Terre ne dépend que de nous.

Théo

J'ai adoré ce roman car il y avait du suspense. J'ai aimé en particulier le passage où le narrateur va chercher Céleste et qu'ils s'échappent grâce à une nacelle de laveur de carreaux, parce que je trouve que cela fait penser à une vraie scène de film d'action ! J'ai moins aimé la fin du livre : je trouve qu'il est dommage que l'on n'en sache pas un peu plus sur ce qui se passe par la suite : comment Briss a-t-il réussi à envoyer les photos ? que va-t-il arriver à Céleste et au narrateur ?

Flora

Voici les trois raisons qui font que j'ai aimé ce roman : c'est une lecture simple et facile ; de plus il y a de nombreuses péripéties qui s'enchaînent rapidement ; enfin la fin heureuse comporte un beau message d'espoir pour notre planète.

Fadi

Fable magnifique qui invite à réfléchir sur la relation entre l'homme et la nature, sur l'avenir de la planète et les dérives de la société de consommation. J'ai retrouvé avec plaisir le style poétique de Timothée de Fombelle et son écriture ciselée.

Après avoir lu le livre de Perle et Vango, j'avais envie de continuer à découvrir Timothée de Fombelle qui est pour moi l'un des meilleur auteurs que j'ai lu. Ce tout petit livre se lit très vite mais délivre un message fort.

Tout d'abord, l'histoire se passe dans le futur, au coeur d'une société quasimment dystopique. La Terre est tellement polluée que ses habitants vivent dans de hautes tours pour trouver de l'air respirable. L'auteur décris peu l'univers car le roman ne se centre pas sur lui mais j'aurais aimé le comprendre un peu mieux.

Le concept de la maladie de Céleste m'a énormément plu. C'est d'ailleurs ce qui fait l'originalité de ce roman et qui rend le message écologique plus fort. Les deux personnages principaux nous sont un peu étranger mais vu la longueur du livre, on ne pouvait pas s'attendre à avoir un descriptions très détaillée d'eux. Il est évident que c'est un roman qui se tourne vers un public plus jeune que les autres livres de l'auteur, mais d'un autre côté, le message qu'il délivre peut être assimilé à tout age.

La plume de Timothée de Fombelle est toujours très poétique avec, dans ce livre, une certaine naïveté qui s'accordait au narrateur. Elle nous guide dans l'histoire, et lui donne des airs de conte. C'est l'un des point fort du roman, ce qui lui donne ce côté poignant et touchant, ce qui rend le message plus vibrant.

La seule chose que je puisse reprocher à ce livre c'est le côté jeunesse et les racourcis. On en sait peu sur l'univers, peu sur les personnages, j'aurais aimé plus de précisions. le coup de foudre m'a parut aussi un peu facile tout comme la fin de l'histoire que j'ai trouvée un peu utopique.


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C'est l'histoire d'une planète, peuplée d'humain, pillée au plus profond d'elle même qu'elle se meure. L'air n'est plus respirable, alors les humains vivent dans des villes en verre mais aucune leçons n'est retenue, les grands groupes continuent encore et encore. Mais un enfant découvre qu'une autre enfant est la représentation de la planète et là tout change, si on ne considère pas la planète, allons nous considérer la vie d'un humain?
Ce livre m'a dérouté, j'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire, à comprendre la situation des personnages, de cette planète avec des villes en verre. Mais j'ai beaucoup aimé la conclusion tel un conte.

C'est triste, poétique, beau et finalement plein d'espoir.

Céleste est cette enfant qui, un jour, prend l'ascenseur avec le jeune héros du roman, puis s'assoit à côté de lui en classe. A l'heure du déjeuner, elle disparait. Il finit par la retrouver, malade. Sa mère, femme puissante et influente, l'aide à la faire hospitaliser et c'est le début des problèmes.

Une belle allégorie de la planète, ici Céleste, qui se meurt dans l'ignorance générale. le jeune lecteur peut s'identifier au héros et, accompagné d'un adulte, réfléchir au choix qu'il ferait, prendre des risques pour Céleste ou rester dans l'ignorance bienheureuse. Il y est aussi question du pouvoir de la viralité d'internet et de son bon usage. de courage, de solidarité, de responsabilité individuelle et collective…

Merci à l'autrice pour cette belle fable indispensable !

A partir de 10 ans annoncé par l'éditeur. 9 ans bon lecteur ça passe large. le vocabulaire est accessible et les quelques passages “violents” ou angoissants sont très soft.

Merci

ôde à Timothée de Fombelle. Comment dire, avec vous Timothée, je me sens comme une tartine... Il est bien rare que je ne sois pas déçue par un auteur chéri à un moment ou un autre. Bon, il est vrai que votre production, cher Timothée, n'est pas encore très conséquente... mais je vous pardonne aisément. N'est pas Austen qui veut... ( Jane tu seras toujours my number one !)

J'avais dévoré Tobie Loneless puis Vango, et là au soleil, je viens de finir de lire Céleste ma planète" et je n'ai rien à dire ... Je me laisse charmer. Vous avez, Monsieur, le sens de la formule qui fait mouche. Même quand vous parlez d'électroménager, vous trouvez les mots qui sonnent juste, qui ravissent mes yeux et mes oreilles ! il n'ya qu'à lire : " J'avais décidé de ne plus tomber amoureux. Je l'avais décidé très tôt, vers six ou sept ans (...). Avant de zéro à six ans et demi, je tombais amoureux de tout ce qui passait devant moi avec des couettes et des chaussures à boucle. ça finissait toujours mal. le syndrome du grille-pain. Je sentais mon coeur commencer à chauffer agréablement des deux cotés et puis il sautait en l'air, très haut, et atterrissait sur le carrelage."
Oui, mais voyez-vous, votre prose donne des ailes à ma tartine. Elle s'envole toujours plus haut ! Et comble du bonheur ... Demain, je vous vois en chair et en os !!!! Alors préparez votre grille-pain ! Et votre stylo plume car je campe devant votre stand !
Signée : une tartine rebelle