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EAN : 9782221248188
96 pages
Robert Laffont (09/04/2020)
3.55/5   43 notes
Résumé :
Les temps changent et forcément, entre YouPorn et Tinder d'un côté, Mee too et les réseaux sociaux de l'autre, il y a beaucoup de choses à dire sur l'évolution des moeurs amoureuses. Ou leur non-évolution !
Le sexisme, l'ouverture d'esprit, la pudibonderie, l'orientation sexuelle, les partenaires multiples, le culte de la performance, la quête du plaisir, le goût de l'excès, les mensurations, l'âge, le plaisir, la simulation, le narcissisme, la lassitude, la ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Des fables ayant comme thème "A quoi riment nos vies sexuelles?". Drôle, léger, coquin, taquin, à lire au second degré même si certaines fables ont des accents de vérité. Celle-ci passe souvent mieux quand elle est exprimée sur le ton de l'humour. Une lecture détente et je n'ai pas boudé mon plaisir ;-).
Et, à la manière de Jean de la Fontaine, une morale clôt la plupart des fables:
"Un a priori,
C'est mixte, comme la connerie"
ou encore,
"Quand on change d'avis,
Il faut parfois changer d'amis"

Quelques fables "sans prétention", à lire pour ce qu'elles sont et non pour ce qu'elles devraient être. Belle lecture!

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Irrévencieux,
Malicieux,
Espiègle,
Coquin,

Fables autour du « zizi »,
Sous toutes ses formes
Surtout sur ses performances ou non.
Affûter comme un fleuret,
Un plaisir folâtre et cocasse.
Jubilatoire !

« Tout tout tout, vous saurez tout sur le zizi … » (Pierre PERRET)

Extrait :

La fable de l'homme
qui tardait à répondre

En amour parfois il arrive
Que l'on use en vain sa salive.

Un escargot se savait lent,
Il en avait fait une ruse.
Dès qu'il fallait être galant,
Il avait toujours une excuse
Pour expliquer ses manquements.
« Moi, je ne suis qu'un escargot…
J'ai ma coquille sur le dos…
Je suis lent… c'est dans ma nature !
C'est pas de la désinvolture,
Je ne le fais pas méchamment ! »
Disait à telle camarade
Ce grand amateur de salades.

Il avançait cet argument,
Prenant un peu pour une conne
La si câlinante licorne
Qu'un Dieu lui avait envoyée.
Or, il aurait dû se méfier :
Un dieu envoie aux escargots
Exactement ce qu'il leur faut,
Mais s'ils prennent un peu trop leur temps,
Le dieu leur en retire autant.

Un jour, celle qui attendait,
Qui toute mignonne tendait
Sa corne, n'a plus souvenir
D'avoir aimé cet escargot :
« Pardon, mais nous nous connaissons ? »
Ce qu'on appelle une leçon.
Et lui : « j'étais ton Hidalgo !
Tu voulais que je te féconde ! »
Elle, en réponse : « C'est dur à croire… »
Toute la salive du monde
Ne rafraîchit pas la mémoire.

La morale : Avec les licornes,
Ne jamais dépasser les bornes.
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Un titre magnifique qui donne envie et met en appétit. Il fallait oser braver l'un des princes de la rime sublime. Mais bien sûr la comparaison s'arrête là, qui oserait défier La Fontaine ? D'autant plus que Sophie Fontanel aborde crûment la sexualité, dans toutes le positions, sous toutes les coutures, en appelant un chat un chat, ou plutôt une chatte une chatte.

Dans ces fables point d'animaux à part la première, que j'ai appréciée, justement (Voir en « Citations ». Sur les 23 fables j'en sauve personnellement moins de dix car j'ai trouvé tantôt le fond facile et caricatural, tantôt la forme trop longue :

Des rimes lourdes, des mots scabreux
Qui tirent le diable par la queue.
Les mélodies de Fontanel
Sonnent comme une voix de crécelle

L'auteure aurait pu bien mieux faire,
Car elle en avait le talent,
Mais elle semblait manquer de temps,
Pour peaufiner, lisser, parfaire.

Pétard mouilé ? Feux d'artifice ?
Je penche plutôt pour le factice.
De La Fontaine à Fontanel
Point de suture ni fontanelle.
Ce nom méritait des égards,
Pour tenter de réduire l'écart.
Dommage, tant pis, las, trop tard,
La salamandre rest'ra têtard

Moralité
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage (1)
Ecrire oblige à force, foi, exigence, courage.
A l'oeuvre on connaît l'artisan (2), j'en voulois venir à ce point, (3)
Rien ne sert de courir il faut partir à point (4)
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage (5)

(1) : Citation de Boileau ; (2) : Les frelons et les mouches à miel ; (3) : L'Âne chargé d'éponges et l'âne chargé de sel ; (4) : le Lièvre et la tortue ; (5) : le Lion et le Rat

Mais d'outre-tombe M. de la Fontaine me fait savoir qu'il défend l'entreprise de Mme Sophie de la Fontainelle et me renvoie à la fin de la dédicace de ses fables « A Monseigneur le Dauphin » :

« Je vais t'entretenir de moindres aventures,
Te tracer en ces vers de légères peintures ;
Et si de t'agréer je n'emporte le prix,
J'aurais du moins l'honneur de l'avoir entrepris. »

Alors merci et félicitations à Sophie Fontanel pour sa louable entreprise.
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Nous connaissons tous les fables De La Fontaine avec ses morales. Au 21ème siècle, nous avons « Les fables de la Fontanel » qui posent la question: à quoi riment nos vies sexuelles?

Sophie Fontanel avec strophes, mots, rimes, humour, légèreté, sincérité, vérité y répond. Attention, Sophie reste Sophie et sous les airs d'une certaine légèreté, elle nous fable des vérités. Des vérités sur les hommes, les femmes, leurs relations, leurs attentes. Et tout y passe de l'homme qui ne tardait à répondre à la femme qui était cruelle sur Tinder.

Sophie Fontanel s'est appropriée les fables avec ses rimes et sa morale, et elle le fait avec brio. Depuis toujours, nous savons que Sophie sait manier les mots pour nous livrer des vérités en douceur. C'est sa plume et elle a eu l'audace de la prendre, de prendre exemple sur La Fontaine pour nous délecter d'un petit livre aux couleurs acidulées et douces à la fois comme « Les Fables de la Fontanel »!!!
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🍑 Si comme moi vous n'en pouvez plus de ce Covid,
Si comme moi d'un retour à la normale vous êtes avide,
Si pour oublier ce foutu fatras,
Des lectures vous êtes complètement gaga,
Perdue dans les fables de la Fontanel,
Tu rêves de te faire la belle,
Et si coincée dans le bus et le train quotidiens,
De rire tu exploses, collée à tes voisins,
Et que, dévisagée, sous ton masque bleu ciel tu rougis,
Et aussi petite qu'une fourmi devenir tu as envie,
Et puis - zut, à quoi bon ! Rions donc un peu,
Ce monde est décidément vraiment trop sérieux.

🍑 Comprenez : gimme more.
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critiques presse (1)
LaPresse
24 août 2020
Est-ce bien vrai ? Un livre de fables, en rimes, façon La Fontaine, sur nos vies sentimentales et sexuelles, en 2020 ? Non seulement c’est possible, mais c’est vrai, coquin, intelligent, et ça fait surtout drôlement réfléchir. Quand la poésie remet les idées mal placées à leur place…
Lire la critique sur le site : LaPresse
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Cela fait bien déjà deux ans

Que Rose a changé et son corps,

Et son âme, donc tout le décor

De sa vie, par le yoga. En

Amenant son être au sacré.

Sauf que voilà, hier matin,

Assise en lotus à Angers,

Le cou dans l’aplomb du pubis,

Déverrouillant ses orifices,

Là, soudain, n’a plus pu bouger :

Coincée en posture d’éveil.

Vous me direz, où est l’écueil ?

Le cul comme une page d’accueil

Et la bouche ouverte aux abeilles

On vit très bien, et même mieux

Qu’en cahotant sur ses essieux.

D’ailleurs, Rose pensa ainsi

Au début : « On est bien, assis… »

Mais une heure passa, puis deux,

Puis dix ou plus. Rose avait faim,

Tout en ce monde a une fin.

Or, dès qu’elle entreprenait de

Se déplier, ça marchait pas.

Le corps restait obstinément

Dans la position de Bouddha.

Le soir, elle tenta : « Maman !

Papa ! » Un cri dans le grenier.

Les vieux, en bas dans le jardin.

Un peu pompettes – pourquoi le nier ? –

Voici qu’ils n’entendirent rien,

Pas trop dans leur état normal.

Bon, à présent il est acté

Qu’avec sa bouche contractée,

Rose, eh, articulait mal…

Au reste, elle était bonne fille,

Et si tout ça était un signe ?

Pas du tout la Berezina…

« Peut-être le Tout me croit digne

De rester ainsi, immobile…

Bon sang, j’atteins le Nirvana ! »

Elle voyait son troisième œil

Clignoter all-over l’Anjou.

« Putain, c’est fou ce qui se joue,

Chuis pas coincée, je me recueille. »

Au fond, il est tellement rare

De rejoindre un état suprême…

Et Rose resta toute droite

Dans ce lotus inextricable.

Mais la nuit tombait sur Angers

Et tout le septième chakra

De Rose désirait manger :

Un nem, une chips, un acra !

« Tout ce qui entre dans mon corps

Je veux en maîtriser le sort :

D’accord. Mais il y a des exceptions !

J’vais pas crever d’inanition,

Dans ce grenier, sans becqueter !

Je vais tout doucement descendre

Comme un crabe sur la jetée.

Tant pis, le temps que ça va prendre. »

Et purée, Rose, elle la fait !

Certes, elle roule à un moment,

Mais c’est fait religieusement.

Morale : heureux qui comme Rose

Sait toujours bien prendre les choses.


Sophie Fontanel
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L'homme qui ne voulait pas être confiné en vacances

Qu’il voyait venir les vacances :

Airbnb. Une location,

Un truc à côté de Valence.

Et il partait avec sa femme,

Avec des livres, des podcasts.

Y a pire et ce n’est pas un drame,

Sauf qu’il aurait rêvé plus faste.

Bien sûr, c’était un peu sa faute,

Sa femme avait monté la côte

Seule, à tout organiser.

D’ailleurs, toujours bien disposée,

Douce, elle avait même annoncé :

« Valence, Lucas, ça te dit ? !

C’est calme ! En plus, c’est le midi ! »

Et il avait laissé pisser.

Maintenant, ils partaient demain

Lucas faisait moins le malin.

Soudain, il voyait le topo

Elle et lui, encore, et collés,

Et il voulait sauver sa peau.

Il les voyait reconfinés,

Elle et lui, là, trop à côté

L’un de l’autre. Et, in fine,

Faudrait encore se bécoter.

Or, Lucas, il n’en pouvait plus…

Ces deux mois de confinement

Avaient tué en lui l’amant.

Trop d’appétit chez sa compagne.

Au lit, ça devenait le bagne.

C’est vrai que ça lui avait plu

Au début. Mais on évolue !

« Bon, on n’est pas des animaux ! »

Il disait ça à sa goulue

Elle : « OK, pas des animaux.

Mais tu me refais le chameau ? !

Refais-moi les deux bosses pleines ! »

Il lui trouvait… mauvaise haleine.

Bien sûr, il avait essayé

De la rerendre romantique

Hélas il avait essuyé

Comme un revers. « Tu me paniques,

Elle avait dit, devant ses fleurs,

Et c’est quoi ces alexandrins

Empilés sous le traversin ?

Attends, Lucas, tu me fais peur,

Eh, tu me trompes pas, j’espère ?

On est un couple, pas un cluster. »

D’où, il avait fallu refaire

Le chameau (et pas seulement),

Pour la rassurer sur le champ.

Elle au paradis. Lui, l’enfer.

En plus, elle était persuadée

De demeurer l’humble servante

De lui, fait comme un équidé.

« Tu applaudis pas ta soignante ? »

Qu’elle lui avait balancé.

Purée, il fallait y penser !

C’est tout ça qui fait que Lucas

La veille d’aller à Valence

Se carapate à grands fracas.

On dit qu’il a quitté la France.

La morale est bien ordinaire :

Tout dans la vie a besoin d’air.
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La fable de l’homme qui tardait à répondre

£n amour parfois il arrive
Que l’on use en vain sa salive.

Escargot se savait lent,
Il en avait fait une ruse.
Dès qu’il fallait être galant,
Il avait toujours une excuse
Pour expliquer ses manquements.
« Moi, je ne suis qu’un escargot…
J’ai ma coquille sur le dos…
Je suis lent… c’est dans ma nature !
C’est pas de la désinvolture,
Je ne le fais pas méchamment ! »
Disait à telle camarade
Ce grand amateur de salades.

Il avançait cet argument,
Prenant un peu pour une conne
La si câlinante licorne
Qu’un dieu lui avait envoyée.
Or il aurait dû se méfier :
. Un dieu envoie aux escargots
Exactement ce qu’il leur faut,
Mais s’ils prennent un peu trop leur temps,
Le dieu leur en retire autant.

Un jour, celle qui attendait,
Qui toute mignonne tendait
Sa corne,n’a plus souvenir
D’avoir aimé cet escargot :
Pardon, mais nous nous connaissons ?
Ce qu’on appelle une leçon.
Et lui : «J’étais ton hidalgo !
Tu voulais que je te féconde !
Elle, en réponse : « C’est dur à croire… "
Toute la salive du monde
Ne rafraîchit pas sa mémoire.

La morale : Avec les licornes,
Ne jamais dépasser les bornes.
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C'est une marche féministe,
Lui, il est venu en touriste,
Pour accompagner sa copine
Si généreuse avec sa pine.

C'est drôle qu'une militante
Aux théories les plus austères
L'aime lui, un réactionnaire.
Mais bon, c'est une débutante
Enfin, c'est à tout ça qu'il pense
Quand soudain la fille lui lance :
"tu veux bien tenir ma pancarte,
Que je refasse mon lacet ?
Tiens la bien haut !" Lui, il ecarte
Les bras, sans vraiment voir que c'est
Écrit en gros : "j'ai un clito."
Et puis quelqu'un prend la photo.

Car attention les débutantes
Font vraiment tout ce qui les tente !
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Essayez un jour un poème,
Faites rimer tout ce qui, même,
Est en vous et ne rime à rien.
La poésie c'est peu de chose,
Car ça tient souvent à des riens,
C'est toujours de petites doses.
Essayez. C'est bien plus facile
Qu'on ne pense. Et bien plus utile.
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Vidéo de Sophie Fontanel
Dans cet épisode, nous vous présentons des livres qui nous ont fait rire. Huit propositions de lectures pour différents âges : de l'humour, fin ou gras, des jeux de mots, de l'absurde, du comique de situation, de la satire sociales... Des livres que nous avons beaucoup aimés, auxquels nous repensons avec le sourire et que nous adorons mettre entre les mains des lecteurs. Une liste à garder précieusement, concoctée par nos libraires Laure, Rozenn, Nolwenn, Jérémy, Nicolas et Adeline !
Voici les livres cités dans cet épisode :
Un ours, un vrai, de Stéphane Servant et Laëtitia le Saux (éd. Didier Jeunesse) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128786-un-ours-un-vrai-stephane-servant-didier-jeunesse ;
Horace. Tome 1, Cheval de l'Ouest, de Poirier (éd. Revival) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23359947-horace-tome-1-poirier--revival ;
Les Culs-reptiles, de Mahamat-Saleh Haroun (éd. Gallimard/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22745328-les-culs-reptiles-mahamat-saleh-haroun-folio ;
Admirable, de Sophie Fontanel (éd. Seghers) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22540820-admirable-l-histoire-de-la-derniere-femme-ride--sophie-fontanel-seghers ;
Chroniques du Château faible, de Jean-Christophe Mazurie (éd. Fluide Glacial) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23032241-1-chroniques-du-chateau-faible-tome-01-jean-christophe-mazurie-fluide-glacial ;
Stella et l'Amérique, de Joseph Incardona (éd. Finitude) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23109474-stella-et-l-amerique-joseph-incardona-finitude ;
Le Rire des autres, d'Emma Tholozan (éd. Denoël) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23030426-le-rire-des-autres-emma-tholozan-denoel ;
Roman fleuve, de Philibert Humm (éd. des Équateurs/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23286751-roman-fleuve-philibert-humm-folio.
Et quelques autres titres qui auraient pu faire partie de cette sélection de livres drôles :
Le Discours, de Fabrice Caro (éd. Gallimard/Folio) ;
Miracle à la tombe aux Aspics, d'Ante Tomi (éd. Libretto) ;
N'essayez jamais d'aider un kangourou !, de Kenneth Cook (éd. Autrement) ;
Je dénonce l'humanité, de Frigyes Karinthy (éd. Viviane Hamy) ;
Le Chien de madame Halberstadt, de Stéphane Carlier (éd. le Tripode) ;
Roulio fauche le poil, de Julia (éd. le Tripode) ;
La Vie est une corvée, de Salomé Lahoche (éd. Superexemplaire) ;
Idées noires, de Franquin (éd. Fluide Glacial) ;
#Les Mémés, de Sylvain Frécon (éd. Fluide Glacial).
--
Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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